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Notations de carnet de conversations 21

Publié le 19 novembre 2009 par Collectif Des 12 Singes
  • Il faut collectionner les pierres qu'on vous jette. C'est le début d'un piédestal. Hector Berlioz
  • Quand on veut on peut, quand on peut on doit ! (commissaire Broussard, l’homme au collier qui a tué Mesrine)
  • Il était trop de fois
  • Des mots sur nos maux
  • «Vivre, c'est se réveiller la nuit dans l'impatience du jour à venir, c'est s'émerveiller de ce que le miracle quotidien se reproduise pour nous une fois encore, c'est avoir des insomnies de joie.» – Paul-Émile Victor
  • « Ce qui distingue l’homme de l’animal ? C’est que l’homme siffle les chiens, tandis que les chiens, eux, sifflent les jolies femmes ! »
  • Mieux vaut mourir incompris que passer sa vie à s'expliquer. (Shakespeare)
  • t'as rien perdu du tout du coup
  • "La liberté d'expression n'est pas un luxe. C'est l'oxygène de la Démocratie"
  • Certains hommes peuvent être bêtes et un peu cabots ! ils sifflent, aboient et n'en démordent pas
  • distingue le bien du mal aussi clairement que la nuit du jour
  • Quand tu ne sais/sens pas, tu ne dis/fais pas
  • Prolonger des adieux ne vaut jamais grand chose ; ce n'est pas la présence que l'on prolonge, mais le départ.
  • Je viens demander la jouissance de … [Du lat. vulg. *gaudire, class. gaudere « se réjouir, éprouver une joie intime, aimer quelqu'un, quelque chose » : Début XIIe s. trans. « accueillir chaleureusement, faire fête à » ; « tirer agrément, avantage, profiter de (la possession de) »]
  • vas-y vas-y, joui joui mon ami
  • Pour se délivrer, il faut se livrer.
  • je ne ferai pas de vieux os ici bas, mais en attendant profitons-en !!!
  • Une fois qu'on s'est tout dit, on peut commencer à se parler.
  • Le doute est un hommage rendu à l'espoir. (Lautréamont)
  • La vérité a sur les épaules un châle de mystère.
  • Les passionnés soulèvent le monde, et les sceptiques le laissent retomber.
  • à jouer au plus con, pas sur que ça soit lui qui gagne ; Non mais il m'a pas bien regardé l'autre
  • Pocahontas : signifie « petite dévergondée » en langue Powatan, à 13 ans elle était aguichante envers les étrangers visages pâles, puis baptisée Rebecca
  • l'esprit est un état dans l'État
  • Quand le soleil décline à l’horizon, le moindre caillou fait une grande ombre et se croit quelque chose. " Victor Hugo
  • il faut savoir mordre avec modération
  • de plusieurs un
  • les rêves ne se comparent pas, ils se vivent différemment
  • Pour dormir tranquille, il faut n'avoir jamais fait certains rêves. (Musset)
  • « La grandeur de la Convention fut de chercher la quantité de réel qui est dans ce que les hommes appellent l'impossible. » Victor Hugo - Quatre vingt-treize
  • La chance ne tient qu’à un cheveu, et je suis chauve
  • Pratiquement rien c’est déjà trop
  • Quand mes amis sont borgnes, je les regarde de travers, du coin de l’œil
  • froide de cœur, moi ? Jamais ! Braquemard thermolactyl, qui apporte une chaleur naturelle et saine, adaptée à toutes les circonstances
  • c’est bien pour ça qu’on m’appelle le fourbe
  • c’est pas faux, une journée de plus en moins, de moins en moins même vu où j’en suis du compte à rebours
  • c’est pas mon truc ! Faudra un jour que tu me dises ce qu’est ton truc
  • la torture, quand c’est bien fait, y a pas de sang
  • j’ai l’impression de pulsion, de sudation
  • L'amour supporte mieux l'absence ou la mort que le doute ou la trahison. (A.Maurois)
  • Déblatérer : parler beaucoup pour chasser le cafard.
  • Le Vrai pouvoir ne se donne pas, il se prend...
  • Entre tous les voleurs, les sots sont les pires: ils nous dérobent à la fois le temps et la bonne humeur. (Goethe)
  • La différence essentielle entre un jeune con et un vieux con réside dans le temps qu'il leur reste à être cons.
  • Le silence est aussi plein de sagesse et d'esprit en puissance que le marbre non taillé est riche de sculpture. (A. Huxley)
  • La lucidité conduit elle nécessairement au cynisme ? désabusé mais pas encore cynique !
  • "On ne devient pas humble en prétendant l'être"
  • "Qu'on ne me demande pas de dépouiller cet orgueil qui m'a soutenu sur le chemin plus qu'autre chose. Seigneur, c'est parce que j'ai beaucoup méprisé que je suis venu vers vous. Plus tard, sûrement vous saurez me rendre humble. Déjà, je commence à aimer un peu" Pierre Drieu la Rochelle
  • "Ma lumière se déploiera dans ta blessure." Ancien Testament
  • Ce qu'on rencontre dans la vie est la destinée. La façon dont on la rencontre est l'effort personnel.
  • Une nuit au pied du mur, j'ai refusé les yeux ouverts ce que d'autres acceptent les yeux fermés.
  • pour l'amour d une rose le jardinier est serviteur de mille épines
  • La picole c’est comme le bonheur au Club Merde : demain j’arrête, si je veux (peux)
  • Ton verre est plaint, je le remplis
  • Ça t’ennuie si je vomis ?
  • On verra ça plus tard, c’est pas le moment
  • De mendier ça fait clochard, alors que voler c’est un genre
  • Pas question d’origine, juste intérêt de l’étrange étranger
  • Si tu dis qu’on vit une belle histoire d’amour, je me casse
  • vive les afterworks aux befores !!!
  • Hier est l'histoire, demain est un mystère mais aujourd'hui est un cadeau, c'est pourquoi ça s'appelle le présent
  • Le clepto[man(e)] des clitos
  • Y a pas de finement doucement qui tiennent, montre-moi ce que t’as dans le slip-barre / calebute (de chaud Mont) !!!
  • Je suis pas colère, juste outré !
  • Nous deux, ça peut encore marcher tu crois ??? Tout de suite ! Ah beh je sais pas, testons puis voyons
  • Be to Bite, plutôt que BB to Con ou B to Q
  • Souffler dans la flûte, ce n'est pas en jouer, il faut mouvoir les doigts. (Goethe)
  • quid de la flute de pan ? c'est la flute des chasseurs. il souffle dedans et... pan ! souffler n'est pas flûter ? Je préfère le Sax : c'est une conjugaison bouche et mains qui est particulièrement entrainante...mais bon...faut bien savoir en jouer
  • parfois elles ne savent pas donner le bon ton ! Au-delà du mauvais ton, le tempo est souvent mauvais
  • Ça fait toujours du bien de partir de chez soi, mais encore plus de revenir chez son home sweet homme
  • Adapté, à un cas spécifique, pas généraliste donc
  • Lors de temps morts de mon ordi, je vis quand même dans la vie réelle
  • Au bout d’un moment on sera obligé d’en arriver çà/là !!!
  • Répondre du tic au tac
  • Adieu monde virtuel cruel
  • Quand ça veut pas ça veut pas, quand c’est la merde, c’est la merde
  • Du vague à l’âme aux vagues aux larmes
  • Ça va mieux, ça se remue dans le pieu
  • Se faire défoncer les mouilles
  • Ne pas sauter les étapes trop vite
  • Toujours débile, jamais inattendu
  • Vas-y rajoute, coûte que coûte, mais au goutte après goutte qui fait déborder le vase qui trop va à l’eau à la fin se casse
  • Des problèmes redondants qui font mal aux dents autant qu’au crâne
  • Je ne vais pas rentrer dans ces débats et des Ohhh !!!
  • No way ! Way, because that the way it is !!!
  • Tout le monde le fait, personne ne sait en faire
  • Le naturel ne se réfléchit/commande/travaille pas
  • Être différent des autres pour se rassembler
  • À force de vouloir ressembler à tout le monde, on ne ressemble à personne, voire à rien
  • Quand tout le monde pense la même chose, personne ne pense
  • À force de se chercher on peut se perdre
  • Le problème c’est qu’on ne connaît pas son problème
  • Maudite soit la diablesse à qui tu as vendue ton homme
  • Je crucifie avec les clous de mes yeux
  • Je ne parle pas aux cons. Ca les instruit. Michel AUDIARD
  • 3 saisons que nous sommes séparés : presque un Vivaldi
  • L’éloignement de la solution mène à l’égarement dans la souffrance
  • L’amour te libère pour mieux accueillir l’autre
  • Quelques lignes saupoudrées de mots
  • On ne met pas quelqu’un en avant si il n’y a rien derrière
  • Par définition je ne me définis pas
  • Rodolphe, explique-lui toi qui a tout comprix, moi j’ai pas suivi
  • Comme c’est bon de s’étreindre avant de s’éteindre
  • Tuons-les ou enfermons-les psychologiquement tous ces criminels, avant de percer leurs secrets diaboliques et leurs tentations malsaines
  • Traiteur sur gage, parfaitement intraitable
  • Qui qui n’en veut du kiki ? Dites pas tous oui/moi en même temps
  • Allé, allons-y, ce sera déjà ça de fait, de moins et de ne plus à faire
  • On ferme, le personnel a aussi une vie sexuelle
  • À force de pomper ça sort, et souvent à hot pression
  • Ce que je ne gagne pas, je ne le dépense pas
  • Plutôt que de gagner beaucoup d’argent, je préfère en dépenser peu
  • La culture c’est ce qu’il reste quand on a tout oublié
  • Au plaisir de te nuire
  • C’est dans le rapport à autrui qu’on prend conscience de soi : c’est bien ce qui rend le rapport à autrui insupportable ! (Houellebecq)
  • Tout dépend ce qu’on vient y mettre
  • À l’œil je sens le toucher
  • Le vice versa dans la vertu, et vice et versa [vicis (« arrangement, ordre, position ») et versus, du verbe verto (« retourner, renverser ») soit littéralement : « la position étant renversée »].
  • si la vertu était une force du vice, tout serait ainsi versa-t-il
  • Il marchait dans le sens de la fuite
  • En t’enfuyant tu te cherches
  • se débiner de chapeauter (Exercer un contrôle)
  • Dans l'élégance apprise, ils voient une allure ...naturelle.
  • désamour dans le dénuement
  • j’ai honte de ma pauvre richesse
  • une fenêtre, même grillagée, ouvre sur le ciel et les astres, effaçant les désastres d’un mur aveugle
  • Le temps est le plus sage de tous les conseillers.
  • Au sage un signe suffit, Au sot à peine le bâton (proverbe juif)
  • un corsage cache souvent un corps peu sage
  • pas taillée pour la compétition mais plutôt pour l’oubli
  • celui qui fit d’elle une infidèle
  • L'attente est en proportion du bonheur qu'elle prépare.
  • "Est beau tout ce qui s'éloigne de nous, après nous avoir frôlés."
  • une fille de bite hume l’air, de rien n’était
  • Reagan : l’état n’est pas la solution, il est le problème
  • t’es pas gay, c’est pour ça qu’on rame
  • les parloirs ont gâché son regard
  • les matons arrêtent le corps, pas l’esprit
  • en tête-à-tête avec sa petite portion de rien
  • parloir fantôme (quand le détenu ne peut venir, le visiteur n’est pas prévenu à l’avance, et vice versa) : immense bout de néant
  • une petite lettre aux grands mots du cœur
  • un garçon sans père cherche l’ordre et la loi comme il peut, quitte à l’affronter voire à la bafouer
  • le suicide en prison est le seul moyen d’évasion
  • suicide : rien à dire, qu’à souffrir
  • un suicide sanguinolent est un besoin de rendre coupable les autres de son mal-être
  • La colère... Pas contre la personne qu'on a perdue, non. Mais contre tout ce qui n'a pas pu la sauver.
  • Et si on avait fait si ? Et si on avait fait ça ? Et si on avait su ?
  • Présence inutile indispensable
  • L'ennui est le suicide de l'âme. Le corps continue seul. Dixit un corporaliste, un spiritualiste aurait dit l’inverse !
  • On gagne à affronter ce grand nain qu’est l’ennui
  • pleurer un temps infini, tout comme l’est sa douleur
  • au-delà des huées de la nuée, l’Amour continue d’aimer
  • grand(e) écart(e), je prends la [tan]gente [féminine]
  • c'est facile de s'attirer les lauriers quand c'est de la repompe, mais y a aucune gloire à en retirer
  • La musique adoucit les mœurs, les miennes pas celles des voisins qui n’aiment pas les basses qui tabassent
  • Là, temps ! Ah, contretemps !!!
  • 33 cm ou 45 tours/min çà fait mal non ? d’autant plus qu’on les sont speed-(hard)-core/rock
  • La musique psychédélique des hippies est comme le bruit perché des technoïdes, c’est du chahut-bohu [chahut, de cahuer « huer », cahuler, cahuter « crier de douleur (en parlant du chien) : À Paris, vers les années 1830, dans les guinguettes et les bastringues, danse excentrique et un peu folle, voisine du branle et du cancan, dont les improvisations gestuelles hardies, les figures indécentes s'accompagnaient souvent de cris et de rires] [tohu-bohu, « solitude et vide » : le chaos primitif avant la création du monde, dans la Genèse]
  • Son parachute, chill-out, pour adoucir la descente et amortir la chute
  • J’ai perdu ce que je cherchais, je saurai ce que c’était quand je l’aurai retrouvé
  • Si tu ne trouves rien, cherche autre chose
  • Asseyez-vous sur les jambes de qui vous voulez
  • Lucky Turlutte (Sorte d’engin de pêche : par arrêté préfectoral, l’usage de la turlutte, de la fouine ou trident et de la bâche est interdit dans les cours d'eau non navigables ; turlututu, petites flûtes tenues en bouche. Turlututue siècle le pénis) : la femme qui dégaine ton gun plus vite que ton hombre (homme en espagnol) désigne au 19
  • C’est pas une vie d’être à vie ta fille
  • Pique-assiette du cœur : je me sers, je me régale, je me pète la bite, je me barre en ne débarrassant que le plancher
  • Si un jour t’as envie d’une histoire d’un soir sans lendemain qui déchante, tu sais où j’ai bite
  • Tout va bien, on passe pour des rats (-dins)
  • Vu le passif je peux rien promettre
  • J’ai de problème avec rien, c’est juste une question de contexte
  • On va commencer par la valeur sûre puis on va tenter l’aventure
  • Laisse-moi faire mon petit bazar et je reviens plus tard
  • Obligé de me plaindre moi-même : tout seul on n’est jamais mieux servi que par soi-même, et puis sinon personne ne le fait
  • La seule idée d'un dieu prive l'homme du seul possible paradis
  • Tous les 4 ans, lors des années bissextiles, c’est la fête du slip Olympia
  • pour un sein acheté, le second à moitié prix
  • J’ai déjà assez fait mon curé ce soir, maintenant je veux faire le goret pour sots
  • Monsieur est servi ! Hum, sacré miam-miam : jolie crac-crac madame que tu me sers sur un plateau d’argent, elle me donne l’eau à la bouche et le feu à la couche
  • Fidélité est mère de « raison », mais pas de passion, sa demi-sœur extravertie
  • La salsa est une sauce piquante qui s’exprime par la danse verticale avant la suce horizontale
  • Freak, assez ! was her(e) [assez de freak (monstre ou phénomène), qui était elle/là]
  • Avoir le cul entre deux bites bâtons de béton
  • Enfin … tu vois c’est quoi ce que je veux dire
  • Rien à foutre, je fais tout qu’est-ce que je veux
  • Le secret de l’artiste c’est d’habiter l’instant pour le (p)rendre (à) perpétuel (-uité)
  • Dépendance à qui et quoi que ce soit n’est pas bonne, sauf que certains se permettent de s’y accrocher et de s’y reposer à cause des incertitudes et des questions de la vie
  • Pourquoi chercher 12h à 14h, je préfère le 5 à 7 (17h on peut partir plus tôt du boulot, 19h on peut arriver plus tard à la maison, ça laisse deux heures de marge où on fourre qui bon nous semble)
  • Chasse pas gardée mais ouverte à tous les vents
  • J’observe le maître mettre son mètre
  • Mettre ça au net honnête au Net
  • Bad-trip party : tous perchés on se critique
  • Tour de magie : lévitation : tu l’avais vue ma bite, tu ne la vois plus, paf dans ton cul
  • C’est à double-sens, 2nd degré du 2nd étage inférieur
  • Claque ton cloaque (Empr. au lat. class. cloaca « égout » : P. ext., psychanal. Théorie cloacale. « Théorie sexuelle de l'enfant qui méconnaît la distinction du vagin et de l'anus : la femme ne posséderait qu'une cavité et qu'un orifice, confondu avec l'anus, par lequel naîtraient les enfants et se pratiquerait le coït »)
  • J’ai arrêté de chercher à couvrir les minettes, elles courent trop vite
  • L’occasion fait le daron, le baron
  • Les mots dits sont une rivière, ton âme en est la source
  • Je ne suis qu’une goutte d’eau : qu’on me laisse devenir rivière car plus tard je serai fleuve intarissable d’éloge pour embrasser la mer
  • Celui qui a fait un naufrage tremble devant des flots tranquilles.(Ovide)
  • enrichissant de subir un naufrage ; cela décuple nos énergies... encore faut-il savoir nager
  • quant aux coups et aux douleurs, ils laissent des cicatrices que seul le temps et l'amitié peuvent gomer
  • "La peur de se tromper est la porte qui nous enferme dans le château de la médiocrité. Si nous parvenons à la vaincre, nous faisons un pas décisif vers notre liberté". (F. Nietzsche)
  • Fille à usage unique : tu emballes, tu déballes, tu utilises, tu jettes sans consigne mais elle reste recyclable
  • Une plus belle de table
  • Il faut replacer tout ça dans le con(-texte/sexe)
  • Cassage de jambes/pattes arrière, béquilles dans ton cul, les deux jambes groupées
  • Après une bonne bouffe, une bonne touffe pour digérer
  • C’est trop hard, je vais aller faire un(e) allongé(e)
  • Avant même qu’elle ne pense/se demande si elle est observée, il faut arrêter de la regarder, ou alors tout en loucedé
  • Il semblerait … queue !!!
  • À grimper le Mont point G, y a moyen de s’éclater
  • Un mendiant bien portant est plus heureux qu'un roi malade. (Schopenhauer)
  • Poker : on rentre à 2 (euros), on recave (se remet dans le jeu) à 1
  • Poker : épousseter les jetons
  • Poker : ça y est, elle me suit au tapis, elle est couchée d’office
  • Petits mais costauds les hobbites, les korriglands, qui font du bien aux liliputes
  • Quand il y a de la place pour un, y en a pour deux, voire trois, ou même cinq (partout dans chaque trou plus deux en branlette)
  • Je suis pas tentée par la suce, mais faut bien se sustenter en protéines !
  • Le mal est mulet : il est opiniâtre et stérile. (Hugo)
  • C’est pas un bon ce champignon, il n’a pas de téton
  • Tu l’as vue ? Tu l’as bien vue ??? Tu l’auras pas eue ! Tu l’as verras plus !!!
  • Si/quand c’est bien fait, alors ça le fait !
  • Nous deux ça fait plus redondance que résonnance
  • La liberté, c'est l'empire que nous avons sur nous-mêmes.
  • Pas de masse-basse sans curé
  • Mon cœur sucker
  • Mâcher danois, sucer liégeois
  • Dès que tu sens un goût sucré/amer en bouche, là faut y aller de plus belle
  • J’ai mon cubi, ça va merci, ça me suffit
  • Hum ! Oui, hum … Comme tu dis, hum hum !!!
  • Ça s’obtient, ça s’accepte, mais ça ne se demande pas
  • Faut pas montrer ! C’est juste pour (sa)voir
  • Les pines des Landes
  • Rallonger la sauce
  • procrasturbation : procrastination par la masturbation ! (procrastination : tergiverser, atermoyer, remettre au lendemain)
  • Roger Mabite est caché dans le bosquet touffu, faut le débusquer
  • Autant perché mais plus pêchu
  • C’est une forme d’être-au-monde que d’être-contre
  • “on ne peut pas plaire à tous les goûts dans la nature”
  • Georges est comme le socialisme : faussement affectueux, vraiment grossier, secrètement acide.
  • Le jaloux aboie. La jalouse mord. Malheur à qui s'aventure, la nuit, dans la forêt des promesses indistinctes.
  • La vie est une pièce de théâtre dans laquelle nous sommes à la fois acteurs et spectateurs...Et depuis les coulisses, notre inconscient répète inlassablement les mêmes tirades
  • noué au cordeau
  • garde chiourme
  • "Encore aurait-il phallus que je le sachiasse pour que vous le suciez !"
  • La superstition est l'art de se mettre en règle avec les coïncidences. Jean Cocteau
  • N'y connaissant pas grand chose en la matière, je vis sans doute "dangereusement" avec mon sort sans en avoir conscience
  • je ne suis pas superstitieuse, ça porte malheur
  • Hasard est le nom que dieu a emprunté pour voyager incognito
  • Rares sont ceux qui ont l'intelligence de voir ce qui se cache derrière les masques.
  • J’ai quitté X car c’était l’horreur, mais avec toi c’est l’enfer
  • Soudain, le printemps revient, tel un amant qui n'a pas abandonné l'idée de vous rendre heureuse
  • Il connaît l'univers et ne se connaît pas. (La Fontaine)
  • « le bourgeois n’a pas de principe, il a des intérêts » Proudhon
  • ''Le bonheur, c'est souvent la chaise sur laquelle on s'assoit pour l'attendre''
  • Cancrelat : cafard
  • GAUDRIOLE (conter à la faveur de l'obscurité : Prob. issu du croisement de gaudir* et de cabriole) : Propos licencieux (généralement avec une valeur érotique). Synon. gauloiserie, grivoiserie, polissonnerie ; L'amour physique. Synon. la bagatelle
  • Joyeux, vieux drille. Libertin : Soldat vagabond. Synon. soudard :Au signal du plaisir, Dans la chambre du drille Tu peux bien entrer fille, Mais non fille en sortir. NERVAL, Faust, 1840
  • Colifichets : Petits ornements mesquins, mal placés ou qui ne sont pas en rapport avec les lieux où ils sont mis.
  • Loustic : empr. à l'all. lustig «gai, joyeux, amusant», introduit en France par les régiments suisses de l'ancienne monarchie française, où le loustic désignait le bouffon du régiment chargé de distraire et d'égayer les soldats menacés du mal du pays.
  • À la lisière des liserons fripons (liseron : Plusieurs espèces sont des mauvaises herbes qui peuvent étouffer les autres plantes sur lesquelles elles croissent. Plante grimpante et qui s’entortille aux plantes voisines, à fleurs en entonnoir et feuilles en forme de cœur : autre nom de Belle de jour, lys des champs, calystégie des haies, chemise de notre dame, robe de vierge, chemise de bon dieu, gloire du matin, clochette de la vierge) ; (fripon : « gourmand, bon vivant, avaler goulûment, voler » : Enfant enclin à l'espièglerie, à la malice; personne éveillée, délurée, quelquefois portée à des attitudes ou des propos lestes, grivois)
  • Juger à l’aune de (l’aune était un bâton servant au mesurage) : En considération de, à la mesure de.
  • Péremptoire : Qui affirme ses opinions sans autres considérations, sans réplique possible.
  • Orgasme (Empr. au gr, dér. de «être rempli d'ardeur», notamment «être plein de désir amoureux», verbe dénominatif de «mouvement naturel, disposition, tempérament, caractère», d'où «passion, colère» ; 1611 «vif accès de colère») : État de tension, d'excitation, de turgescence d'un tissu ou d'un organe ; Au fig. Effervescence des sentiments; mouvement incontrôlable de l'âme se traduisant par des phénomènes physiques.

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