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Si avec ça je suis pas référencée comme site de cul !

Publié le 31 décembre 2010 par Paumadou

Ceci est un magnifique homme nu, sa forte musculature est bien dessinée et donne envie de le toucher, non ? Et quel étalon !C’est qu’il n’y a pas de justice dans ce monde ! Suite au billet de tout à l’heure (à lire ici, si c’est pas déjà fait), j’ai pris la décision de reprendre les choses en main : l’année prochaine, je pourrais vous offrir des listes de mots clefs de recherche google dignes et particulièrement pornographiques.

Et comme pour cela il suffit d’un seul article bien tapé, j’ai entrepris de l’écrire une bonne fois pour toute ! Avec évidemment tout ce qu’il faut pour attirer les curieux et les déviances (ce texte est « googlisé » au max juste dans ce but – laissez trainée votre souris sur les mots en orange et un texte supplémentaire apparaîtra). Attention, je tiens à préciser qu’il ne convient pas aux mineurs de moins de dix-huit ans, voire de vingt-et-un ans à cause de fautes d’orthographes délibérées !) Et puis j’ai aussi mis une photo d’homme nu, bien musclé et d’un magnifique étalon dur comme le marbre (puisqu’on est vendredi et qu’il parait que le vendredi, il faut mettre un homme dans son blog

Wink
)

Le Haras de Sainte-Marie

Rocco déposa les miches sur la table. Elle branlait. En général, il préférait la baguette, c’était plus agréable à avaler. Les boules de pain de campagne ne lui donner envie que lorsqu’il savait qu’il y avait fête le soir. Or, c’était le cas. Tout le monde serait là : Clara Morgane, qui étaient les jumelles du vieux Dick, mais aussi Alphonse et Marc. En groupe, c’était tellement agréable de passer la soirée. Une orgie qui resterait dans les anal !

Sur la table branlante, il y avait également des fruits et légumes apportés là par Susette. Il fallait comprendre la voisine, elle adorait faire plaisir et leur offrait souvent des carottes et des choux de son jardin. Parfois, elle ajoutait des lapins et des morceaux des cochons qu’elle élevait et faisait se reproduire dans son harem agricole. Et de temps en temps, personne ne savait comment elle faisait pour en avoir, des bananes. Oui, le repas serait digne d’un banquet romain !

Rocco décida de passer par derrière pour rejoindre l’écurie. Il avait décidé de monter Katsumi, une jument arabe de trois ans, avant la fin de l’après-midi. Histoire de se calmer les nerfs avant la nuit. Nous étions fin juillet et les chaleurs étaient insoutenables. Un bon galop lui apaiserait les idées, il s’en était rejouis d’avance.

Saisissant une verge et le harnais, il dirigea son pas vers la cellule de la pouliche. L’odeur du foin lui pris la gorge, il était toujours aussi allergique aux graminet. Il pénétra lentement dans l’enclos, sans faire de bruit, mais bien en vue de l’animal. Elle était particulièrement sauvage et n’acceptait pas qu’on la surprenne.

Il noua délicatement les cordes sur sa gueule ouverte, glissant dans sa bouche le mors. Une fois débourrée, elle deviendra plus docile. Mais elle était encore jeune. Une adolescente s’amusait à dire Marc. Mais c’était vrai, Marc était son maître : il travaillait dur au haras depuis moins de seize ans, mais s’était révélé être le meilleur monteur que Rocco ait jamais vu ! Un magicien : ce qu’il arrivait à faire de ses mains était proprement surprenant. En comparaison, Rocco était un amateur !

La balade débuta par le manège. Katsumi en tournante s’habitua à être montée. Puis, Rocco voulu sortir l’animal. Elle ne se laissa pas faire si facilement. Après quelque ruades qui aurait pu surprendre le jeune homme, elle s’assagit et accepta les ordres de son cavalier. Ils s’engagèrent alors sur le terrain vague, vierge de toute culture. Puis vers le pont. Il s’étendait sur le lit de la rivière et menait vers le bois. C’était un monument solide et dur comme la pierre qui s’élevait vers le ciel assez haut pour laisser passer un navire dessous.

Une fois cet obstacle franchit, Rocco ordonna un petit trot et Katsumi obéit. Les pieds bien calés dans les étriers, ses hanches faisaient un mouvement de va-et-vient, de haut en bas, afin d’alléger sa charge dans le dos de la bête. Au loin, soudain, il vit arriver Alphonse à sa rencontre. Il montait un bel étalon de quatre ans. La docilité de l’animal l’avait toujours surpris, mais c’était un excellent reproducteur en devenir. Descendant d’une excellente lignée, ses parents avaient gagné de multiples concours. Rocco salua son partenaire.

« Salut ! Tu pars maintenant ? Mais on va bientôt passer la casserole sur les braises ! Un bon gigot dans le four, et une coupe glace de boules au chocolat nappé de crème anglaise ! Tu ne peux pas rater ça !
- Ne t’inquiète pas. C’est juste un petit tour, ça sera beaucoup plus rapide que tu ne le penses.
- D’accord ! A tout à l’heure alors ! »

Il voulut partir mais il se ravisa un instant  : « Ya ! O ! Il y aura aussi la vieille taïlandaise et sa brouette. Elle propose de nous faire tirer les cartes ! »

Et pourquoi pas jouer à colin-maillard pendant qu’on y était ! pensa Rocco. Se faire tirer les cartes par une asiatique mature était si excitant qu’il décida de rentrer immédiatement à la ferme pour aider à bander les yeux de ses camarades qui croyait en un avenir lisible dans le creux des paumes… La soirée était devenu beaucoup moins palpitante d’un coup. Mais tant pis, il lui restait aux moins les miches de la boulangère !


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