Magazine Journal intime

The romantic girls & the city team, épisodes 8, 9, 10, 11

Publié le 04 décembre 2010 par Anaïs Valente

Sorry les petits amis, j’ai un peu zappé nos soirées romantic girls & the city.  Pas zappé au sens que je n’y suis pas allée, pensez-vous, les soirées romantic girls & the city, pour moi, c’est comme la perle pour l’huître, la cerise pour le gâteau ou l’écharpe Strelli pour l’Anaïs : in-dis-pen-sa-ble.

Bien sûr, vos avis comptent pour nos choix, puisque le sondage, là, à droite, guide nos soirées.  La team ne recule devant aucun sacrifice, cela va de soi.

quandharry.jpg

Le film de notre huitième soirée, donc, choisi par vous : Quand Harry rencontre Sally.

En VO, pour la première fois.  « Tu as raison, tu as raison, je sais que tu as raison », est donc transformé en « You’re right, I know you’are right », enfin si mes souvenirs sont bons, car l’expression française, je la connais depuis des années, l’anglaise, je l’ai découverte.  Un peu comme le « on ne laisse pas Bébé dans un coin » de Dirty Dancing, dont j’ignore la traduction, car je n’ai regardé la VO qu’une seule et unique fois, après des années de VF.

21 ans déjà que ce film a été tourné… et ça commence à se voir niveau fringues.  Celles du début du film ont toujours été ringardes, et pour cause, l’action se situe dans le passé… celles de la fin du film le sont maintenant aussi.

Mais Quand Harry rencontre Sally n’a rien perdu de son charme, de son romantisme et de son humour fou.  Je peux le regarder chaque année, j’ai toujours ce petit pincement au cœur.  Passque c’est une histoire d’amour comme ça dont je rêve et j’ai toujours rêvé, ce qui est mal barré vu que j’ai jamais été foutue d’avoir un ami mâle… que des filles, tchu.  Meg Ryan y est craquante à souhait et Billy Cristal exaspérant au possible.  Leur duo fonctionne à merveille. J’adore j’adhère.

Joli film, jolie soirée, agrémentée, si mes souvenirs sont bons, de poulycrock, frites et Cocalight, que du bon pour la santé, comme d’hab.

lechocolat.jpg

Neuvième soirée : Le chocolat.  Dix ans déjà pour ce film en forme de conte de fées.  Avec la princesse, alias Juliette Binoche, expatriée avec sa fille dans un village coincé, qu’elle va tenter de réchauffer à grands coups de pralines et autres douceurs.  Avec le vilain pas beau, alias le curé, rétrograde, considérant le chocolat comme un péché (tiens, on dirait Monseigneur Léonard) et … ben vilain pas beau quoi. Avec le beau prince, alias Johnny Depp, beau comme un dieu grec, charmant comme le prince qu’il est, aimable et aimant, comme on l’attend d’un prince. 

Un film tout mignonnet, tout touchant, plein d’humour aussi, qui met du baume au cœur comme le ferait un kilo de manons de Léonidas (les meilleures au monde… tiens j’irais bien m’en acheter pour mon birthday).

Seul regret : Johnny est beaucoup moins présent dans le film que dans le souvenir que j’en avais, titchu.

Pour agrémenter cette soirée, un plat de pâtes (miam) et des gnocchis (beurk) commandés au resto du coin, suivi de succulentes petites choses en chocolat et de cuberdons à plein de goûts.  Que du bonheur.

esprit de famille.jpg

Dixième soirée (déjà !) : Esprit de famille

Bon, je l’avoue, le film qu’on devait regarder, c’était Ce que veulent les femmes, mais la tentation de regarder le suivant en matière de votes était trop forte, alors on a craqué, d’autant que la veille de la soirée, ils étaient à égalité, donc ce n’est qu’une demi tricherie, non ?

Aaaaah, Esprit de famille.  Ce film est le petit bonheur de ma vie. 

Il réunit tout ce que j’aime :

- l’ambiance de Noël (j’aime plus Noël, car une fête de famille sans famille, ça craint, mais j’aime les films avec ambiance de Noël)

- un brun ténébreux au cœur d’or

- une pauvre petite femme coincée (Sarah Jessica Parker) qui débarque dans une famille totalement à l’opposé de son caractère

- des moments d’émotion qui font verser des larmes

- des moments drôles qui provoquent de l’asthme (remarquez que ces deux phrases forment quasi une poésie, même si la crise d’asthme, je l’ai vraiment eue, tant je riais au cinoche)

- des quiproquos

- de l’alcool à gogo (encore une poésie)

- de l’amoooooooooooooooooooooooooooooouuuuuuuuuuuuur toujours

Vraiment un de mes films fétiches, un film culte, un film à voir.  Un film que j’aime d’amour.

Alors, si je devais partir sur une île déserte avec cinq DVD, je prendrais : Pretty Woman, Dirty Dancing, Orgueil et préjugés, Esprit de famille et… euh, pour le cinquième je réfléchis ???

Avant Esprit de Famille, un chtit plat de pâtes de supermarché, basiques mais bonnes.

ccequeveulentlesfemmes.jpg

Onzième soirée : Ce que veulent les femmes.  Qu’on avait zappé quinze jours plus tôt.

Mel Gibson au top de sa forme, y campe un macho abominable, persuadé de son pouvoir de séduction et de son humour qui les fait toutes craquer.  Suite à un accident domestique, le voilà capable d’entendre ce que pensent les femmes… Il réalise alors que ses techniques de drague et ses blagues à deux balles ne font pas que des heureuses.

Voilà un film tout drôle et tout léger pour une soirée qui l’était tout autant… si l’on zappe bien sûr les succulentes pizzas qui nous ont été livrées, car on était trop fades pour aller en chercher.  Livrées avec des desserts, profiteroles ou mousses au chocolat.  J’ai ensuite passé le début de ma nuit sur le pot… mais comment savoir si cet … « incident » intestinal était dû à la pizza, à la mousse au chocolat, ou à Mel Gibson exaspérant… difficile à dire.


Retour à La Une de Logo Paperblog