… que l’on écrit est, parait-il, toujours nul (l’adjectif employé quand j’ai entendu cet adage était même beaucoup plus vulgaire et scatologique, digne du général Cambronne).
Je ne sais pas si c’est vrai, je n’en suis pas encore là ! Je n’ai même pas de demi-millions à mon actif. Pour l’instant plus j’écris (des romans, pas les billets de blog, ça ça compte pas sinon j’aurai depuis que je suis sur le « ternet » dépassé le milliard !
En relisant mes premiers textes pour les corriger/réécrire, je me demande comment j’ai pu faire ça, écrire de telle manière si maladroite/lamentable/répétitive… ce que je croyais être un bon premier jet au départ.
A mon rythme d’écriture actuel, je devrais atteindre le million dans un an et demi ou deux (si je m’y tiens), peut-être que je referai un autre point à ce moment-là ! En attendant, comme l’a dit Boileau :
Hâtez-vous lentement et sans perdre courage
Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage
Je vous encourage d’ailleurs à lire le traité dont c’est tiré : L’Art poétique
C’est assez bizarre de lire un traité sur l’écriture (en l’occurrence la rédaction de vers) en alexandrin, mais du coup, ça glisse presque tout seul à la lecture !
Si vous voulez en lire plus, c’est sur Wikisource : L’Art Poétique de Nicolas Boileau
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble