Magazine Journal intime

A la recherche de J-P B de Jambes…

Publié le 13 août 2010 par Anaïs Valente

Voilà plus d’un an, j’ai cessé d’acheter le Ciné Télé Revue, qui était pourtant ma bible depuis des années et des années.  Déjà avant que je vive seule, c’était ma bible.  Et puis, ça l’a été encore et encore, donc durant un temps fou, du temps d’avant ce siècle.

J’ai arrêté car j’avais plus le temps de le lire, mais surtout car j’avais, pour mon job d’indépendante qui écrit des trucs sérieux sur la consommation, le management et les ressources humaines, un abonnement au Vif, que je n’avais bien sûr pas le temps de lire non plus, malgré les articles intéressants (si on omet la politique et les finances).  J’aimais beaucoup son supplément télé, plein de critiques pertinentes.  Même si j’ai jamais pigé comment ils pouvaient dire du mal d’un film ou d’une émission dans un article pour ensuite mettre un pouce levé en signe de logo positif sur le même film ou la même émission dans la grille programme (je les ai interrogés par mail à ce sujet, mais ils n’ont pas daigné répondre, chais pas pourquoi, doivent se prendre pour l’élite de la nation journalistique, chez Vif).

Depuis peu, j’ai plutôt opté pour un abonnement à Test-Achats, plein d’infos pertinentes en matière de consommation.  Et mon abonnement au Vif est décédé de sa belle mort.

Ce qui fait que voilà le big come back de la mort qui tue la vie (expression spécialement reprise pour Gala Delvaux) du Ciné Revue dans ma modeste demeure.

Avec son lot de potins en tous genres.  Avec ses infos pertinentes ou pas.  Avec ses programmes télé.  Avec son courrier des lecteurs.  Et par conséquent, avec J-P B de Jambes.

Comment, vous ne connaissez pas J-P B de Jambes ?

En êtes-vous sûrs ?

C’est sans doute car vous ne lisez pas le Ciné Télé revue.  Ni le Vers l’avenir.  Ni encore, sans doute, la foule de journaux et magazines dans lesquels J-P B de Jambes doit sévir.  Sévir ?  Oui, c’est sans doute un bien grand mot… S’épancher dirais-je.

Les courriers de J-P B de Jambes, du temps oùsque j’achetais encore le Ciné Télé Revue, étaient déjà fortement présents.  Un peu comme une indigestion.  Ou une épidémie.  J-P B de Jambes a des avis sur tout tout tout (comme moi, vous me direz, je suis d’accord), et il adore les partager avec la presse, c’est indéniable.  Des avis sur tout je vous dis.  Et bien souvent, J-P B de Jambes, il râle sur tout tout tout (comme moi, vous me direz, je suis d’accord).  Bref, J-P B de Jambes adooooore causer.  Et écrire.

Et de me dire que je devrais peut-être envoyer mes bafouilles quotidiennes à Ciné Télé Revue, Gala, Vers l’Avenir, La Meuse et Télé Moustique… non ?

Allez…

Vous avez du Ciné Télé Revue chez vous ?

Faites le test.  Allez zieuter…  Jeudi dernier, J-P B de Jambes s’épanche sur Plastic Bertrand, qui n’aurait pas réellement chanté ça plane pour moi, le vilain pas beau.  Ce jeudi, J-P B de Jambes s’étend sur la délation favorisée par Youtube.  Et je n’ai encore acheté que deux Ciné Télé Revue depuis ma reprise.  Dans les deux, J-P B de Jambes.  Si vous avez des vieux Ciné Télé Revue en stock (et aussi des Vers l’Avenir, il en est friand), par pitié, allez vérifier, et dites-moi de quoi J-P B de Jambes nous parle, on pourra faire des statistiques et des tableaux comparatifs, afin de profiler J-P B de Jambes, notre courrierdeslecteuristesensérie...

Question du jour : que nous réserve J-P B de Jambes pour jeudi prochain ?

Seconde question du jour, autrement plus importante : qui est J-P B de Jambes ?

Jean-Pierre Bradoteur ?

Juan-Padres Brhablar ?

Jeau-Paul Brâleur ?

Jocelyn-Prout Brouspéteur ?

Jean-Philippe Beauparleur ?

Jean-Pascal Bononcause ?

Jos-Peter Bandepieperzeel ?

Le pire, c’est que je connais quelqu’un dont les initiales sont J-P B, et qui habite Jambes.  Allez, avoue, c’est toi ?

Finalement, moi je trouve que J-P B de Jambes devrait tenir un blog, tant qu’à faire…

J’ai essayé de vous illustrer J-P B, mais pas su me décider, je vous laisse le choix…

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