Magazine Humeur

De terrifiantes réalités 11

Publié le 25 avril 2024 par Observatoiredumensonge

Chapitre 11

Le sort de l’espèce humaine entre les mains de progressistes faisant fi de la Planète et de la postérité

A – Ce que les vaccins-Covid ont engendré de désastre n’est que le prélude d’expérimentations d’implants nanométriques encore plus effrayantes

Ce stratagème martial imaginaire, emmené par les fantasmes du conscrit de l’Élysée, contre un ennemi virtuel car contrefait, neutralise toute velléité de manifestations venant d’une Nation accablée, ruinée et sans force, car hébétée et incapable de se rebeller contre un appel solennel à l’unité nationale contre un improbable envahisseur. Ce fut historiquement en appui de telles bases que le nazisme prit force après le Traité de Versailles (Voir p. 38 et 74 : « L’effroyable conjuration du Forum de Davos », éd. L’Observatoire du Mensonge) ; cela passé l’écrasement du peuple germain, la récession et la famine outre-Rhin qui suivirent la Grande Guerre. Adolf Hitler, comme tant d’autres fascistes avant lui, inhiba les fondements civilisateurs des droits naturels pour installer son régime autoritaire contre de faux adversaires, ou ceux qu’il s’était lui-même inventé ; les Juifs et les communistes, les handicapés et tous ceux qui ne corroboraient pas avec ses ambitions hégémonistes, ou n’avaient pas le bon profil, la carte du parti unique.

Emmanuel Macron évoqua la déconstruction*, en réponse apologique à son gourou Klaus Schwab du WEF qui prône la grande réinitialisation (Great reset)*. Comprenons que ces deux vocables portent la même signification, donc les mêmes intentions, avec un lien indéfectible entre le maître et son adepte immature. Cette idéation antipatriotique qui agit comme une razzia sur les institutions démocratiques, porte l’empreinte d’un charlatanisme politique où se mêlent des oligarques et des kleptocrates dans la même confrérie sectaire : le WEF.Ces évangélisateurs d’une reconstruction mondialiste se doivent d’abord de démembrer la société de leur démocratie, de leur constitution populaire, comme le ferait une guerre de bombardement, pour transformer leur délire onirique en une société déshumanisée et sans voix ; dans les médias comme aux urnes !

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Lorsque le Maréchal Pétain légiféra, par une loi constitutionnelle du 10 juillet 1940, l’abolition de la démocratie et la ségrégation contre les Juifs de France le 3 octobre 1940 puis le 22 juillet 1941, une certaine analogie, quant à l’esprit qu’à la forme, s’est révélée dans les mentalités allumées des partisans du pouvoir exécutif (La République en Marche) avec les lois de discrimination (piqué et pas piqué) de l’État-Macron. Sous le motif controuvé d’une guéguerre contre un virus et les antivax, nombre de Français ont eu l’audace de tout comprendre de cette supercherie annoncée comme un alibi pour démanteler tout ce qui procède de la Constitution et des Droits de l’homme. Même si l’histoire n’est pas censée se répéter, et que les mobiles ne sont pas les mêmes, reste le fond vicié d’une telle manœuvre, dont le processus correspond à un copier-coller, depuis les noires desseins d’un sinistre Führer.

De tels vocables*, insérés subrepticement dans les discours anodins, ne sont-ils pas révélateurs d’intentions morbides, sinon symptomatiques d’un « déjà vécu » de sinistre mémoire ? Si l’histoire n’est pas duplicable, la nature des hommes reste la même dans l’Adn enfoui de leur esprit quel que soit l’époque, car la barbarie sommeille toujours dans un coin du cortex. Il suffit d’harangues maléfiques sur un public écorché vif qui croira à un sauveur charismatique providentiel, pour emmener à un désastre les foules déprimées et/ou démunies. Puis encore, si la technologie des puces nanométriques implantées (Voir p. 145, 159 à 175, 185 de ouvrage précité) vient corrompre l’ordre des droits imprescriptibles inscrits dans le marbre, alors gageons que, par la dislocation de l’entendement humain entre confiance et vulnérabilité, les choses irons encore plus vite vers une déchéance ainsi programmée de notre civilisation, susceptible à terme de compromettre toute visibilité démocratique, dans un monde où l’humain s’efface devant le pouvoir.

À SUIVRE

Daniel Desurvire


Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).


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