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Angoule !

Publié le 30 janvier 2010 par Coussindair
...  En fait, cet article, c'est surtout histoire de marquer le coup, puisque c'est la première fois que je raconte mes ânneries habituelles d'ailleurs que chez moi... ( d'un Hôtel louche, néanmoins équipé de wifi ) ...


 Enfin bon. c'est cool d'être parvenu à Angoulème sans problème. Hier, c'est sous un ciel plus bleu que dans un nalbum de Tintin que j'ai quitté Montpeul, en me disant : " Cool!...Cette fois, on ne restera pas bloqué dans la neige, comme en 2005..."  J'ai embarqué Jean-Marc à Clermont-le-Schtroumpf, Et yahaha, en avant le Kangoo, à fond les pistons, direction Angoulême, par la diagonale...

La diagonale , ( la diagonale du fou ) c'est à dire le plus court , mais non moins périlleux chemin , surtout en hiver, conduisant de notre si souriante région du Languedoc, à la légendaire cité d'Angoulême en Charente.  Enfin bon, la neige n'a commencé à tomber qu'à hauteur de Rodez, La route a devenir piste de ski, que vers je ne sais plus quel patelin au nom en "ac ", et le pare-brise à givrer que lorsqu'on n'arrivait plus à voir la route
ni à lire les panneaux.

Enfin bon. Catherine, ma gentille GPS, de sa voix aussi ha-chée que sexy,  m'a quand même guidé, en m'indiquant par avance les virages de la route ( masqués par le brouillard ) , et donc, à quel moment je devais tourner le volant... , ... Ce qui nous a permis, envers et contre tout, d'arriver à bon port.... C'est à dire chez Lio/nel Bro/usse, encore un vieux collègue du temps où on faisait tous ensemble des chôôses dans le fanzine Ho/uba. ..

D'emblée, parce qu'on était en forme, et plein d'entrain, heureux d'être arrivé,  on est allé au vernissage de "l'expo des jeunes talents", puis se faire une bouffe au restau, puis rentrer, puis dormir...  J'ai bien dormi, pour finir.  Ce n'est qu'en dormant que j'ai réalisé à quel point j'étais mort de fatigue, haha.

Ce matin, frais et dispos, donc, je me suis apprêté à affronter la bise glaciale, la chaleur suffoquante, les longues marches et les longues stations debout, les files d'attentes...  Parce que bon, comme toujours, j'avais en vu quelques albums de BD à me faire dédicacer de la gracieuse main de leurs auteurs. Et puis quelques vieux potes auxquels dire un petit coucou, comme je l'ai déjà dit précedemment...

Mais comme toujours, ma notoriété personnelle me poursuivant, ( huhuhu ) Je suis tombé nez à nez avec De/nis Pri/vat, un de nos fidèles ( depuis des années ) visiteurs de notre-expo-du-mois-de-Mai... On a discuté un brin.

Dans la foulée,  Je n'ai pas pu m'empêcher de passer aux éditions Paqu/et pour avoir un joli dessin de Sti, sur son dernier Ton/y Rab/bit... Là aussi on a causé de tout et de plus, forcément. ( Salut, Mic ) ...

 puis chez Dupuis, pour une dédicace de Bertschy, sur son dernier Nelson, puis heu...

Chez Casterman, pour dire coucou à Jac/ques Ferra/ndez, un vieux pote des arts déco, qui, une fois de plus n'a pas pu s'empêcher d'évoquer mon passé de joyeux déconneur. ( On ne se refait pas, quoi...

puis Heu... J'avais aussi dans mon colimateur Méz/ières et Chr/istin, chez Dargaud, pour le dernier Valérian, mais bon. Je suis arrivé un tantinet trop tard, haha. ( la file était close )

 Du coup j'ai fait la queue d'à côté, pour dire bonjour à Marc, un vieux pote des Arts déco, ( lui aussi ) qui dédicaçait son dernier Parker et Badger.
C'est toujours pareil. Dans des cas comme ça, c'est hyper gênant de raconter sa vie, quand on sait que les deux, qui attendent dans votre dos vous écoutent, et que trente autres attendent derrière. Haha... 

Mouais. Je me demande toujours pourquoi j'aime bien que les dessinateurs gribouillent sur mes BD. Enfin non. Si. Je sais. C'est toujours sympa quand on les relit, de se dire haaaaa oui.. On peut mettre ça dans le registre des souvenirs-auto-fabriqués, quoi.  Si je vais régulièrement faire mon pélerinage à Angoulême, c'est juste pour ça... En ramener des souvenirs... Ou une certaine motivation. C'est ( pour moi ) un peu comme aller visiter une expo-Picasso, avec Picasso qui vous dédicacerait une repro, en partant..  L'effet en est toujours assez remontant, jouissif, motivant, voir boostant.

C'est en tout cas plus productif que d'acheter un joli coquillage peint, en souvenir de Pala/vas-les-flots, haha. ( ...encore qu'il ait du positif en tout. )

Bon. Dans-ma-chambre-d'hôtel-ou-il-est interdit-de-fumer, je fume bien évidemment comme un pompier. Mon cendrier est une boite vide de " thon à la catane ".... Hé mais oui... C'est un vrai plaisir que de contrarier les réglements internes de ses endroits sordides, sans soucis de PV , ni d'aucune réprimande, ( en s'en foutant, et en faisant même exprès. ) haha. Parce que bon. Dans un hôtel premiére-classe-boîte-à-sardine-comme un formule-1, à propos duquel j'ai compris ( un peu tard)  que "best price" signifiait : "les prix les plus elevés " Haha. Je peux, je dois, même me le permettre. Allez, tiens, pour le prix, je me rallume un cigare.

Ceci dit, bon. Au festival, j'ai fait plein de photos aussi déglinguées les unes que les autres, mais bon, comme sur mon tout petit bazar d'ordi je n'ai pas encore installé Chauffeautop, la mise en ligne de ces superbes images, attendra mon retour à Cla/piers...Ou à Ma/uguio... Huhuhu. 

Demain, j'irai faire le siège de la forteresse Chris/tin-Méziè/res, et puis flûte. On verra.
Et puis essayer de me faire dédicacer l'alboume3 du petit léz/ard géant, de Lib/on ...
Et puis visiter des expos. Youpi Tralala. 

A suivre, donc.....

 




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