Magazine Journal intime

Le chou-fleur de Mostek

Publié le 23 septembre 2008 par Anaïs Valente

Souviendez-vous, j'ai évoqué, en commentaire, le chou-fleur préparé par Mostek.  Qui n'était pas bon (je la cite, mais n'allez pas lui répéter, elle va pas être contente que je divulgue un tel secret).

Non seulement il n'était pas bon, mais en plus, il vieillit mal, ce chou fleur.  Très mal.

Passque Mostek, dont l'inconscient a sans doute voulu lui faire oublier cet incident, a elle-même oublié son chou-fleur dans le frigo du bureau.  Durant de longues minutes.  De longues heures.  De longues journées.

Puis, durant le WE, il s'est rappelé à son bon souvenir.  Oups.

Et lundi, alors que je m'apprêtais à déguster une petite tartine aux graines de tournesol dont vous me diriez des nouvelles, avec une salade de crevettes à la ciboulette à se rouler par terre tant c'est bon (même que je la mange à la cuillère, pas bon pour mes fesses mais tellement bon pour mon moral), Mostek a décidé de constater l'ampleur des dégâts.

Je n'ai pas vu à quoi ressemblait la mixture au chou-fleur, Dieu m'en préserve.  Mais j'ai senti.

Senti.

Senti.

Si les PC pouvaient diffuser des odeurs, je vous en aurais fait profiter, au risque de voir mon blog déserté à tout jamais.

Un mélange d'odeur d'œuf pourri, de chou-fleur plus très frais, de lait caillé et de vomi. 

Une odeur qui prend aux tripes.  Et au cœur.  Enfin plutôt aux haut-le-cœur qui m'ont envahie après quelques secondes.  Après deux ou trois véritables nausées, je me suis échappée en riant, histoire de ne pas ajouter une odeur supplémentaire à celle qui régnait déjà.

Bon, entendons-nous bien, ouvrir les fenêtres quelques minutes aura suffi à dissiper l'odeur.  Mais mon pauvre nez ne l'oubliera jamais.

Vous voulez la recette ?

Souviendez-vous, j'ai évoqué, en commentaire, le chou-fleur préparé par Mostek.  Qui n'était pas bon (je la cite, mais n'allez pas lui répéter, elle va pas être contente que je divulgue un tel secret).

Non seulement il n'était pas bon, mais en plus, il vieillit mal, ce chou fleur.  Très mal.

Passque Mostek, dont l'inconscient a sans doute voulu lui faire oublier cet incident, a elle-même oublié son chou-fleur dans le frigo du bureau.  Durant de longues minutes.  De longues heures.  De longues journées.

Puis, durant le WE, il s'est rappelé à son bon souvenir.  Oups.

Et lundi, alors que je m'apprêtais à déguster une petite tartine aux graines de tournesol dont vous me diriez des nouvelles, avec une salade de crevettes à la ciboulette à se rouler par terre tant c'est bon (même que je la mange à la cuillère, pas bon pour mes fesses mais tellement bon pour mon moral), Mostek a décidé de constater l'ampleur des dégâts.

Je n'ai pas vu à quoi ressemblait la mixture au chou-fleur, Dieu m'en préserve.  Mais j'ai senti.

Senti.

Senti.

Si les PC pouvaient diffuser des odeurs, je vous en aurais fait profiter, au risque de voir mon blog déserté à tout jamais.

Un mélange d'odeur d'œuf pourri, de chou-fleur plus très frais, de lait caillé et de vomi. 

Une odeur qui prend aux tripes.  Et au cœur.  Enfin plutôt aux haut-le-cœur qui m'ont envahie après quelques secondes.  Après deux ou trois véritables nausées, je me suis échappée en riant, histoire de ne pas ajouter une odeur supplémentaire à celle qui régnait déjà.

Bon, entendons-nous bien, ouvrir les fenêtres quelques minutes aura suffi à dissiper l'odeur.  Mais mon pauvre nez ne l'oubliera jamais.

Vous voulez la recette ?


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