Magazine Humeur

Les étoiles du berger Par le Collectif Ashtar Reçu le 9...

Publié le 15 décembre 2010 par Jacynthe Médium
Les étoiles du berger
Par le Collectif Ashtar
Reçu le 9 décembre 2010 par Simon Leclerc
Nous vous saluons chers amis,
Il nous fait plaisir d’être présents à vos côtés en ce jour béni. Nous saluons l’ouverture des coeurs ici présents et sommes ravis de venir vous stimuler. Cela fait quelque temps que nous n’avons pas échangé avec vous sous cette forme et nous sommes heureux de pouvoir le faire en ce moment.
Plusieurs mémoires et impressions vous confirment qu’en tant que Travailleurs de la lumière, vous avez effectué un long parcours terrestre. Vos sensations vous permettent de constater cela. Tous ces déjà-vu, toutes ces sensations de familiarité et ces retrouvailles spontanées témoignent de cette réalité. En même temps, ce parcours ne se veut pas laborieux comme certains Êtres aiment se l’imaginer, puisqu’il a été initié par une envie claire de venir apporter une fréquence d’étoile sur Terre, votre fréquence individuelle. Vous êtes des porteurs d’étoile.
Cette étoile que vous avez transportée avec vous dans vos bagages pour venir l’offrir au plan terrestre, c’est l’étoile du berger, celle qui guide les pas de vos frères et sœurs incarnés pour les mener vers les réalités supérieures, vers un autre état de conscience représenté par l’état d’union avec toute vie. La présence de cette étoile à l’intérieur de la matrice Terre témoigne de votre détermination à venir soutenir cette humanité dans son passage transitoire vers l’état de conscience de l’absolu : ouverture à un autre état de conscience correspondant à ce que vous êtes en réalité.
C’est donc par envie de servir et avec une grande détermination que vous êtes venu emprunter un véhicule terrestre à une époque bien précise, pour apporter votre fréquence individuelle à l’humanité. Époque fort lointaine pour certains et plus récente pour d’autres, mais qui vous a conduit à un certain moment du parcours à prendre une forme physique et à venir apporter votre énergie personnelle pour ensemencer cette planète de l’étoile du berger.
La détermination
Plusieurs Êtres doutent de cela parce qu’ils se disent «si véritablement cela était juste, je serais déjà porté par tant d’envie d’entraide et de soutiens, alors qu’actuellement, je suis plutôt préoccupé à sortir la tête de l’eau».
Plusieurs Êtres sont essoufflés, fatigués, épuisés d’être sur Terre. Et pourtant, le courage dont vous témoignez vous a amené à vivre ces incarnations successives avec tant de détermination, tant d’enthousiasme. Lorsque nous observons votre champ aurique, il nous apparaît évident que vous êtes épuisé, mais nous observons aussi avec tout autant de présence votre détermination à avancer et à compléter le cycle de la densité telle que vous la connaissez actuellement. Nous contemplons votre détermination à servir la Grande Œuvre Universelle et cela est magnifique.
Montrer l’exemple
Cela est magnifique d’observer la détermination dont vous avez fait preuve en venant sur Terre percer les voiles de l’oubli. Mais pour cela, il vous fallait vous-même oublier et vous avez accepté de revêtir ce manteau, afin d’apporter votre propre étoile du berger. Et une fois dans la matière, vous observez la souffrance humaine. Par compassion profonde, plusieurs ont l’impression qu’ils doivent en porter une partie sur leurs épaules, quelques fragments pour alléger le fardeau des autres. Et petit à petit, des Êtres se sont alourdis, parce qu’ils ne comprenaient pas qu’il leur fallait montrer l’exemple. Ils ont cru à tort qu’ils devaient supporter l’intolérable pour alléger le poids des autres.
D’une certaine manière, il a été pertinent qu’il en soit ainsi, parce que pour un temps, il a été utile que des Êtres comme vous sur Terre portent les poids des autres, pour les aider à traverser certaines étapes. Mais au cours de la dernière décennie, vous avez été libéré de cette responsabilité, parce que maintenant, tous les Êtres sont responsables et souverains de leur navire. Ils sont les capitaines du bateau et ont la responsabilité de franchir eux-mêmes les portails. Et les Êtres qui ont porté les fardeaux par compassion sont invités à revisiter la vision qu’ils ont de l’entraide, pour véritablement redonner à chaque Être sa responsabilité créatrice en tant qu’Âme.
La poutre
Si deux Êtres se partagent le transport d’une poutre parce qu’ils veulent qu’elle soit plus légère à déplacer, ils pourront franchir de grandes distances. Ils avanceront en parcourant de longs chemins à transporter la poutre et à faire des pauses en cours de route. Quelque pas sur les épaules de l’un, quelque pas sur les épaules de l’autre, et voilà qu’ils se partagent le poids du chargement.
Mais dans cette réalité, aucun Être ne questionne la pertinence de transporter la poutre. Pourquoi porter une poutre? «Mais parce qu’il le faut !» Et pourquoi le faut-il? «Mais parce qu’il en a toujours été ainsi !» Et pourquoi en a-t-il toujours été ainsi? «Parce que nos ancêtres l’ont fait avant nous et qu’il nous a été demandé de transporter la poutre !» Mais qui l’a demandé? C’est la conscience collective !
Les poids des autres
La conscience collective réclame que des Êtres portent les poids des autres. Les humains nomment cela l’amour et la compassion, mais en réalité, il s’agit d’un encouragement à une déresponsabilisation individuelle et collective. Chaque Être est créateur de sa vie et il devra tôt ou tard en assumer la totalité. Tant qu’un Être n’accepte pas de porter le poids de toute sa vie et de ses créations, il ne peut véritablement choisir de se délester de ce qui l’alourdit.
Convaincus que Dieu, à travers la conscience collective, leur demande de faire des efforts pour porter le poids des autres, tant d’Êtres vont transporter des fardeaux qui ne leur appartiennent pas, en croyant qu’ils soutiennent ainsi l’humanité. Et pendant ce temps, les Êtres qui voient leur fardeau porté par les autres se sentent allégés. Ils continuent de porter des poids, mais ceux-ci sont partagés avec d’autres, ce qui leur procure une sensation de légèreté temporaire. Mais dans cette équation, jamais les Êtres ne réévaluent la pertinence de transporter le fardeau. Ils croient plutôt qu’il faut le déplacer, parce que d’autres avant eux ont fait la même chose. Peut-être, mais il n’en demeure pas moins qu’il s’agit d’un poids inutile. Tant d’Êtres transportent des lourdeurs qui ne leur appartiennent pas, parce qu’ils croient à la pertinence de partager les poids collectifs.
Transporter les fardeaux
Si nous portions vos poids, vous n’auriez pas envie de nous côtoyer, parce que vous nous sentiriez trop lourds. «Mais quel non-sens d’être accompagnés par des Êtres aussi lourds. Que peuvent-ils bien nous offrir, autre que leurs propres lourdeurs? » Pourtant, nous vous répondrions que nous vous aidons à porter vos poids, parce que nous vous aimons. Mais la sensation en vous ne serait pas stimulante. Malgré le partage du fardeau, vous seriez alourdi par nos énergies.
Chers amis, chers amours, vous êtes sur Terre pour montrer l’exemple. Si vous vous alourdissez parce que des Êtres autour de vous souffrent, vous ne rendez service ni à vous-même, ni aux Êtres que vous croyez alléger par votre soutien. Car lorsque vous transportez leur fardeau, vous empêchez ces Êtres de réévaluer la pertinence des bagages apportés. De plus, toutes ces lourdeurs vous empêchent de vous souvenir de votre offrande amoureuse, des talents que vous êtes venus offrir aux humains, parce qu’ils sont camouflés derrière la croyance en ce que vous devez accomplir pour honorer la «volonté de Dieu». Mais vous êtes la «volonté de Dieu». Si vous êtes alourdi par les poids que vous portez, comment pourrez-vous stimuler les autres à la légèreté?
La volonté
Quelle est la volonté de Dieu? C’est celle d’être heureux, d’être joyeux, d’être léger et d’être amour. Plus vous portez de poids, plus vous vous éloignez de cette simple vérité. Le ressentiment, la colère, la honte ou le déni sont tous des éléments que les Êtres, sur le chemin de la conscience, seront invités à transmuter. Car l’attachement à ces états plus lourds empêche les Êtres de s’élever vibratoirement. À un moment ou à un autre du parcours, chacun devra accepter de laisser aller ces éléments pour s’alléger. C’est la responsabilité de tout Être en évolution de le faire et personne ne pourra effectuer ce détachement pour les autres.
Pour entrer dans les vibrations de la cinquième dimension, chaque Être doit proclamer sa souveraineté et être responsable de ses propres émanations. S’il s’accroche à ses fardeaux parce qu’ils lui permettent de se définir, il devra tôt ou tard réévaluer ses choix en fonction de ses idéaux.
Le détachement est à la base de toute forme d’évolution. L’Être est passionné de toutes les expériences qu’il vit dans l’incarnation, mais il ne se définit pas en fonction d’elles, car il sait qu’il existe au-delà la matière. Il déguste tout ce que la vie a à lui offrir, mais il sait qu’il est libre de tout attachement, car sa conscience vogue librement dans l’Univers.
Être responsable de ses créations
Plusieurs Êtres se reconnaîtront ici, parce qu’ils sont alourdis par des thématiques vécues quotidiennement. Observez votre colonne vertébrale et les douleurs au dos. Ils vous confirment que des poids inutiles sont portés. Chers amis, permettez aux Êtres autour de vous d’être responsables de leurs propres créations et choisissez vous aussi d’assumer les vôtres en totalité.
Certes, vous avez vos propres douleurs, vos zones d’ombre personnelle et nous ne vous proposons pas de les occulter. Dans la densité, tous les Êtres côtoient les limites de la matière, des obstacles et des éléments à nettoyer. Seulement, assurez-vous d’abord que ces éléments à nettoyer soient les vôtres, car nous observons que plusieurs obstacles ont été récupérés par association et par envie de soutien. Vous aurez compris qu’il s’agit là d’une distorsion, d’une envie de porter sur vos épaules le poids des autres, parce que vous avez cru que cela allait les soutenir. Mais en réalité, vous ne contribuez pas ainsi à alléger la situation. Et soyez attentifs aux sensations de culpabilité qui pourraient vous suggérer le contraire.
Les relations mère-fille sont probablement les terrains d’exploration les plus évidents de cette réalité. Plusieurs Êtres se reconnaîtront dans cette dynamique. Ce que vous nommez «les couples», les relations de duos, sont aussi des terreaux fertiles pour explorer cela. Et nous comprenons qu’il en soit ainsi, car les liens sont très intenses.
Ne vous sentez pas jugés par nos propos. Osez observer vos relations avec un regard sincère et vous comprendrez. Il y a des liens de cœur, des liens amoureux qui sont complexes à départir, et nous le comprenons. Ces liens vous amènent à souhaiter que vos proches soient allégés de leur poids. Mais les aidez-vous vraiment? Voilà la véritable question à se poser.
Vouloir convaincre
Certes, cet entretien ne vous offrira pas de réponse toute faite, mais il pointe une situation que chacun pourra observer dans sa vie quotidienne. Voulez-vous que les Êtres autour de vous se transforment davantage qu’eux-mêmes? Êtes-vous en paix avec leurs résistances et leur fermeture? Souhaitez-vous les convaincre de quelque chose? Voici des questions intéressantes à se poser.
Nous souhaitons en ce jour vous aider à inscrire en vous un autre regard sur des situations délicates qui amènent beaucoup d’Êtres à s’éloigner d’eux-mêmes, en croyant précisément se rapprocher. En posant la bonne question, vous recevrez la bonne réponse, celle de votre cœur sacré. «Suis-je devant un élément à intégrer, à décortique, un élément qui m’appartient et qui cherche mon amour, ou suis-je plutôt attiré par l’envie de sauver mon voisin, en prenant sur moi une partie de son fardeau, soit par culpabilité ou dans une illusion de compassion». Certains croient qu’ils gagneront ainsi leur ciel, pour reprendre votre expression populaire, mais en réalité, cette situation ne fait qu’alourdir les Êtres.
Peu importe qu’ils portent leurs propres poids ou qu’ils laissent les autres les porter à leur place, tous les Êtres seront prisonniers de cette situation en agissant ainsi, car ils n’arriveront pas à retrouver la lumière. Nous le répétons, chaque Âme doit être souveraine de ses énergies pour pénétrer les dimensions supérieures, et personne n’est autorisé à ouvrir la porte pour les autres. L’aide existe pour tous, mais chaque Être est invité à emprunter son propre chemin.
L’équilibre
Soyez attentifs pour ne pas interpréter de nos propos que nous vous suggérons de vous déresponsabiliser de toute forme d’aide puisque «chacun est responsable de ses poids». Cela ne veut pas dire de vous déconnecter de toute la souffrance humaine. Mais la compassion n’est pas la pitié. Vous n’êtes pas venu sur terre pour sauver les Êtres, vous êtes venu pour leur offrir votre soutien et votre aide. Vouloir aider quelqu’un et vouloir le sauver est très différent, chers amis. En voulant sauver un Être, votre intervention n’est plus dans l’équilibre, car vous vous éloignez de la neutralité, du point zéro. Lorsqu’un Être est en paix avec tous les scénarios possibles, son action sera porteuse de vie, car il ne portera pas la peur. Il propose et sait que l’Être qui reçoit est libre d’accueillir, à son propre rythme, au moment opportun.
Vouloir aider un Être est très différent que de vouloir le sauver. L’aide est un mouvement naturel vers l’avant. Le soutien est proposé et chacun est libre de le recevoir ou non. Une forme de neutralité accompagne ce mouvement. À l’inverse, vouloir sauver amène les intervenants à prendre sur eux, suggérant du même coup que l’Être est trop petit et qu’il n’arrivera pas à s’en sortir. Un jugement est ainsi émis et sans s’en rendre compte, tous les intervenants s’alourdissent. Et l’Être en situation d’être sauvé qui ne souhaite pour le moment pas émerger de son état, va plutôt utiliser les énergies environnantes pour nourrir son identification à sa souffrance, appréciant du même coup toute l’attention que son état lui procure.
L’Être au fond du puits
Imaginez un Être prisonnier d’un puits qui, au lieu d’envisager la possibilité d’en sortir, réclame qu’on le nourrisse tout au fond. «Descendez les nourritures et l’eau, lancez-moi ceci, cela» dit-il. Et tous les Êtres du village sont à son service, à sa merci pour ainsi dire. À tout moment il a besoin de ceci, de cela, et les Êtres courent pour le lui apporter en pensant «pauvre de lui, il est dans le fond d’un puits, il faut le nourrir». Ils s’imaginent combien il serait difficile pour eux de vivre au fond du puits, et par envie de compassion, ils se convainquent qu’ils doivent répondre à toutes les exigences.
Et lorsque quelqu’un vient et lui tend une corde, l’Être la refuse. Il se dit « mais, si je sors du puits, je perds tous ces avantages, ce pouvoir que j’ai sur tant d’Êtres qui sont à mon service. Quelle tristesse ! Pourquoi ne pas rester encore un peu?». Et lorsque les Êtres à l’extérieur cessent de l’alimenter ou ne le font que par stricte nécessité pour lui permettre d’aller au bout de son expérience, mais sans l’encourager, voilà qu’il requestionne son choix. Il se demande alors s’il est toujours aussi agréable d’être au fond d’un puits, prisonnier. Il évalue alors ses avantages et les bénéfices qu’il obtient de son comportement. Car il y a toujours des bénéfices à une situation, chers amis, qu’ils soient conscients ou inconscients. Et voilà qu’à un moment, après avoir vraiment réfléchi sur sa situation, l’Être réclamera lui-même la corde pour sortir du puits, constatant son envie réelle de vivre une nouvelle expérience plus légère.
Sans jugement
Pendant ce temps, d’autres Êtres, qui respectent le choix sans pour autant l’encourager, continuent de vivre la légèreté. Et lorsque l’Être du puits réclame la corde, ils viendront l’aider à en sortir. Ils l’aideront également à rattraper les expériences qu’il n’a pas pu vivre pendant qu’il était au fond du puits. Et voilà que la vie continue, sans aucun jugement. Aucun Être dans cette histoire n’ira juger, culpabiliser celui qui a vécu son expérience au fond du puits. «Pourquoi as-tu choisi cela, quelle expérience idiote, à quoi cela t’a-t-il servi?» C’était une expérience, voilà tout. Elle a été vécue pour le plaisir de comprendre la vie au fond d’un puits. Pourquoi tenter d’y voir autre chose?
Il y a un apprentissage à aller puiser ici. Seulement, l’expérience a été prolongée parce que des Êtres ont eu pitié, «pauvre de lui au fond de son puits». Et cette aventure s’est étirée de façon disproportionnée jusqu’au point où tout un village est devenu attristé parce qu’un des leurs était au fond d’un puits. Et les autres Êtres qui passaient par là ont senti.
- «N’allez pas dans ce village, les habitants y sont tristes».
- «Mais pourquoi ce village est triste?»
- «Parce qu’un Être est au fond d’un puits».
Ils ont tous choisi d’arrêter de vivre en attendant que l’Être sorte de son puits. Ils l’ont abreuvé, nourri, lui ont chanté des chansons, raconté des histoires. Ils l’ont pris en pitié. Et pendant ce temps, d’autres villages ont célébré la vie et la relation qu’ils entretiennent avec elle. Ils ont maintenu la vision de la joie, pour que d’autres puissent s’en inspirer au moment opportun.
Le karma, une expérience
Sur le chemin de la maîtrise, tous les Êtres sont souverains de leur navire. Chacun est responsable de ses créations. Il ne sert à rien de supplier l’Univers pour obtenir les faveurs. Celui-ci ne connaît pas la pitié. Ce sont les humains qui l’ont inventée.
L’Univers est un immense terrain d’exploration où les Êtres souverains proclament leur pouvoir créateur en alliance avec la vie et choisissent de créer ce qu’ils souhaitent et ressentent profondément.
Chaque Être est souverain et responsable de ses créations. Même si un Être supplie l’Univers de lui procurer l’abondance, tant et aussi longtemps que sa valeur de lui-même l’amène à se percevoir comme un mendiant, l’Univers répondra à cette demande et amplifiera la mendicité dans la vie de cet Être. D’autres Êtres diront «voilà, il est puni pour ses actions passées». Ils diront «c’est son karma». Mais le karma n’est pas une punition universelle. C’est une expérience qui n’a pas été comprise et pacifiée.
Aucun karma n’est irréversible. Tout Être qui se questionne sur la capacité de sortir d’une situation qu’il considère être une impasse est déjà en train de transformer son karma. Un karma n’est pas une fatalité, c’est une expérience qui provient d’une thématique que l’Âme souhaite expérimenter. Mais l’Âme ne se dit pas «j’ai besoin d’expérimenter cela pendant 14 vies». L’Âme se dira «j’ai besoin d’expérimenter cela, jusqu’à ce que je sois en paix avec la situation et qu’alors, je puisse transformer la création pour expérimenter autre chose». La durée n’a aucun lien avec la mémoire karmique. Dès que l’Être transmute le regard qu’il a face à une expérience, il s’ouvre à vivre autre chose. C’est ainsi que la vie fonctionne.
Retrouver son pouvoir créateur
Dans le passage actuel et prochain, vous découvrirez beaucoup d’Êtres suppliants l’Univers de répondre à leur prière. Vous serez invités à les éduquer sur le fait qu’ils SONT l’Univers et qu’ils SONT le Dieu qu’ils prient. Qu’est-ce que cela veut dire? Les Êtres ne peuvent se dissocier des situations qu’ils vivent, puisque c’est eux-mêmes qui les ont créées, même lorsqu’elles sont inconfortables. S’ils prient pour s’en élever en se dissociant de ce qu’ils ont créé, ils nient ainsi une partie de leur pouvoir créateur. La reconnaissance de sa paternité-maternité face à toutes ses créations est essentielle pour pouvoir les transformer.
L’Être qui supplie l’Univers pour l’aider à transmuter une situation qui l’alourdit doit se réassocier d’abord à elle pour qu’elle cesse de le maintenir vers l’arrière. Il doit d’abord accepter qu’il en est le créateur. C’est le premier pas vers tout changement. L’Être pourra ainsi proclamer son alliance universelle, parce qu’il reconnait qu’il est créateur souverain de tout ce qu’il expérimente. Et voila que dans cette attitude d’assumer 100% la paternité-maternité de ses créations, l’Être retrouve la capacité d’orienter sa vie dans la direction de ses intentions. Il retrouve son plein pouvoir créateur.
Dans la transition actuelle, tous les Êtres seront invités à retrouver leur pouvoir souverain. Et personne ne pourra le faire pour les autres. Chacun est responsable de ce qu’il crée. Vous qui connaissez la vérité, vous serez invités à la partager avec vos frères et sœurs incarnés. Vous êtes les messagers du Nouveau Monde, les étoiles du berger. Maintenant, vous savez. L’Univers sait. Toute la planète sait.
Que les Êtres comprennent aujourd’hui qu’ils sont les Dieux créateurs de l’Univers, que tout doit revenir à l’Être en tant que souverain de son propre univers, relié en permanence au Grand Univers.
Chers amours, nous vous remercions d’avoir ouvert vos cœurs à nous accueillir. Nous recevons avec gratitude vos présences amoureuses. Nous allons maintenant compléter cet entretien.
Salutations à vous.
Le Collectif Ashtar et la Grande Fraternité Universelle
--------------------------------------
Reçu le 9 décembre 2010, par Simon Leclerc www.psychologiedelame.com
Vous pouvez partager librement ce message à la condition d'en conserver l'intégralité, sans rien modifier ni enlever, y compris sa provenance et ces quelques lignes. MerciNe manquez pas de vous abonner aux mises à jour Bon cheminement spirituel Jacynthe

Retour à La Une de Logo Paperblog

Magazine