Magazine Journal intime

Le théorème de Cupidon - Agnès Abécassis

Publié le 03 avril 2011 par Anaïs Valente

"Le dimanche, on lit au lit".

J'ai toujours aimé les livres d'Agnès Abécassis.

Mais là les petits amis, et surtout les petites amies, car c'est plutôt au genre féminin que s'adressent les livres d'Agnès (quoique les mecs pourraient en prendre de la graine), je peux vous dire que Le théorème de Cupidon, j'aime pas.  Pour la bonne et simple raison que j'adoooooooooooooooore.

Je l'ai dévoré plus rapidement que le Cheese Delice, ce hamburger du Quick qui n'aura fait qu'une brève apparition dans le menu OK, mais dont Mostek et mon on est folles... Même que j'ai sondé les serveuses qui m'ont confirmé que personne ne le commandait, donc on a dû en faire notre deuil, car il reviendra sans doute jamais jamais.

Bon, chuis pas là pour parler Cheese Delice je sais.

Bref, dévoré illico presto, ce captivant roman écrit "comme à quatre mains".

Déjà ça, j'adore, les livres à quatre mains qui parfois donnent les deux versions de la situation, parfois enchaînent les scènes vues par l'un, puis par l'autre.  J'adore ("j'adore" sera mon mot préféré de ce billet, je le sens).

Et puis c'est hyper drôle et hyper romantique à la fois, l'histoire d'Adélaïde et de Philéas, qui se connaissent sans se connaître, qui loupent leurs rencontres successives, faisant naître un suspense qui n'est, bien sûr, que provisoire, passque bon, hein, les histoires d'amour finissent toujours bien, en général... (ah bon c'est pas ça ?)

Bref, j'ai totalement adoré ce livre, adoré de chez adoré.  (Tchu, faut que je diversifie mon vocabulaire, synonymes de adorer : déifier, glorifier, honorer, rendre un culte, révérer, sacraliser, vénérer, chérir, exalter, fétichiser, idolâtrer.

De par son histoire que j'aime d'amour, de par ses personnages attachants que j'aime d'amour bis (si des clones de Philéas existent, j'en veux bien un pour moi), de par l'humour distillé un peu partout que j'aime d'amour ter, de par l'histoire que j'aime d'amour quater et que je veux vivre la même là tout de suite.

Mais aussi passque Agnès Abécassis parle de mes amis/ennemis d'enfance Heckle et Jeckle, et passqu'elle cite Kramer contre Kramer (Billy "il nous faut des céréales", Ted "d'accord, quelle couleur ?" quééééééé souvenir), et puis passqu'elle cite aussi Quand Harry rencontre Sally, que je cite moi aussi en ce 30 mars, sur Planète célibataire, jour où je termine ce pétillant ouvrage, quéééé hasard dingue), passqu'elle écrit "je ne suis pas près d'accepter" et pas "je ne suis pas prête d'accepter" et puis aussi passqu'elle cite Ce que pensent les hommes (« Si un mec fait comme s’il s’en fout de toi, c’est qu’il s’en fout de toi ! » - yessssssssss, c'est prévu en méditation du 26 septembre, quééééééé destin fou) et passque tout ça tout ça, ben ça vaut son pesant d'or...

En résumé : j'adooooooooooore.  Je déifie, je glorifie, j'honore, je rends un culte, je révère, je sacralise, je vénère, je chéris, j'exalte, je fétichise, j'idolâtre.

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