Dépression, tu m’as eue…

Finalement c'est assez, bien plus que je ne puis supporter et pourtant je n'ai pas le choix.

Je pensais que ce blog comblerai le vide que me laisse le coma de ma muse… mais ça ne sert à rien.
Je ne prétendais pas en faire un mur des lamentations.

Je vais cesser d'écrire, rien ne m'aide… quoique que je fasse je retourne toujours à la première case, plus cassée que jamais.

Je ne supprime pas tout de suite ce blog parce que certains visiteurs viennent y consulter la pétition contre les benzodiazépines et j'espère, au moins pour quelques-uns, la signer.
Il est dans mes convictions qu'en 2009 il est scandaleux de laisser que des milliers de malades s'intoxiquent avec ces drogues quand le marché pharmaceutique ne manque pas d'autres produits moins dangereux… moins rentables peut-être aussi. 

Je remercie tous ceux qui m'ont soutenue ici ou ailleurs par la constance de leur amitié.

Je fais de mon mieux, mais je ne peux pas continuer à raconter ma vie comme ça, ce n'est utile à personne.

A bientôt, ailleurs…