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Sadek Ahmed aquarelliste au Bangladesh

Publié le 08 juillet 2011 par Masmoulin

Actuellement je poursuis mes recherches en vue d’établir des “carnets de liens” des aquarellistes d’Asie. Mon filet à papillons ne répond pas souvent à mes questionnements en français il comprend mieux l’anglais. L’idéal serait d’avoir fait les « Langues O » Cependant  avec les traducteurs en ligne, en arabe, en bengali, en pachto, en azerbaïdjanais ou encore en birman me permettent de faire de découvrir des artistes intéressants.

J’ai ainsi découvert l'aquarelliste bengali  Sadek Ahmed né en 1978 qui réside à Dhaka, la capitale du Bangladesh. Le C.V. publié sur le site de la Bengal Foundation nous apprend qu’il a étudié la gravure à la « Faculty of fine art » de l’Université de Dhaka. Il a travaillé  comme dessinateur-graphiste pour atn news tv et maîtrise  les techniques modernes de l’image. Il a participé à l’élaboration de dessins d’animation.

Il expose régulièrement ses aquarelles, à Dhaka, dans le cadre des manifestations organisées par l’Université,  l’ambassade hollandaise, l’alliance française. Il a reçu des récompenses. Il participe à des ateliers de gravure et d’aquarelle avec notamment la néo-zélandaise Trina Bohan Tyrie

A ma connaissance, Sadek Ahmed ne possède pas de site internet. Cependant,l’on peut voir ses œuvres sur les portfolios publiés sur les sites d’Artfellas et de Saatchi On line.

Voici quelques représentations de ces aquarelles

Sadek Ahmed aquarelliste au Bangladesh
Sadek Ahmed - Le vieux Dakha Aquarelle

Sadek Ahmed aquarelliste au Bangladesh
Sadek Ahmed - Marché à Dakha- Aquarelle

Sadek Ahmed aquarelliste au Bangladesh
Sadek Ahmed - Arbre - Aquarelle

Sadek Ahmed aquarelliste au Bangladesh
Sadek Ahmed - Basse cour - Aquarelle

Sadek Ahmed aquarelliste au Bangladesh
Sarek Ahmed - La maison dans les arbres - Aquarelle

Sadek Ahmed aquarelliste au Bangladesh
Sarek Ahmed - Nature morte - Aquarelle

Je trouve les aquarelles de Sarek Ahmed lumineuses, pleines de fraîcheur, vivantes et colorées.  Il en "remontre" , de mon point de vue,  à bien des artistes occidentaux que l'on découvre, puis  que l'on nous remontre dans les magazines spécialisés.


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