Magazine Journal intime

Il y a encore de l'espoir pour les traducteurs

Publié le 21 juillet 2009 par Frédérique Paresseuse

En regardant par quel incroyable hasard vous tombiez chez moi (mots clés ou liens), j'ai vu qu'un ou une malheureuse utilisait Google Translate, vous savez le super traducteur automatique qui ne coûte pas cher et traduit plus blanc que blanc.

Google translate

Eh bien voilà ce que ça donne, sur la note parue mercredi dernier et qui a fait fouetter tout mon fan-club (encore toutes mes excuses, je pensais avoir été claire sur le fait que c'était une réédition).

Worse than the chemo the Marthe de Fresnay (bon, ça, ça va... à peu près).

It is a little over a year, a cohort of physicians, surgeons, oncologists, radiation of all kinds have made love to me !!! (c'est pas vrai, je te le jure, chéri !!!).

I feared the side effects of chemo, but they are nothing compared to the violent headache that his head spins me to my hospital, ce qui veut plus ou moins dire (enfin moins que plus) : "sa tête m'a fait vriller jusqu'à l'hôpital".

My room nearby, a robust Sarthoise high in the great outdoors with an emphasis on wheels and a stentorian voice to make fart protection of neon in the bathroom. 

Vous voulez la trad ? Accrochez-vous, c'est parti : "ma chambre à côté, une robuste Sarthoise "high" dans les grands espaces avec une une insistance à roulettes et une voix de stentor à faire péter (dans le sens "prouter") la protection du néon dans la salle de bains". Bon, on arrête les frais.

Ah non, une dernière gâterie : vous savez comment ils traduisent "rinçage d'oeil" chez Google Translate ? "Rinse and look" ou, mot à mot, "rince et regarde" !!!

Google traduit peut-être, mais mal. Zéro pointé. Et c'est tant mieux !!!


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