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Fête du travail

Publié le 01 mai 2009 par Elis

londresC'est assez paradoxal de fêter le travail en temps de crise. On se prend une journée off quand 60 000 personnes rejoignent les rangs des "demandeurs d'emploi" chaque mois, pour se dire qu'on travaille trop. Ca pique et ça gêne aux entournures.

Et quand on est au chômage ? On a droit aussi à notre premier mai ? Voilà une vraie question. Si je ne travaille pas, ai-je droit à un jour férié ? Logiquement non. Alors je vais aller au cabinet de reclassement pour travailler mon "capital professionnel"... "Bah non, on est fermé le 1er mai".

Alors pour ne pas me sentir différente de la population active employée j'ai décidé de faire comme tout le monde : me mettre dans la cohue touristique des week-ends de mai, payer plein pot mon billet d'Eurostar pour faire mon pélerinage annuel dans ma ville d'adoption : London ! Avec une mission spéciale cette année, c'est de faire découvrir la ville à une petite femme très spéciale !

A nous Camden, les fish n' chips, Portobello, Leicester square, la drogue, les pubs, Oxford Street, les sex shop, tower bridget-jones, Fortnum et le Maçon, Indian style cooking, la bière, afternoon tea, jug of guinness, la relève de la garde, le British Museum, parler à des inconnus, Coven Garden, Hide park, etc.
(j'ai barré les choses qui nous ont été interdites par le papa de ma compagne de voyage ! Et oui, à 32 ans j'ai encore droit à des recommandations avant de partir en week-end.).


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