Magazine Journal intime

I am back...

Publié le 16 juin 2009 par Kanya

Après cinq mois d’abstinence (sexuelle ? Vous êtes tarés ou quoi ? Jamais je ne prendrais une telle décision saugrenue !) overblogesque je me décide enfin à me remettre en selle, le pied à l’étrier afin de débattre avec vous d’un sujet qui me tient particulièrement à cœur…

J’y pense, je pourrais profiter de cet article pour me confondre en excuse et formuler une requête du style '' J'implore votre pardon pour cette absence prolongée non justifiée!'' ou alors, pour faire dans le demie mesure, prendre la peine de vous faire part des multiples raisons qui m’ont amené à disparaître de la surface du web…

Je pourrais...

MAIS...

NON !

Ce serait faillir à ma réputation que d’avoir un minimum de considération pour autrui…


   Je disais donc mes chers lecteurs que c’est une question existentielle de taille qui m’a fait sortir de ma torpeur et qui m’amène à solliciter votre concours afin d’unir notre réflexion sur le sujet suivant qui je n’en doute pas une seconde, passionne les foules :

LA CELLULITE DES HARDEUSES !

Pour les non-initiés, les hardeuses sont des actrices dont la spécificité est d’apparaître à l’écran dans le plus simple appareil et de se prendre dans trois de leur orifice tout ce qui leur tombe sous la main…. (trois orifices, car généralement, les narines et les oreilles sont boycottées dans ce genre de pratique !)

(Je vous imagine tous en train de mettre une image sur mes propos... Et bien, c'est du propre ! Petits pornocrates que vous êtes ! )

Par conséquent, la particularité de ce genre de programme se résume par la mise en emphase du langage corporel… tandis que le langage verbal, lui, est relégué au second plan…

A la rigueur, un ‘‘Mets-la moi bien profond !’’ ou un ‘‘T’aime ça, hein, ma salope’’ peuvent éventuellement permettre au téléspectateur de mieux appréhender la scène et d'en saisir la portée symbolique !

Eventuellement !

Dimanche dernier, donc, la télécommande dans une main, mon minou dans l’autre et ma paire de rétines rivés sur le petit écran, matant bien sagement un petit film cochon, ma dextérité fut donc mise à l’honneur… quand soudain, mes globes oculaires ont subi un choc frontal avec des énormes capitons graisseux encerclant le haut du cuissot d’une des catins, qui hurlait tel un goret qu'on égorge, pour manifester son contentement alors que son marteau-piqueur de partenaire lui ramonait le trou de balle ! Même la Castafiore aurait été plus discrète…

Pour sa défense, la défense de son amas graisseux, il faut avouer que la Dame n’était pas toute jeune… Je n’irais pas jusqu’à affirmer que la date de péremption était largement dépassée… mais, il faudrait tout de même qu’elle songe sérieusement à sa reconversion professionnelle…

Cette vision d’horreur a donc coupé court à toute envie masturbatoire…et pire m'a replongé au coeur de la décadence, de la perversité et de l'obscénité, j'ai nommé le salon de l'érotisme qui s'est tenu à guichet fermé (tu m'étonnes !) en décembre dernier chez les Cht'is !

Cette vision cauchemardesque (toute cette graisse!) reminiscence de cette immersion momentanée dans le monde du porno a aussitôt fait ressurgir à la surface des souvenirs que je croyais avoir réussi à enfouir à tout jamais au plus profond de mon âme...

Dès lors, ont redéfilé devant mes yeux toutes ces pintades défraîchies -des quadra et des quiqua pour la plupart- saucissonnées dans leur tenue sado-masochiste tout en simili-cuir, bas résille et maquillage de pute...

Imaginez notre Régine nationale dans une pareille tenue et vous aurez une vision nette et précise de la réalité...

To be continued....
   La suite au prochain épisode, parce que là, ya un peu surchauffe de mes neurones qui n'avaient pas été autant solicitées depuis bien longtemps...


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