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Synopsis vidéo clip Mylène Farmer scenario c'est dans l'air

Publié le 10 avril 2009 par Geribook
Le clip démarre sur une image de la Terre, le spectateur avance vers elle au rythme de la batterie du début de morceau.
Des images d'archives se succèdent : un défilé militaire (avec vue sur des jambes qui marchent au pas militaire de rigueur, quelques plans sur des images qui s'avèrent être par la suite celles d'un test d'une bombe atomique des années 50, avec des maisons, des mannequins, on a droit aussi à un beau champignon atomique).
Les squelettes font leur apparition : ils seront entre 5 (4,3,2) et 1 selon les plans et les moments. Mylène apparait brusquement sur "trahison c'est laid".
Habillée d'un petit short, d'une veste de cuir qui cache ses formes et d'une ceinture à tête de mort (boucle qui sert dans le clip d'illustration en gros plan vers la fin), elle est filmée sur deux plans : un trois-quart de gauche et l'autre telle que vous pouvez la voir sur la capture donnée par le site sans-logique.com, faisant semblant de danser sur place. Le brushing est, par contre, impressionnant ...
Le clip ne propose aucune histoire réelle (enfin si : il y a un petit fil conducteur : le test atomique qui mène à la destruction finale de la Terre) mais plutôt une succession de plans avec quelques bonnes trouvailles (Mylène commence une phrase "fatuité" et la tête de mort l'achève "c'est laid" par exemple ou encore le "passage fondu" tête de Mylène /tête de mort au début du clip) d'autres moins réussis peut-être (Mylène se retourne vers les squelettes comme s'il s'agissait de ses danseurs).
A noter que les squelettes exécutent une danse faisant penser furieusement penser aux anciennes chorégraphies de Mylène par leurs gestuelles (Désenchantée et JTM viennent en tête assez vite), le tout sur fond d'effets spéciaux dans le style des pochettes déjà dévoilées et des faisceaux similaires à ceux dégagés par des boules électrostatiques.
Le clip s'achève sur Mylène, souriante, fermant les yeux et une Terre qui explose (bruit inclus)

Merci à Terry  Lautre

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