le mouroir au quartiersans nul autree inquiét,de ces vieux délaissésle vide rencontré!
pourquoi briser les chaines,quand se coupent les veinesun monde à problèmesdont plus personne n'aime!
candeur dérisoire,ici dans ces palcardsun étonnant miroirqui répète l'histoire!
illusoire ces gens,qui maltraitent parentslibertaires et souillons, leur futur en action!
j'ai connu une mèrequi souffre maintenantce qu'elle a fait enfant, ils lui font maintenant!
difficile d' y croire,mais tout dans la mémoire,des langues de vipèresmeutries dans leurs chairs!