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Comme toujours, dans ce genre de cas, il faut que l'Église fasse une investigation plus poussée. Généralement, l'icône est apportée dans une église à la vénération des fidèles et perd son caractère personnel. Mgr Jean Yazigi, l'évêque du diocèse d'Antioche, tient l'icône sur la photo du site de France info.« Cela a commencé le vendredi précédant le Carême, le 12 février dernier. Jusqu'à hier [samedi 6 mars], la Vierge n'a pas arrêté de pleurer », a affirmé son propriétaire qui habite à Garges-les-Gonesses (95). Il explique qu'un prêtre libanais a offert cette icône à sa femme, Sevim, pour son anniversaire il y a quatre ans.
Espérons qu'il aura bien instruit les propriétaires de l'icône de la Mère de Dieu afin que ne se répète pas l'escroquerie perpétrée il y a une dizaine d'années à Paris. La myrrhe qui suinte des icônes est généralement parfumée (cf. billet sur Andros et billet sur l'icône de sainte Anne ou sur l'icône de Montréal), ce qui n'est pas le cas de l'«huile d'olive».