Magazine Journal intime

Coupat, Julien

Publié le 28 mai 2009 par Lephauste

Cependant que partout autour et ce malgré le beau temps, les castors clouent, vissent, coupent, creusent, peignent ... la girafe à la chaux vive, brossent, tondent, élaguent, s'embouteillent, repiquent et laissent les cerises au marlot, Julien Coupat s'est encore une fois évadé, avec l'aval de la ministre et de son patron de droit divin, Sévère le Présidnet (celui qui dérape plus net). Voilà ce que c'est madame Marie de tremper toute seule sa petite culotte en Kevlar aux extraits de carbone, en pensant à la beauté de la jeunesse qui s'exprime en bandant. Et en s'imaginant pas que depuis 68 et ses turlupinades Danyveleuses ... Da ! Da ! Da ! Est-ce qu'on triche ou est-ce qu'on se cache ? La jeunesse est la forme la moins confuse de la pensée. Monsieur Besancenot à ce titre risque de durer, il semble n'avoir pas l'âge pour charger un car de CRS à lui tout seul et à l'arrêt. Pas lui ! Lui l'est déjà mais dans son cas on dit qu'il est en l'arrêt, bien à l'aplomb de ... de qui nous savons, taire le nom.

Moi ? Bah tiens oui, tu parles ! Mon age indigne, la pâleur de ma peau de blanc d'Espagne, les claires voies de mon scalp ont fait long feux. Quand je croise un citoyen policier, je sens bien que je lui fais peine. Pourtant je lève le poing quand on m'interroge, je vitupère, j'invective, je fais tout comme Coupat mais en plus claquant des ratiches, tu parles tiens, on m'ignore dans les sphères. L'Anti-France est laminée, le scrutin était truqué, quoique je pense on me compte pour du beurre, alors tiens ! Tu parles !

Je voulais donc ici saluer la libération de Julien Coupat et lui souhaiter un bon retour vers la seule liberté qui vaille d'être défendue, l'exercice plein et entier de la pensée active. Libération dans laquelle je n'ai pris aucune part, vu que Jean Marc Rouillan est encore aux fers de la Démocratie de loisirs. Mais que c'est pas grave parce que lui Rouillan, il en a tombé un, un patron. Et que ça, par les temps qui courent, ça ferait pas du bon spectacle.

Question : Comment vivez vous la prison ?

Réponse : Exactement comme vous vous vivez à l'extérieur (Puis développements).

(Entrevue réalisée je crois courant Mai, de Julien Coupat, faut que je vous trouve les références. Peut-être pas.)


Retour à La Une de Logo Paperblog