devant jeunesse qui se came,
je n'ai voulu briser ma vie,
mon existence de maudit!
maudits soient ceux qui me haïssent,
je m'enfonce et je dévisse,
des mois dans ce pieux silence,
ils s'en mettent plein la panse!
où SONT ILS CES BIEN PENSANTS?
ceux qui jugent leurs enfants,
qui dictent ce qu'il faut se faire,
ou à tout le moins se taire!
j'ai parcouru les océans,
c'est partout et maintenant,
que les délires contumaces,
essaient de sauver la face!
eux pour se sauver la peau,
c'est d'avion et gros bateau,
nous c'est direction l'abime,
ou au mieux on se décime!!
temps maudits
Powered by ScribeFire.