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« Qu’es-tu donc, toi qui m’aimes ? Le miroir où je me regarde ou l’abîme où je me perds ? » Gustave THIBON

Publié le 24 mars 2010 par Noureddine

NARCISSE N’EST PAS MORT ! 1

« Qu’es-tu donc, toi qui m’aimes ? Le miroir où je me regarde ou l’abîme où je me perds ? » Gustave THIBON

NARCISSE N’EST PAS MORT ! 2

« Qu’es-tu donc, toi qui m’aimes ? Le miroir où je me regarde ou l’abîme où je me perds ? » Gustave THIBON

NARCISSE N’EST PAS MORT ! 3

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NARCISSE N’EST PAS MORT ! 4

« Qu’es-tu donc, toi qui m’aimes ? Le miroir où je me regarde ou l’abîme où je me perds ? » Gustave THIBON

NARCISSE N’EST PAS MORT ! 5

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NARCISSE N’EST PAS MORT ! 6

« Qu’es-tu donc, toi qui m’aimes ? Le miroir où je me regarde ou l’abîme où je me perds ? » Gustave THIBON

NARCISSE N’EST PAS MORT ! 7

« Qu’es-tu donc, toi qui m’aimes ? Le miroir où je me regarde ou l’abîme où je me perds ? » Gustave THIBON

NARCISSE N’EST PAS MORT ! 8

« Qu’es-tu donc, toi qui m’aimes ? Le miroir où je me regarde ou l’abîme où je me perds ? » Gustave THIBON

NARCISSE N’EST PAS MORT ! 9

« Qu’es-tu donc, toi qui m’aimes ? Le miroir où je me regarde ou l’abîme où je me perds ? » Gustave THIBON

« Perdu dans l’immensité de l’univers, l’homme semble disparaître, et pourtant c’est lui qui est le dépositaire unique des images, le miroir où viennent aboutir tous les rayons des choses. Le monde n’existe que quand il s’est reflété dans ses yeux, dans sa pensée. Ce n’est qu’en passant par ses sens et son intelligence que la nature se revêt de formes. C’est lui qui a créé la beauté ; il reste même en extase devant son œuvre. » Louise ACKERMANN



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