Magazine Humeur

Le point sur mes envies.

Publié le 28 octobre 2008 par Didier T.
Envie de bague : toujours là.
Envie de manteau Monoprix : passée.
Envie de bougie diptyque « essence of Galliano » : toujours là.
Envie de lampe bourgie de chez Kartell + envie d’une lampe aperçue rue Houdon avec le pied fait de petites branches d’arbres : TOUJOURS LA.
Envie de tout et de n’importe quoi.
Envie, envie, envie. 
J’ai acheté un livre de broderies japonaises. J’ai l’intention de changer de rideaux. Je les ferais chez mes parents parce que chez eux, c’est plus grand, c’est plus pratique, et, non négligeable, ma mère dispose d’une machine à coudre. Un peu vieille, certes, mais pour des rideaux, coutures droites j’imagine, ce n’est pas très grave. J’ai le livre de broderie de fleurs de Hiroko Aono-Billsen, j’ai aussi acheté les fils de coton DMC dont un très poétique « rose indien », ne reste plus qu’à imaginer un assemblement de plusieurs fleurs, il faut aussi que je me procure du tissus, je pense à du lin beige, il me faut aussi un truc pour maintenir les rideaux au-dessus de la fenêtre (une barre ?), et une perceuse pour faire des trous et accrocher la barre, et puis des anneaux à fixer sur le rideau pour qu’ils passent dans la barre. Je pense aussi à des sous-rideaux accrochées avec une grosse punaise et de la ficelle épaisse (trouverais cela au BHV). J’ai vu, chez ma mère, un catalogue avec les explications de sous-rideaux en coton aux aiguilles. Faudra que je m’y penche et que j’achète du coton, à la Droguerie, peut-être ou au Monoprix mais pour avoir un rayon Laines et Coton faut que je traîne ma carcasse jusqu'au boulevard de l'Opéra.
Sinon, j’ai terminé mon tableau de tulipes, mais le format bâtard du morceau de fibre de bois, rend les choses difficiles pour l'encadrement. Le week end dernier, je suis allée aux Puces. Rentrée bredouille. De toute façon les puces c’est un piège à touristes. Que des vieilleries qui coûtent des fortunes. Ca fait cher le kilo de poussière du 18 ème (siècle). J’ai mon tableau sur les bras, qui prend la poussière. Ma mère l’aurait bien gardé (elle aurait peut-être payée un encadrement sur-mesure), mais elle a dit qu’elle aimait bien les tulipes mais pas le pot, vexée j’ai dit « je le ramène à Paris. Il n’est pas pour toi de toute façon ! ». Faut toujours se battre pour conserver sa dignité, bordel.
Publié par les diablotintines - Une Fille - Mika - Zal - uusulu

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