Magazine Journal intime

alerte rouge en amérique

Publié le 07 janvier 2010 par Bob37

C’est arrivé maintenant, ca fait un an que j’attends. cette dernière semaine j’ai peine a
dormir, je suis stressé je sais que ca ne seras pas du gateau au départ. Mon fidèle ami dan
viens me prendre vers le terminus de bus. Les papillons sont déjà présent. Le bus me mène à
l’aéroport pour 2:30 du matin , je sais que sa seras pas du gateau j’hai les douanes, les
aéroports et spécialement les douanes américaines. En plus les états-unis sont en alerte rouge

après un tentative de terrroriste raté dans les environs des célébrations de noel.J’essaie mon passeport dans les guichet de service, je vois mon nom et mon itinéraire sur l’écran mais on écris d’attendre un préposé près de ce guichet. Il est 3 heures du matin il vont descendre du plafond je suppose. Je commence à me dire mon billet est-il ok, j’ai un reçu d’internet mais desfois surtout moi, y peut-être un pépin.

J’ai réservé sur exppédia, le billet que j’avais visé était venu Sold out avant que je procède à la transaction et rededevenu disponible. 869$ allez simple de montréal à Bangkok était un bonne achat peut-être trop bon me disais-je. Bon on fait une file interminable pour ouvrir le bal, je me suis rancardé un guide amateur qui a visité le vietnam plusieur fois et qui cette fois amène un couple d’amis. il revient le toupet au vent en disant il vienne d’ouvrir un guichet suivez-moi. Le pire est à venir on sort un présentoire avec des tarif pour les bagages trop lourd. La femme du couple d’ami dis combien elle a eu de la misère a entrer tout c’est bagage en les pésant sur sa balance perso. 25$ le kilo bon ça y est ca me coute un 100$ imprévu. Je passe le premier control d’American airline pas très courtois mais

bon c ok. mes sac commence a peser de plus en plus lourd. Mon frère au Laos veut un laptop, des ronds de cusinère, des conserves de sauce à pizza, je ne peut y refuser se privilège mais ca représente un autre poids sur mes épaules et malheureusement dans sac. Pour moi avec le stress que je m’imposse il dépasse facilement les 100 livres. Le préposé le mets sur l’ascenseur et il partie mon kiki. bon allon à l’abattoir, je passe le premier pré-control, tout semble bien aller on m’aiguille plus loin, je regarde les directives, je n’ai rien de liquide cette fois avançons, vous avez quoi dans votre sac heu, j’ai deux laptop et d’autre

C’est arrivé maintenant, ça fait un an que j’attends. Cette dernière semaine, j’ai peine à dormir, je suis stressé, je sais que ça n’est pas du gâteau au départ. Mon fidèle ami dan vient me prendre pour le terminus de bus. Les papillons sont déjà présents. Le bus me mène à l’aéroport pour 2 h 30 du matin, je sais que sa seras pas du gâteau je haie les douanes, les aéroports spécialement les douanes américaines. En plus, les États-Unis sont en alerte rouge après une tentative de terroriste raté dans les environs des célébrations de Noël. J’essaie mon passeport dans les guichets de service, je vois mon nom et mon itinéraire sur l’écran, mais on écrit d’attendre un préposé près de ce guichet. Il est 3 heures du matin ils vont descendre du plafond je suppose. Je commence à penser mon billet est-il OK, j’ai un reçu d’internet, mais des fois surtout moi, y a peut-être un pépin.

J’ai réservé sur Expédia, le billet que j’avais visé était venu en rupture de stock avant que je procède à la transaction et redevenu disponible. 869$ allez simple de Montréal à Bangkok était un bon achat peut-être trop bon me disait-je. Bon, on fait une file interminable pour ouvrir le bal, je me suis rancardé un guide amateur qui a visité le Vietnam plusieurs fois et qui cette fois amène un couple d’amis. Il revient le toupet au vent en disant il vienne d’ouvrir un guichet suivez-moi. Le pire est à venir on sort un présentoir avec des tarifs pour les bagages trop lourds. La femme du couple d’amis dit combien elle a eu de la misère a entrer tout c’est bagage en les pesant sur sa balance domestique. 25 $ le kilo bon ça y est ça me coute un 100$ imprévu. Je passe le premier contrôle d’American Arline pas très courtois, mais bon c OK. Mes sacs commencent à peser de plus en plus lourd. Mon frère au Laos veut un laptop, des ronds de cuisinière, des conserves de sauce à pizza, je ne peux y refuser se privilège,

mais ça représente un autre poids sur mes épaules et malheureusement dans sac. Pour moi avec le stress que je m’impose il dépasse facilement les 100 livres. Le préposé le met sur l’ascenseur et il est parti mon kiki. Bon allons à l’abattoir, je passe le premier précontrôle, tout semble bien aller on m’aiguille plus loin, je regarde les directives, je n’ai rien de liquide cette fois avançons, vous avez quoi dans votre sac heu, j’ai deux laptops et d’autres trucs électroniques. Impossible ça passera pas retourner vers l’envoie de bagage à l’avion et dites que vous avez 2 laptops….j’explique le tout, mais on me dit c’est impossible d’envoyer ton autre bagage c’est déjà parti. Je retourne au même contrôle on me dit ya deux laptops. C’est OK y peut passer. J’enlève mes souliers, j’enlève ma ceinture au risque de perdre mes pantalons, mets les laptopsd ans 2 bacs séparés et envoie le tout dans la machine. Ça semble OK, mais il y a trop d’électronique on contrôle encore, on passe un linge sur mes mains et mon laptop, estie que je capote, rien à me reprocher, mais j’hais ça…dur à endurer pour moi…on me laisse finalement aller.

Dans l’autre zone, je parle avec une fille sympa qui va en Amérique du Sud. On tire sur mon sac violemment je me retourne c’est une black qui me dit que je l’ai dépassé avec un visage colérique. Je m’excuse 2 fois, mais son fils me fixe comme s’il voulait me faire la peau. C’est parceque’on est à la douane là , je laisse une couple de personnes entre nous j’ai déjà assez de stress au ventre. Contrôle de passeport tout va bien je suis enfin dans la zone américaine, j’ai la sueur au front…très fatigué et pas dormi en 2 jours, et oui c’est pas encore fini on fait la file pour se rendre à notre quaie d’embarquement. J’ai peur de tomber sans connaissance j’ai les genoux qui claque, un dernier contrôle semble-t-il. Mon stock informatique a transformé mon départ en expérience plus que pénible. Enfin, on me fouille une dernière fois, mais les policiers de Montréal sont gentils et me laissent passer sans étendre mes choses sur la table.

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Enfin, on est dans ma première de 3 avions, un petit appareil de capacité de 60 personnes avec des commodités très réduites, American Arline c’est pas mon premier choix, mais bon. Enfin, a Chicago, on doit se dépêcher notre avion et dans à peine 40 minutes. Je suis les autres voyageurs qui en majorité prennent le même avion vers Tokyo. Je fini par les perdre, je demande, à la sécurité ou sont les départs internationaux il me dit que je dois ressortir et prendre une navette jusqu’au prochain Terminal. Je retrouve mes copains de vol dans l’autobus donc je suis bien dans la bonne voie. En ligne au poste de Japan Arline on se sent déjà plus important et confortable. De super de bon film District 9 et Up le film de pixar sont mes choix. Un banc immense et la boisson à volonté, j’y vais tranquille et je me bois un verre de rouge en mangeant. Enfin, mon appétit est revenu. Il était temps, je croyais, que j’allasse y laisser ma peau.Tokyo enfin est enfin là pour nous accueillir, un aéroport situé dans une campagne qui est loin des images qu’on s’est faites du Japon. Enfin un fumoir, le dernier aéroport sans doute ou on peut boire une bière et fumer. Je regarde les produits je me change un peu de Canadiens en Yen 5$ canadien pour un peu moins de 400 yens. Croyez-moi ya des produits électroniques de toute sorte, mais les prix reste très chère.

Je me contente, d’allez sur internet 10 minutes pour 100 yens pas mal moins cher et efficace que tous les autres aéroports et surtout celle de Montréal, Bell et bien de la merde. En route pour Bangkok les contrôles sont vraiment courtois et brefs. L’avion est moins spacieux, mais je suis déjà endormi pendant le vidéo de sécurité et je dormirais d’ailleurs la majorité du vol de 6 heures. Bankok est enfin là, les bagages finissent par ressortir. Bizarre comme mon semble enfin léger tellement que je l’ouvre pour être sur de ne pas m’avoir trompé. On entre dans le pays comme dans un moulin en Thaïlandais…je sors dehors la chaleur humide est au rendez-vous, je suis pris avec mes sous-vêtements d’hiver et mon manteau double épaisseur, quelle organisation ce garçon.

Je prends un taxi au deuxième étage, car quand on sort directement on nous offre les taxis de luxe les plus chers. Je négocie le chauffeur qui évidemment à réussi a ne pas mettre en route son compteur, il me demande 500 baths je dis impossible 400 baths c’est un marché pour nos deux, il essaie à plusieurs reprises, mais je prépare l’argent et je dis qu’au pire je sortirai et lui donnerai un point c’est tout.Il essaie d’arrêter des taxis, mais je comprends pas trop pour quoi, car il s’est ou on va. J’ai même pris le soin cette fois de prendre le numéro de téléphone. Bangkok est si énorme et mute si rapidement que même les taxis s’y perdent.

Je sors prendre une bière rencontre 2 Thaïs vont chez eux, un appartement plus que modeste avec un lit une veille télévision et un sol en béton recouvert d’une pellicule plastique. On roule en moto dans Bangkok à vive allure, peut-être que j’aimerai cette ville finalement. On boit écoute du scorpion que tout le monde adore ici demandé moi pas pourquoi. Je retourne à la maison me coucher dans ma minuscule chambre au plafond ventilateur sans toilette ni télévision. 250 bath 8$ canadien on peut pas trop en démander, je suis seul et je suis pas très difficile.

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