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Symphonie pour 54 chaussures

Publié le 10 janvier 2009 par Annonymise

Ce serait une "performance" qu'un hyperacousique tienne cinquante quatre secondes à cette expo d'Ingrid Bachmann, intitulée "Symphonie pour 54 chaussures" et présentée à la Galerie des arts visuels de Laval au Québec. Pistonnée !...
Soit dit en passant, Le bruit des pompes me rappelle l'acouphène pulsatile...
Ce happening va assez loin, puisque l'artiste souhaite faire interpréter sa symphonie à lacets par un instrumentiste à cordes...
Je ne me livrerai à aucune critique esthétique, ça risquerait de déraper comme une godasse sur une merde...
"Moi, mes souliers
L’installation d’Ingrid Bachmann, Symphony for 54 shoes (Distant Echoes), donne à voir et à entendre à la Galerie des arts visuels
Par Pascale Guéricolas
À quelques pas de la Galerie des arts visuels, un étrange cliquètement résonne. Tic-tac, puis tic-tic-tic ou encore toc-toc-tic peut-on entendre en tendant l’oreille. Cet enchaînement de rythmes métalliques, apparemment sans lien entre eux, ne ressemble à aucune sonorité de machines connues. Une fois en face de l’installation d’Ingrid Bachmann, Symphony for 54 shoes (Distant Echoes), présentée jusqu’au 14 décembre en collaboration avec la Bande vidée et Vidéaste recherché, le mystère s’éclaircit. Le bruit provient de nombreuses paires de chaussures alignées, toutes reliées à un censeur et à un ressort. Le censeur envoie un signal électrique à la chaussure au-dessus qui, en retour, cogne sur le ressort, produisant un son différent selon le poids et la texture de chacune. Lorsque plusieurs chaussures se laissent aller à taper du pied sur des tempos différents, cela produit une variété de rythmes aléatoires . "

La suite ICI"

photo Wojtek Gwiazda

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