Magazine Journal intime

L’envie d’écrire n’arrête jamais

Publié le 05 octobre 2010 par Aparily

IMG_0107J’apprécie vraiment mes fins de semaine de trois jours, je décroche totalement de mon travail et je suis beaucoup plus productive les jours de boulot. C’est gagnant-gagnant en somme.

Hier, je suis allée m’éblouir au parc de la Jacques-Cartier et je suis revenue avec des couleurs dans les yeux. La nature est tellement belle en ce moment. Juste assez pour nous faire oublier que l’hiver se rapproche. Mais cette saison est propice à l’écriture pour moi. Je sors moins, même si je fais du ski et de la raquette, et j’écris beaucoup plus.

J’ai rendu le manuscrit de mon tome 3 la semaine passée et deux jours après, je ressentais déjà l’appel de l’écriture. Ça ne s’arrête jamais. C’est très bizarre d’ailleurs, ce phénomène. Les idées, l’envie d’écrire, de retravailler mes textes restent toujours là. Pas de pause, pas de vacances, ça tourne non-stop dans ma tête.

J’ai donc hésité à commencer le tome 2 de ma série pour ados mais je me suis rendu compte que c’était mieux que j’attende. J’ai du mal à travailler sur plusieurs projets en même temps, et puis ce tome 2, c’est pour le Nanowrimo 2010. Du coup, j’ai vidé mon esprit ou plutôt je l’ai laissé vagabonder et là, bang, une autre idée de série qui se dessine dans ma tête. Une saga familiale. J’ai toujours eu envie d’en écrire une. Et puis j’ai envie de pouvoir aborder des thèmes qui me tiennent à cœur.

Avec ma trilogie, je devais rester plus ou moins légère, aborder des sujets plus ou moins définis même si j’ai tenu à ne pas rester dans le magasinage, les amours, les déboires et l’alcool. Avec ma série pour ados, là encore, j’ai choisi de ne pas aborder des sujets graves. J’aurais pu cela dit, la collection pour ados de ma maison d’édition s’appelle Tabou, ça en dit long, mais c’est hors collection que ma série sera publiée parce que je n’avais pas envie d’écrire sur des sujets comme le suicide, les abus sexuels ou autres pour des ados.

Arrive donc mon idée de saga familiale. Sans limite, sans contrainte, où je pourrais aborder des sujets plus “difficiles”. Je ne sais pas où je vais pouvoir la caser dans mon emploi du temps, je ne sais pas si je vais avoir le temps de la développer, je ne sais même pas si elle est viable, si je pourrai me rendre au bout du premier tome, mais j’adore la sensation que je ressens quand des nouveaux projets d’écriture s’ouvrent devant moi.


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