Magazine Journal intime

Aouignahan han…

Publié le 17 décembre 2009 par Lawrence Desrosiers

Je réfléchis difficilement en marchant, malgré le vent du nord qui me pince le bout du nez et me gèle les neurones. Je pense à ces chansons québécoises qui ont marqué mon enfance dans l’temps des Fêtes et que j’interprétais à ma façon, c’est-à-dire, tout croche.

La première qui me vient à l’esprit, Le rapide blanc. Une chanson semi-cochonne (pour le temps) qui raconte l’histoire d’un homme qui frappe à la porte d’une maison, qui demande à entrer pour se réchauffer, à bouffer, à dormir et finalement à embrasser la maîtresse de maison, dont le mari est au rapide blanc. À la fin de chaque couplet on entend : Aouignahan han. Toute mon enfance, je me suis demandé ce qu’était la signification d’Aouignahan han. Personne ne m’a donné de réponse. Alors, ce soir, je vous dis en toute amitié, Aouignahan han, ma gang de sinsifflette.

Dans la bizarrerie musicale québécoise, il y a aussi ce classique qui a marqué mon enfance, En revenant de Rigaud. Les Québécois de mon âge qui me lisent, pourraient-ils me donner la signification de : C’est en r’venant de Rigaud crhungncrign ungn a cling a cligne a potin, crhungncrign ungn a cling a cligne a potin ouiououououffff, c’est en r’venant de Rigaud OHOHOHOHOHOOO! Cette chanson a été composée par Fernando Soucy et décomposée par The Tune Up Boys. Pour ceux qui en doutent, il y a cette vidéo. Soyez patient, la toune commence après environ 1 minute.

Aouignahan han…
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