Dominique Martinelli danseuse dans les années ‘80 pour Mylène !

Pas évident de trouver des infos sur le parcours de Dominique Martinelli. Sur le site officiel de la Starac, on apprend que pendant deux ans, elle a enseigné le yoga. Son myspace, quant à lui, nous apprend qu’elle est chanteuse et qu’elle a sorti un album - “Carnet de notes” - en mai de cette année. Quelques-unes de ses chansons sont disponibles à l’écoute, et nous émettons une mention particulière pour le compositeur-arrangeur du titre “Mondo triste” (tout en regrettant le très mauvais enregistrement de la voix de la chanteuse, y’a vraiment eu un problème de mixage). Premier élément donc : elle est chanteuse, pas connue certes, mais chanteuse.

Autre information : au début de la Starac 8, elle a tenu à démentir une rumeur qui affirmait qu’elle aurait été coach de Mylène Farmer. Elle avait rectifié l’erreur en précisant qu’elle avait “travaillé” avec Mylène pendant 7 ans. D’investigation en investigation, nous avons découvert la précision qui se cachait derrière le laconique vocable “travaillé” : elle dansait dans les chorés de Mylène Farmer dans les années ‘80, dans des looks vintage tout en chignons et épaulettes ! Un bonheur à regarder et à se repasser en boucle dans la vidéo ci-dessous, qui nous offre une intéressante interprétation chorégraphique du titre “Tristana”. Dominique est à droite de la chanteuse sur votre écran…

Mais comme Dominique se revendique chanteuse et non danseuse, nous avons poussé les recherches plus loin et avons déniché des images inédites de Dominique Martinelli en pleine transe vocale en 1989. L’extrait ci-dessous est tiré d’une vidéo amateur de l’époque (Regardez à 9′05 et 11′28), prise lors d’une des répétitions de la mythique première tournée de Mylène Farmer en 1989, qui déplaçait son cimetière géant de ville en ville pour reproduire un concert aujourd’hui culte. La vidéo ci-dessous a été tournée par un amateur en backstage du concert. On y voit Dominique Martinelli (en dessus rouge), accompagnée de deux choristes, improviser des vocalises sur “Love on the Beat” de Serge Gainsbourg. Pas inintéressant… Et le plumeau capillaire très tendance à l’époque, au sommet de la coiffure de la chanteuse à droite, est aussi un bonheur…

Conclusion de tout ceci, quand Dominique Martinelli dit que “les plus belles voix ne deviennent pas forcément de grandes chanteuses”, on sent comme une espèce de référence autobiographique…

Un grand merci à starnews.be pour cette info !