Magazine Journal intime

[cover page] la salegossitude de marc-edouard nabe

Publié le 06 avril 2010 par Tilly

... je ne suis pas un modèle, je suis un exemple...Nabe répondant aux journalistes de chronic'art qui l'interrogent sur l'esthétique du "sale gosse", apogée de la posture nabienne :

" C'est peut-être l'âge. A 50 ans le type ne retient plus du tout son côté sale gosse. Il y a le "bogossitude" de Mickaël Vendetta, moi je suis dans le "salegossitude" ! (Rires). Et cela vaut depuis mon premier Apostrophes jusqu'à aujourd'hui, en passant par L'Idiot International. A partir du moment où [le narrateur de L'Homme qui arrêta d'écrire] cesse d'écrire, il retombe naturellement en enfance. Il a donc un regard à la fois pur et déconneur que les autres n'ont plus du tout."

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