The Warning signe

J’avais l’intention d’écrire ces mots hier, mais je n’avais pas le temps, ou plutôt je n’avais pas le courage, je voulais les écrire hier…car c’été la pleine lune, j’avais envie de te les dire hier, une nuit de pleine lune.
C’est La fin de l’été, comme à chaque septembre de chaque année, c’est la même angoisse qui m’érafle, je me dis depuis toujours que c’est le mois le plus tragique de toute l’histoire, 11 septembre, septembre noir, l’homme dévoile son vrais visage en septembre, septembre me hante, septembre me guette, septembre marque la fin d’une époque, septembre est froid comme un amour sans retour, aussi glacé qu’une attente d’un appel que tu va jamais recevoir.
Désillusion ! Le mot est rude, déjà dans ma tête, il me faisait mal au cœur, malgré tout ça, j’avais une envie incessante de l’écrire, pour me faire le plus de mal possible surement. Je ne m’inquiète pas ! Du désespoir mélangé à ma mélancolie chronique, me donne souvent ce genre d’effets, je me sens fragile et si prévisible, ça me déprime, je me déteste. Le chagrin m’écrase la poitrine, et je sais pas quoi faire a part de me détester encore plus, tu me manque, et ça ne sert à rien si je te le dis, prévisible comme je suis, tu doit le savoir déjà. Tu me manque, et je me déteste pour tenir le coup.
Tu me manque, au point de verser des larmes, je ne peut te le dire pour ne pas te faire peur, prévisible comme je suis, tu doit le savoir déjà.
Tu me manque, tu disparais au milieu du beau jardin que tu a créée dans mon imaginaire, tu t’envole dans le ciel que tu a construit au dessus de ma tête. J’arrive à peine à te voir, tes images reviennent hanter mon esprit, et j’en sais quoi faire, a part de me détester encore et encore.