Envie d’écrire partout où je vais. Me faudrait la présence d’esprit de conserver toujours sur moi un carnet et un stylo (ça ne se voit pas là, mais j’écris sur une vieille pub IKEA qui traîne au fond de mon sac). J’aime le papier. J’aime pouvoir noter mes idées avant qu’elles s’évaporent. (…)
Ce soir nous sommes 11 dans la salle de ciné. Il y a pourtant de quoi accueillir du monde ici : 17 rangées de 14 sièges bleus. Et les tarifs sont loin d’être exorbitants (contrairement à ce qui est pratiqué dans les gros complexes). Juste deux filles. Moi y compris. Publique très masculin.
Un nom pour nous attirer...
Normal me direz-vous. Il s’agit d’une séance pour PREDATORS. J’espère que j’aurai peur cette fois… Splice m’a trop déçue. .. On verra si Adrian Brody occupe un rôle un chouïa plus intéressant ce soir.
Et oui j’aime me faire peur !
Ça y est. Le film commence. Gros plan sur A.B. justement. En chute libre vertigineuse, son parachute tarde à s’ouvrir… Atterrissage violent dans une jungle dense… Bon ça commence bien.
Bon, le tout est resté rythmé, la photo soignée. Pas eu le temps de m’ennuyer, ouf. Certes l’ensemble est un peu réchauffé et ne vaut pas le premier opus ni un bon Alien, mais c’est déjà pas mal ! Moyen plus en gros. Inutile d’espérer avoir VRAIMENT peur au final.
Le pire est sans aucun doute la vague histoire d’amour en demi-teinte qui s’esquisse sur la fin du film. Grrr. Mais arrêtez de tout mélanger
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