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Le Dossier noir des Médicaments de synthèse, Réquisitoire du Docteur Louis de Brouwer

Publié le 03 décembre 2010 par Laurepouliquen

Le Dossier noir des Médicaments de synthèse, Réquisitoire du Docteur Louis de Brouwer

(Le dossier noir des médicaments de synthèse, page 39)

Les produits de synthèse actuels n’ont rien à voir avec aucune des substances produites par la vie. Construits de toutes pièces, ce sont des corps morts et leur introduction dans l’organisme, du fait qu’il s’agit de corps chimiques étrangers à nos structures, provoque leur rejet. Ce rejet, hélas ne s’effectue pas sans léser divers organes de manière irréversible.

Au produit chimique s’oppose le médicament naturel qui, lui, est une production de la vie. Il est certain qu’au cours de l’évolution nous avons intégré en nous des structures antérieures de l’univers et qu’existent des phénomènes électromagnétiques, des résonances vibratoires, des concordances entre la plante et l’homme, entre les roches, métaux et l’être humain…


Avoir voulu tenter de parvenir par la chimie, à reconstituer l’équivalent des produits naturels, fut une capitale erreur, source de maints déséquilibres, déconvenues et scandales.

Un début de preuve, avec plusieurs exemples.

Jean-Louis Bianco, ministre des Affaires sociales, le 3 octobre 1999 à l’Assemblée nationale :  » Les Français figurent parmi les champions du monde de la consommation de médicaments et personne ne peut prétendre qu’ils sont mieux soignés pour autant. En un an, on enregistre plus de dix-sept mille hospitalisations pour abus ou mauvais usage de médicaments « .

La ménopause est un phénomène physiologique qui n’a aucun besoin d’assistance médicale. Parfois quelques manifestations fâcheuses, bouffées de chaleur, sont éliminées grâce à un régime alimentaire plus léger et quelques compléments alimentaires. Quelle détestable tendance que de vouloir ordonner une assistance hormonale œstrogénique de substitution, dont il n’a jamais été prouvé qu’elle soit nécessaire. En revanche, certains œstrogènes de synthèse comme l’oestriol, l’éthylniloestradiol, sont notoirement cancérigènes. Certains sont toujours vendus et même conseillés par des médecins.

L’ostéoporose dont parlent tant les médecins en terrorisant les femmes n’est pas inéluctable. Ce n’est pas une maladie mais une « toxémie » nullement liée à une absence d’hormones, et dont on se débarrasse aisément grâce à quelques cures régulières de nettoyage de l’organisme.

Exemples familiaux, dans la vie de chaque jour.

Un couple vivant sainement, s’avise de consommer du poulet industriel. La réaction de leur organisme est foudroyante. Des boutons fleurissent sur leur visage. Ils cessent d’en consommer et les boutons disparaissent en peu de temps. L’ingestion de sel blanc additionné à des amuse-gueules provoque chez leur enfant un rhume, avec écoulement nasal. On cesse de lui donner ces chips salées, et tout rentre dans l’ordre dans les heures qui suivent.

Un organisme sain a toutes les chances de récupérer rapidement son terrain initial dans la mesure où l’agent perturbateur ne produit pas des gênes répétitives, et, où son système hépatique n’est ni encombré, ni déstabilisé par des médicaments de synthèse, vaccinations comprises. La diététique, autour d’une nourriture saine, la sobriété et le bon état mental étant des facteurs primordiaux, permettant à l’organisme d’avoir des défenses à toute épreuve (adjonction si nécessaire de vitamines C). Les maladies se développent d’autant, que les pays ont du mal à nourrir leur population, ne respectent pas les règles d’hygiène élémentaires, ou à contrario et c’est le cas des pays industrialisés, nourrissent leurs ressortissants d’aliments dévitalisés, privés des principaux éléments nécessaires à la vie. Ajouter à ce système une super protection dogmatique (vaccins, médicaments et produits de synthèse) conduit ce même peuple à la dégénérescence, maladies dites de civilisation.

L’agriculture biologique telle que la conçoivent le professeur Jean Boucher de Nantes et Michel Barbaud ingénieur agronome, est la pièce maîtresse de la vitalité et de la santé de chacun. Non seulement les sols mais aussi les composts doivent être équilibrés : rapports Carbone/Azote 33/1 et Magnésium / Potasse > 2,5.

Un mauvais compostage, par exemple, peut entraîner le long de la chaîne alimentaire de sacrés troubles physiologiques et induire des maladies, telle la Listéria.

CONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES DE BASE

Les tout premiers médicaments étaient à base d’extraits de plantes, de vitamines contenues dans celles-ci et d’alcaloïdes isolés au fur et à mesure que la recherche progressait. Si la synthèse fut réalisée, ce fut bien parce que les formules chimiques contenues dans les extraits de plantes avaient été développées. Utiliser des plantes cela semblait archaïque et au nom de la science il fallait à tout prix les remplacer par des produits de synthèse. Plus économiques, les brevets restant la propriété des chercheurs, ils guidèrent les laboratoires à mettre sur le marché des corps chimiques isolés et morts ruinant les organismes et faisant leur fortune.

Des milliers de morts par an dus aux médicaments !

Qu’en est-il officiellement ?

La première enquête menée par les 31 centres régionaux de pharmacovigilance de notre pays était présentée le 12 novembre 1997. Étaient exclus les cas de surdosage volontaire et les troubles survenus en secteur psychiatrique. Les effets indésirables des médicaments seraient la cause de 1 % à 25 % des hospitalisations et toucheraient 1,7 % à 35 % des malades hospitalisés. Autrement dit, sur plus de 4 millions d’hospitalisations par an, 40.000 à 1 million sont dues à des médicaments. Les médicaments les plus souvent mis en cause sont les médicaments psychotropes et les médicaments à visée cardio-vasculaire (absence de vitamines C). Hélas les auteurs ne distinguent pas les divers produits de manière précise ce qui empêche d’identifier de manière nominative les plus dangereux.

L’Etat prend ses précautions face à ces redoutables incidences.

Si, Bernard Kouchner reconnaît qu’il s’agit d’un problème majeur de santé publique, il déclare aussitôt que les patients doivent se montrer plus raisonnables, même s’il y a une responsabilité du prescripteur. Il adresse donc une critique aux médecins pour leur demander de limiter leurs prescriptions médicales. L’annonce d’entreprendre une action pédagogique auprès du public et du corps médical, façon claire de rendre chacun responsable, n’a pas été suivie d’avertissements à l’adresse des laboratoires pharmaceutiques. Oublier d’ouvrir le débat sur leur part de responsabilité dans cette hécatombe est préjudiciable à un réajustement positif du contexte. Les effets iatrogènes ( provoqués par le traitement ) de l’emploi des médicaments doivent être connus de tous. Les interrogations à ce sujet ne manquent pas, nous allons le voir.

Diarrhées infantiles : décès et hospitalisations en série

La diarrhée infantile est un trouble banal, dû fréquemment à un virus, le rotavirus. Le plus souvent l’enfant en guérit spontanément. Dans de très rares situations, cela tourne au drame : l’enfant se vide et se trouve en danger de mort par déshydratation. L’administration des sels de réhydratation par voie orale (composition très précise en sels et en sucre) permet de retenir l’eau dans le territoire vasculaire du corps, empêchant sa fuite dans le tube digestif. Ce produit simple et bon marché est d’une importance capitale, il permet tout simplement de sauver l’enfant.

Si le nombre des décès n’excède pas la trentaine (bilan déjà très lourd en France) l’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime que cette affection  » est responsable d’environ 4 millions de décès par an chez les moins de cinq ans « .

Au lieu de prescrire les sels de réhydratation orale, les médecins continuent le plus souvent de prescrire des médicaments  » antidiarrhéiques  » promus par les laboratoires, tels que le Smecta, l’Ultralevure, l’Imodium et de nombreux autres dont l’usage est déconseillé par l’OMS, car inefficace et toxique.

L’exemple de la mauvaise prise en charge de la diarrhée infantile en France, et plus cruellement encore dans les pays pauvres, met clairement en évidence ce pouvoir d’influence catastrophique que peut avoir l’industrie sur les médecins, notamment à travers la presse médicale. Il montre que le pire devient possible quand l’action promotionnelle des industriels n’est pas encadrée par les autorités sanitaires et quand l’éthique professionnelle des médias spécialisés fait défaut.

Fluor : la prescription aveugle abîme les dents

En mai 1996, la revue Prescrire, dans un article intitulé  » La supplémentation systématique en fluor chez l’enfant doit être remise en question « , rappelle que la communauté médicale internationale tire la sonnette d’alarme devant les cas de fluorose. Elle en conclut que  » dans les régions où l’eau potable contient moins de 0,5 mlg par litre de fluor, une supplémentation prudente doit être envisagée « . L’utilisation familiale d’un simple sel de Guérande est alors la mesure la plus simple. Ceci n’est pas l’avis du laboratoire Novartis, le plus gros producteur de fluor médical en France. Le financement par ce dernier d’une brochure à ce sujet , invite les médecins à de pareilles prescriptions : le fluor avant l’âge de trois ans !

La médicalisation des phénomènes naturels : médicaments anti-reflux et psychotropes pour enfants.

La banalisation de la prescription d’un médicament pour des affections bénignes et fréquentes est une importante source de bénéfices pour les firmes. D’autant plus recherchée qu’elle est durable. Mais elle devient nuisible quand l’avantage thérapeutique escompté n’est pas à la hauteur du risque que le médicament fait courir au patient. Si l’on rapporte la fréquence de prescription (recensée dans les Yvelines) à l’ensemble des nourrissons français cela signifie que 250.000 d’entre eux reçoivent ce médicament. Ce trouble mineur serait atténué si des précautions élémentaires étaient prises : attendre le rot avant le coucher, ne pas secouer le bambin, respecter la quantité de lait correspondant à son âge, etc. Le phénomène de regurgitation disparaît au bout de quelques mois, lors de la maturation du sphincter de l’estomac et avec le passage à une alimentation plus solide. Prescrire du Prepulsid à une échelle aussi large fait courir de nombreux risques aux nourrissons. Combiné à certains médicaments anti-infectieux, fréquemment prescrits, il peut provoquer des troubles cardiaques potentiellement mortels. Le Dr Valleteau de Moulliac s’interroge sur l’emploi du Prepulsid, l’épaississement du lait, les pansements gastriques, voire anti-acide et proclive ventrale. Les rares cas de reflux gastro-oesophagiens pathologiques devraient être détectés avec soin, avant tout traitement. Autorités, firmes pharmaceutiques, médecins et consommateurs doivent s’interroger sur leur part de responsabilité respective.

Sur un tout autre registre, une enquête réalisée par une équipe de chercheurs révèle que 12 % d’enfants du département du Bas-Rhin prennent au moins un type de somnifère. Ce sont souvent les parents qui sollicitent une intervention médicale, alors que des conseils d’hygiène de vie, l’amélioration du rituel du coucher, le soutien psychologique de l’entourage permettent souvent de résoudre ces problèmes. Une simple tisane, un bol de lait chaud ou une histoire racontée avec amour peuvent avoir d’excellents résultats. Devant la multiplicité des cas d’effets secondaires graves notifiés par les médecins et les centres de pharmacovigilance lors de prises répétées de Nopron, ce médicament a été interdit aux enfants de moins de trois ans. En Juillet-Août 1996, la revue Prescrire adresse une mise en garde sans détour à ses médecins et pharmaciens :  » Nopron ne doit pas être utilisé. Son maintien sur le marché n’est pas justifié « . En 1998 les autorités ne l’ont toujours pas retiré de la vente.

Halcion 0,50 mg : un tranquillisant qui mène au crime ?

En raison de fréquents effets secondaires graves observés sur des patients traités avec Halcion, le psychiatre C. Van Dr Kroef remet en question son intérêt thérapeutique. Le tableau que dresse ce dernier est accablant et très paradoxal pour un tranquillisant : amnésie, hallucinations, anxiété, dépression, syndrome paranoïde, tendance suicidaire….En France, les centres régionaux de pharmacovigilance sont alertés par des médecins dès le début des années 80, en particulier pour des accès d’agressivité, des comportements délictueux ou des pertes de mémoire impressionnantes dans les heures qui suivent la prise du médicament.

Le laboratoire Upjohn, sentant le vent tourner, décide de retirer les comprimés dosés à 0,50 mg dans le monde entier. Cette manoeuvre laxiste n’enlève en rien les effets indésirables du produit. Les autres comprimés moins dosés restent autorisés alors qu’ils sont tout de même responsables de 20 % des problèmes observés.

Le Prozac, psychotrope aussi dangereux.

Mis sur le marché depuis 1987 aux États-Unis et en 1989 en France par les laboratoires Eli Lilly d’Indianapolis, c’est un antidépresseur à base de fluoxetinum. En France, cinq cent mille personnes en font un usage quotidien. Or les journaux médicaux américains ont souligné la violence que pouvait engendrer ce médicament. Ainsi Joseph Wesbecker a tué huit collègues et blessé douze autres personnes après avoir pris du Prozac. Est-il possible de croire qu’en France, de telles violences ne se soient pas manifestées dans le même contexte ? Alexandre Imbert, président d’une association de défense contre les effets pervers de ces médicaments, tente depuis la mort de son fils d’interpeller la justice à ce sujet.

L’essentiel n’est-il pas de comprendre que de très nombreux suicides sont liés à une détresse sociale sur laquelle les antidépresseurs n’ont aucune prise. Seuls 3 à 4 % des suicides sont liés à des facteurs psychopathologiques. D’où une révision du contexte économique et social avant toute médicalisation des sujets.

Le psychiatre Edouard Zarifian, choisi pour rédiger un rapport sur la prescription et l’utilisation des médicaments psychotropes, n’hésite pas à décrire en détail la stratégie employée par les laboratoires pour développer ces ventes. Il estime que, pour définir les soins devant relever de psychotropes, l’industrie est à la fois juge et partie : » Pratiquement toutes les études cliniques, épidémiologiques et médico-économiques sont suscitées, financées, exploitées au plan statistique de manière autonome par l’industrie ou des sous-traitants qu’elle rémunère « . La société Cognos, par exemple, favoriserait ainsi la médicalisation de problèmes sociaux ou existentiels qui échappent encore au champ de la psychiatrie.

QU’EN EST-IL AU JUSTE DES MÉDICAMENTS DE SYNTHÈSE ?

Submergés par la production pharmaceutique, trop de médecins surchargent leurs patients d’une invraisemblable quantité de produits toxiques onéreux. Ils acceptent sans sourciller l’affirmation d’une innocuité vérifiée par de soi-disant tests de laboratoires alors même que chaque médicament figure dans le dictionnaire Vidal et que sont indiquées leurs actions indésirables. Il arrive même que les propriétés vantées, n’ont pu être vérifiées lors d’expérimentations cliniques.

La France détient le record du monde de la consommation de psychotropes, ces médicaments qui doivent nous aider à lutter contre l’anxiété (tranquillisants), l’insomnie (somnifères) contre la dépression (antidépresseurs) et le délire (neuroleptiques). Plus de cinq millions de Français avalent quotidiennement ces produits.

Ces produits sont responsables de nombreux accidents de la route, d’accidents professionnels et domestiques, de passage à l’acte suicidaire ou violent.

Vous trouverez dans les pages qui vont suivre le résumé des effets connus des médicaments les plus dangereux.

En fin de livret, vous seront indiquées sept méthodes thérapeutiques douces, leurs actions, valeurs et leurs applications.

Ce document a été réalisé en s’appuyant sur quatre livres dont voici les coordonnées :

Dossier Noir des Médicaments de Synthèse
– Docteur Louis de Brouwer – Editions ADEPAM – Boîte Postale 19 – 95580 – ANDILLY

Des Lobbies contre la Santé
– Roger Lenglet – Bernard Topuz – Editions SYROS

La Dictature Médico-Scientifique
– Sylvie Simon – Editions FILIPACCHI

Qui Décide de Notre Santé
– Le citoyen face aux experts – Bernard Cassou – Michel Schiff – Editions SYROS

LES MÉDICAMENTS LES PLUS DANGEREUX

(d’après le livre du Dr De Brouwer, déjà cité)

1 – Les antibiotiques

Leurs effets secondaires

Effets toxiques sur les reins, le foie, la moelle osseuse, le système nerveux.

Réactions allergiques.

Réactions d’intolérance digestive.

Diminution de la résistance naturelle aux infections.

Prédisposition aux tumeurs malignes.

Examen des réactions de l’organisme humain, soumis à un traitement par les antibiotiques.

Pénicilline

Réactions allergiques de différents types – Dermatoses – Céphalées – Troubles hépatiques. La pénicilline passe dans le lait et le placenta.

Tétracycline

Réactions allergiques – Troubles gastro-intestinaux – Troubles rénaux – Passe dans le lait et le placenta.

Streptomycine

Réactions allergiques en particulier : eczéma, érythème. Atteinte du 8 ème nerf crânien, se manifestant par des vertiges et une diminution de l’audition qui peut aller jusqu’à la surdité. Passe dans le lait et le placenta.

Néomycine

Réactions allergiques – Troubles gastro-intestinaux – Troubles rénaux – Atteinte du 8 éme nerf crânien.

Ces antibiotiques sont responsables de nombreuses mycoses et troubles psychiques. Ils diminuent la résistance naturelle aux infections, modifient génétiquement les bactéries et sont responsables d’une modification de terrain. Dans la mesure où les antibiotiques provoquent un dérèglement enzymatique, il s’ensuit automatiquement un déséquilibre pour ne pas dire une destruction vitaminique considérable. Or les vitamines B2, B3, B5 sont indispensables à l’oxygénation des cellules qui constituent une protection naturelle contre le cancer.

Par l’administration d’antibiotiques, le métabolisme se trouve perturbé, modifié, inhibé, parfois détruit.

2 – Les corticoïdes ou corticostéroïdes

Les corticoïdes sont des hormones produites par le cortex de la glande surrénale. L’activité de ce cortex est contrôlée par le lobe de l’hypophyse qui secrète une hormone l’A.C.T.H.

Cette dernière déclenche la sécrétion des corticostéroïdes par l’intermédiaire de la cortico-surrénale. Deux groupes de corticostéroïdes doivent être distingués. Les minéralo-corticoïdes participant au contrôle de la teneur en sels minéraux des liquides organiques et les gluco-corticoïdes jouant un rôle important dans le métabolisme des sucres.

Les traitements par les corticoïdes, hormones préparées par synthèse, sont des facteurs d’inhibition de la croissance cellulaire. Ils entraînent différents effets secondaires :

Le blocage de la glande surrénale.

Un risque accru d’infection.

Une cicatrisation parfois perturbée par inhibition des divisions cellulaires.

Un eczéma de contact.

L’utilisation excessive de cortisone peut entraîner la constitution d’un véritable syndrome d’hypercorticisme, avec obésité, hypertension, ostéoporose et parfois diabète. Ont lieu également des accidents psychiques à type d’excitation ou de dépression.

Tout déséquilibre hormonal provoque une modification des organes cibles et donc à la limite un cancer.

En cas d’atteinte inflammatoire, grâce aux corticoïdes, celle-ci disparaît temporairement pour récidiver de plus belle dans un délai relativement court. Du fait que l’on ne guérit pas la maladie mais qu’on en atténue seulement les effets et à titre temporaire, doit-on prendre le risque de déséquilibrer de façon irréversible un organisme et provoquer une maladie infiniment plus grave ?

3 – Les Barbituriques

Ce sont des médicaments hypnotiques. Ils provoquent le sommeil par action directe sur le cerveau. Ils sont rapidement absorbés par le système gastro-intestinal et sont emportés par le sang, à tous les tissus du corps. Outre le phénomène d’accoutumance, se produisent des intoxications, des troubles de mémoire et de la compréhension, des troubles psychiques, de la constipation. Les barbituriques passent très facilement dans le placenta. Au cours d’expérimentations, on a pu se rendre compte de leurs effets toxiques et en particulier de certains troubles du développement embryonnaire chez les animaux. L’affaire de la thalidomide est encore présent dans nos mémoires. Ce somnifère apparemment inoffensif que les mères avaient absorbé en début de grossesse, conduisait à des naissances d’enfants sans bras ni jambes. Ce médicament fabriqué en Allemagne fit plus de 6.000 victimes dans ce pays.

4 – Les tranquillisants

Médicaments dépresseurs du système nerveux central, dépourvus d’action hypnotique, ils ont un effet sédatif.

Considérés comme  » médicaments – miracles  » de l’irritabilité et de la nervosité, leur consommation abusive peut entraîner des troubles graves et en faire de véritables drogues.

Ce que l’individu semble avoir oublié c’est que nous sommes tous soumis à des phases d’excitation et de dépression. Ces phénomènes sont tout à fait normaux et peuvent être facilement atténués par les fameuses médecines douces, dont nous allons parler à la fin du livret. Il est à noter qu’une alimentation naturelle, riche en magnésium, une vie saine, des relations sereines, permettent d’atténuer les pics de cette cyclothimie à laquelle nul ne peut se soustraire y compris les animaux.

5 – La pilule

La pilule est une préparation hormonale, empêchant la libération des ovules pendant la fécondation, la rendant ainsi impossible. La pilule classique que prend la femme pour éviter la grossesse contient une substance à base d’oestrogènes et une substance progestative.

L’œstrogène inhibe d’abord la production de l’hormone qui stimule le follicule et la progestérone inhibe la production des hormones lutéiniques. L’activité des ovaires est ainsi bloquée. Il n’existe pas de pilules dépourvues de risque et à propos desquelles l’innocuité ait été rigoureusement démontrée. Les risques vasculaires, les thromboses et les dangers tumoraux sont importants.

Prise de poids, développement possible du système pileux, gonflement des tissus, augmentation du débit cardiaque et de la tension artérielle, élévation du fibrinogène et diminution de l’adhésivité plaquettaire. De multiples expériences sur animaux – autant en laboratoire que chez des particuliers – montrent que la majorité de ces derniers succombent presque tous de cancers de l’endomètre et des mamelles.

DES MÉDECINES SANS CONSÉQUENCES IATROGENES

(Tiré en partie des travaux du Dr De Brouwer)

Si l’on abandonne la médecine allopathique devenue trop dangereuse par la prescription de substances chimiques, vers quelles autres médecines se tourner ?

Mis à part les situations désespérées, une urgence, un cas grave vous pouvez faire appel aux médecines suivantes


L’homéopathie

Mise en pratique par Hahnemann après de multiples expériences sur sa propre personne, il arriva à formuler la conclusion suivante : toute substance susceptible de déterminer sur l’homme sain, certaines manifestations est capable chez l’homme malade de faire disparaître des manifestations analogues. Il formula un second principe : plus on porte loin la dilution, plus l’action médicinale paraît acquérir de rapidité et devenir pénétrante

La dose infinitésimale présente un avantage important ; elle éloigne considérablement la dose thérapeutique de la dose toxique. Deux mille docteurs en médecine traitent six millions de personnes chaque année. Ce nombre qui ne fait que croître représente en partie tous les déçus de l’allopathie.

Le dictionnaire homéopathique d’urgence de Louis Pommier, préfacé par le Dr Paul Boncour, permet d’évaluer l’éventail des maladies qu’il est possible de traiter.

La phytothérapie

Soigner par les plantes est un art de guérir vieux comme le monde.

Les principes actifs contenus dans les plantes sous forme de tisanes et de décoctions étaient déjà une médecine douce et efficace, quoiqu’empirique. Elle est devenue une médecine officielle depuis l’année 1970 qui vit la création de la Société française de phytothérapie et d’aromathérapie, créées par le Docteur Valnet

Il est aujourd’hui possible de déterminer avec la plus grande précision quels sont les principes actifs et curatifs contenus dans chaque plante étudiée. Sur de minuscules pastilles imprégnées d’un ou des produits de la plante il est fort possible d’observer le comportement des microbes. Bien des médicaments chimiques sont tirés de substances végétales. Or, les produits ainsi obtenus sont des corps morts ; produits isolés et reconstitués chimiquement , vidés de leur énergie.

L’excellent ouvrage du Dr Jean Valnet  » Phytothérapie, traitement des maladies par les plantes « N° 7889. Le Livre de Poche, de Jean Valnet démontre que la nature, reste encore et sans doute pour longtemps, le plus perfectionné de tous les laboratoires du monde, que l’usage bien compris et patient des plantes, est capable de résultats qu’aucune thérapeutique moderne ne saurait obtenir.

L’aromathérapie

Rôle physiologiques des essences aromatiques

Les quatre grandes vertus des arômes sont d’ordre général et polyvalent. En effet, les essences aromatiques sont antiseptiques, défloculantes, émonctorielles ( éliminatrices ou draineuses ) et revitalisantes au niveau cellulaire.

1 – Elles sont antiseptiques, c’est à dire microbicides. En d’autres termes, elles tuent les microbes et les virus pathogènes qui menacent les organismes vivants. Elles s’affirment par endroit supérieures aux  » antibiotiques  » classiques parce qu’elles ont une action bactériolytique ( provoque une dissolution ou lyse des bactéries ) et non pas simplement bactériostatique (ralentit puis arrête la croissance microbienne).

2 – Elles sont défloculantes, c’est à dire solvantes. Elles lysent les colles (mucosités visqueuses) et les cristaux (noyaux durs ) issus des métabolismes et engendrés par nos excès de viandes et d’amidons, causes profondes de toutes nos maladies.

Elles saponifient les viscosités insolubles et disloquent les congrégations dures leur permettant d’être entraînées par les plasmas sanguins. En un mot, elles normalisent ce que les naturopathes appellent le terrain humoral.

3 – Elles sont émonctorielles, c’est à dire éliminatrices. Par leur action, elles activent les quatre grands émonctoires que sont la peau (avec ses trois glandes ), les reins, les poumons et l’intestin ( avec son foie et la vésicule biliaire). Elles sont draineuses, en entraînant les déchets et résidus humoraux solubles et insolubles, vers leurs émonctoires spécialisés : les  » colles  » vers le foie, la vésicule et l’intestin ou encore les glandes sébacées, les diverses muqueuses et les  » cristaux  » vers les reins et les glandes sudoripares. Ainsi elles contribuent à toutes les guérisons en profondeur ( ce qui est remarquable ). Elles sont polyvalentes, en ce sens qu’elles agissent non localement mais d’une manière générale qui intéresse toute l’économie en lysant et en entraînant les déchets et résidus de toute nature.

4 – Elles sont revitalisantes, c’est à dire vitalogènes. Cela signifie que par des  » bombardements ultiatomiques  » dont elles sont le siège ( les effluves ) elles pénètrent profondément dans les tissus et dans les cellules. Elles atteignent même les  » petits moteurs atomiques » où elles règlent la vitesse des électrons (chaleur ), reconstituent les carences des orbites périphériques ( négativation ), nettoient les charges excédentaires ( galvanisme ) et régularisent la valse des électrons autour du noyau ( magnétisme ). Il est possible de dire que les essences aromatiques sont protectrices des cellules vivantes.

Livre du Docteur Valnet  » Aromathérapie, traitement des maladies par les essences de plantes. Maloine S.A. Editeur.

La Phyto-Gemmothérapie

En botanique, la gemmation désigne la formation et le développement des bourgeons. A ce stade de la vie de l’arbre, de la plante en pleine division cellulaire, on constate une concentration des principes vitaux, de biocatalyseurs dans un arrangement et un dynamisme spécifiques à chaque végétal.

La gemmothérapie est la thérapeutique qui, dans le cadre du drainage, utilise des macérats à partir de bourgeons frais en voie de croissance. Les déchets sont entraînés vers l’organe qui les éliminera vers l’extérieur. Cette méthode –dont le promoteur est le Dr Pol Henry – donne d’excellents et spectaculaires résultats dans les maladies telles que l’arthrose, l’asthme, l’arthrite, les troubles de la circulation, les allergies, les troubles cardiaques, les affections pulmonaires.

L’oligothérapie

Ces substances naturellement présentes dans le corps humain — chacune affectionnant un organe précis, plusieurs peuvent cohabiter à un endroit donné — sont des biocatalyseurs. La catalyse est un phénomène chimique provoqué par une substance qui augmente la vitesse d’une réaction chimique (naturelle ! ), sans que cette substance soit modifiée par cette réaction.

La biocatalyse est une dynamique au sein du tissu vivant, favorisant les réactions chimiques indispensables à la vie.

La présence de nombreux métalloïdes à doses infimes (cuivre, zinc, iode, lithium, argent, etc. ) présents dans le foie, le pancréas, etc.. a été constatée grâce à des techniques modernes (spectrographie). S’ils sont absents ou bloqués, des troubles apparaissent, puisqu’ils ne participent pas dans ces conditions aux actions des enzymes, contrôleurs des métabolismes.

Les oligo-éléments sont à la fois, catalytiques, anti-toxiques, bactéricides, et diastasiques ( modifications des phénomènes de défense de la respiration, nutrition etc.). Pratiquement, peuvent être traitées toutes les maladies.

L’organothérapie

Cette thérapeutique qui agit sur les glandes et tissus, pour en redresser le fonctionnement, utilise des extraits glandulaires et tissulaires homologues dilués et dynamisés. Elle repose sur deux principes :

1°) L’organe agit sur l’organe.

L’organe malade est électivement sensible à son homologue sain. Il s’agit là d’un mécanisme immunopathologique représentant un cas particulier de la théorie générale des auto anti-corps.L’intestin sera soigné par des extraits dilués d’intestin, le pancréas par du tissu pancréatique, etc…

2°) Les basses dilutions d’organes sont excitatrices, les hautes dilutions freinatrices, les moyennes dilutions, régulatrices.

Le champ d’application de cette thérapeutique est très important. On peut soigner et guérir :

Les troubles hépato-biliaires, les gastrites et ulcères, l’asthme, l’obésité, l’insomnie, les lithiases biliaires etc.. .

Le livre à citer en référence est l’ouvrage des docteurs Bergeret et Tétau,  » L’organothérapie diluée et dynamisée « - Edts : Maloine.

La lithothérapie déchélatrice.

Nous dirons simplement que dans cette technique, on emploie des roches et minéraux dilués et dynamisés pour débloquer les ions métalliques bloqués (chélation ), paralysant les échanges, donc la construction des cellules.

Ces processus de blocage des ions métalliques, et métalloïdiques ne sont pas des phénomènes exceptionnels. La pollution entraîne une surabondance de soufre par exemple qui est un élément chélateur. Au niveau des sols, une surabondance de calcium peut bloquer les actions d’un élément important et actif, tel : la magnésie.

Par la lithothérapie, on soigne et guérit l’arthrose, les états dépressifs de longue durée, les troubles gastro-intestinaux, les affections cardio-vasculaires, les affections dermatologiques, les affections génito-urinaires etc…

Synthèse réalisée par Jacques Daudon et l’Association HIPPOCRATE, épaulés avec divers Médecins. Ferme de Saumane – 05700 Serres. Tel : 05.59.81.06.91 – 4, allée des Bouvreuils 64230 LESCAR


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