Magazine Humeur

Sarkozy, ses larmes, sa bière, sa frange

Publié le 13 février 2008 par Plugmein

Je doute que mon président ne soit amateur de "Corona" mais tout de même...

On commence à connaître le drame élyséen, qui se noue backstage et que l'on retrouve tout les lundi en une de la presse people.

C'est Spinal Tap, perdu dans les loges, les dolmens, les nains  et le batteur souffrant d'autocombustion. Tout était déjà écrit dès 1984. Ce sont les règlements de compte, à la mode "tontons flingueurs" où les silencieux font "plop plop". Aussi, le coup du SMS qui était en fait simplement les lyrics de "I just call to say I love you" de Stevie Wonder.

Vivre avec une chanteuse à frange ne doit pas être facile, surtout lorsqu'elle lui chante "deux consonnes, deux voyelle c'est le prénom d'Arno" au saut du lit avec l'ami Cali.

Je partage sa détresse en fait à imaginer ses yeux de chien battu, je suis un cocker je peux!

Un tête comme celle décrite à propos de John Cusack par Chuck Klosterman.

Et c'est évidemment le même Cusack qui assène le coup de semonce "Personne ne s’inquiète d’entendre les gosses écouter des milliers de chansons qui parlent de cœurs brisés, de trahison, de douleur, de malheur et de perte. Est-ce que je me suis mis à écouter de la pop-musique parce que j’étais malheureux. Ou étais-je malheureux parce que j’écoutais de la pop-musique ? » en ouverture de "High Fidelity" tiré du roman de Nick Hornby.

Ray n'étant plus Tim Robbins mais Richard Attias, A force de n'écouter que "Ne m'appelez plus jamais "France", cela s'est produit, le paquebot, "Cecilia", s'est fait la malle. Avant que quelqu'un ne finisse la tête écrasé sous une Télé 70's, il faut réagir:

"Top 5 des chansons pour chialer dans sa bière parce que j'envoie des SMS":

J'attends les votre. 


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