Magazine Journal intime

La science et le fakir

Publié le 10 décembre 2009 par Goubetjl

   Alors pourquoi BEN-GHOU-BEY faisait-il toutes ces “choses” ? Il n’y avait en ses actes aucune dévotion religieuse,.Il n’était pas non plus un sado masochiste, ni un illuminé. Il ne se croyait pas invulnérable, il n’était pas imprudent ni inconscient. C’était tout simplement un chercheur, un vrai, un véritable scientifique. Il agissait avec discernement, chacuns de ses mouvements étaient pensés, calculés. Grace à son travail solitaire et malgré la risée ou les moqueries de tous, il a parfaitement mis en évidence l’influence du psychique sur le physique. Quelle utilité allez-vous penser ? A l’heure du réchauffement climatique ou de la guerre en afghanistan, ceci semble ridicule, désuet, risqué et stéril. Détrompez-vous. Malheureusement, si le public en général n’a aucune idée ce qu’est un véritable fakir, bon nombre de scientifiques non plus. La science actuelle admet pour vrai uniquement ce qui peut se reproduire à l’identique  en laboratoire. Il n’y a qu’à chercher sur internet ou ailleurs le combat incessant livré entre ceux qui croit au “paranormal” et ceux qui n’y croit pas. Si la quête du “reproductible” est louable pour déterminer la véracité d’un fait, il ne faut pas néanmoins sous estimer et mettre au panier le savoir et les prouesses des véritables fakirs. C’est malheureusement ce qui se passe car, si les effets ont été constatés en laboratoire, la recherche sur ce plan n’ira pas plus loin car...pratiquement personne n’est en mesure de le reproduire à l’identique !  Ce n’est pas une marchandise que nous pouvons reproduire puis vendre en sachet pour tout public. L’intérêt de la “science” envers BEN-GHOU-BEY et les autres éventuelles personnes pouvant executer ces prouesses devient alors inexistant !
   Quelques durs rationnalistes ce sont longtemps refuser d’admettre les travaux de BEN-GHOU-BEY. Clamant haut et fort que le “surnaturel” ou le paranormal n’existe pas. Certes, BEN-GHOU-BEY n’a jamais prétendu être ou avoir des dons surnaturels. Ce n’est que l’ignorance généralisée qui, ne comprenant pas le travail du fakir, classait celui-ci dans le même domaine que les OVNI ou le tarot. Ce n’est qu’après avoir démontré en laboratoire quelques-unes de ses habilités que BEN-GHOU-BEY à pu se faire reconnaitre comme vrai et authentique. Notons au passage, qu’en ce domaine particulier, le retard de la science officielle est tel que BEN GHOU BEY s’est bien gardé de démontrer l’étendue complète de son répertoire de connaissances et de possibilités !     Pouvant observer les faits et les mesurer avec de beaux appareils electroniques, les savants ayant étudié le cas ont bien été obligés d’admettre qu’en plus du simple spectacle présenté pour faire vivre sa famille, BEN-GHOU-BEY était bien plus qu’un simple “artiste de variété”.  Pour être donc constatables, les effets de ce “pouvoir” sont donc vrais mais ne pouvant être reproduits par n’importe qui, le fait de ne pas pouvoir l’embouiteiller et le vendre aux services secrets d’une” puissance militaire” le fakir est alors classé entre le ridicule du “paranormal” et la science officielle. Ce que le véritable fakir “sait” ne peut s’apprendre dans les livres ou à l’université, par contre ce que tous les “savants” d’aujourd’hui savent  OUI !
   Au même titre que les véritables fakirs, il se peut que tous les domaines classés dans le “paranormal” telles la télépathie, la télékinésie, la lévitation, les prémonitions bref, tout le tintouin habituellement classé comme “impossible” aux yeux de la science officielle, soit bel et bien possible. Le majeur problème et ce qui fait la joie des rationalistes de tous poils tels les zététiciens endurcis, est  que les personnes affirmant pouvoir réaliser telle ou telle prouesse sont à 99 % des charlatans, des truqueurs ou des illuminés. Il y a également ceux qui sont  totalement sincères, qui ont probablement produit ou vécu un des effets cités plus haut, mais qui, n’ayant aucun réel contrôle de la situation seront totalement incapables de reproduire les faits devant un protocole scientifique. Ces pouvoirs “merveilleux” qui se sont produits accidentellements,  ou par hasard et sans témoins fiables ne peuvent donc être pris en compte par la science. Curieusement, la science ne croient que ce qu’elle voit mais refuse d’admettre ce que les autres ont vu. Losqu’un homme tel BEN-GHOU-BEY démontre sont savoir en laboratoire, la science n’a alors plus affaire à une personne quelconque qui pense pouvoir faire bouger les aiguilles de sa montre par la pensée. Les faits sont clairement constatables mais..resteront à jamais dans les tiroirs, car cela va à contre sens de la science enseignée dans les facultés de médecine ou autres. Avec le temps, la véritable connaissance des faits passe alors dans l’oubli puis devient une légende, un conte à dormir debout. Une histoire “paranormale”. Tout ceci à cause d’une science officielle qui, enfermée dans ses dogmes, refuse tout ce qui n’est pas déjà écrit dans ses manuels. Les bruits et les “on dit” de ces légendes éveillent la curiosité ou la paranoia  de certains qui des années ou des siècles plus tard tentent grossièrement de reproduire les faits. L’ignorance ou la méconnaissance du sujet engendre alors les farceurs et truqueurs de tous poils. Ces derniers sont  critiqués, dénoncés et montrés du doigt par la science. Elle les prends alors comme exemples pour étayer un nouveau savoir qui n’en est pas un et peut ainsi nier l’existence de cette réalité.
   Si le travail du véritable fakir peut paraître inutile au monde scientifique, il n’en est rien. Bien au contraire. Le Fakir influe sur son corps par la pensée. Comme tout a chacun d’ailleurs car le simple fait de bouger un membre est également le produit de notre pensée ou volonté. Simplement qu’a force de travailler ses pensées, le véritable fakir, tel BEN-GHOU-BEY, pouvait influencer le fonctionnement de la plupart de ces organes.(pour ne pas dire tous). La science n’’admet généralement pas que l’on puisse, par la pensée, avoir une influence sur la matière. Pourtant, c’est ce qui se passe. Le fakir influence son corps bien au delà des limites généralement reconnues. Certains diront que la matière influencée n’est que son corps. Par effet de la pensée nous entendons un effet sur un corps étranger. Certes, ceci est le niveau au-dessus. Mais BEN-GHOU-BEY était parfaitement capables d’influencer une autre personne à distance, de la soigner ou de la rendre malade ! Nous abordons alors un autre sujet qui pourtant est le même. L’influence d’une simple pensée. Maîtrisée et dirigée.


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