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Culture numérique

Publié le 06 décembre 2011 par Zecake

Qu'est-cequ'Internet ?
Définition généralede internetInternet est un système mondiald'interconnexion de réseaux informatiques, utilisant un ensemblestandardisé de protocoles de transfert de données. C'est donc unréseau de réseaux, sans centre névralgique, composé de millionsde réseaux aussi bien publics, privés, universitaires, commerciauxet gouvernementaux. Internet transporte un large spectred'information et permet l'élaboration d'applications et de servicesvariés comme le courrier électronique, la messagerie instantanéeet le World Wide Web.Internet ayant été popularisé parl'apparition du World Wide Web, les deux sont parfois confondus parle public non averti. Le World Wide Web n'est pourtant que l'une desapplications d'Internet.
L'accès à Internet peut être obtenugrâce à un fournisseur d'accès à Internet via divers moyens decommunication électronique : soit filaire (réseau téléphoniquecommuté (bas débit), ADSL, fibre optique jusqu'au domicile) , soitsans fil (WiMAX, par satellite, 3G+). Un utilisateur d'Internet estdésigné par le néologisme « internaute ».
Histoire del'informatique et des réseaux de communicationshttp://histoire.info.online.fr/http://www.9atech.com/page_fete1.htmlhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_d%27Internet
Début del'informatique et des télécommunicationsAntiquité :Pendant la guerre des Gaules, les gaulois donnent du fil à retordreaux armées de Jules César grace à leur systême de crieur. Unhomme est placé sur chaque colline et crie dans 6 directions opposésles informations importantes (Paris-Toulon en une matinée alors que les cavaliers romains ont besoin de 2 jours)700 :Le boulier, appelé aussi « abaque », a été inventéen l'an 700 ; il fut longtemps utilisé et l'est encore aujourd'huidans certains pays. 1642: Pascalmet au point, pour aider son père collecteur des impôts à Rouen,la Pascalinequi pouvait traiter les additions et les soustractions. Elle eut uncertain succès d'estime à la cour du Roi. C'est pour cela qu'elleest souvent considérée comme la première machine à calculer del'histoire.1792: Les frèresChappeinventent le télégrapheoptiqueen France. Il permet d'envoyer des messages rapidement sur une longuedistance en utilisant un réseau de tours surmontées d'un brasarticulé pour transmettre à vue des signaux codés. Le télégrapheoptique24Mai 1844: Samuel Morseeffectue la première démonstration publique du télégraphe enenvoyant le message "What hath God wrought ?" (citation dela bible « Qu'est-ceque Dieu a forgé? ») sur une distance de 60 km entre Philadelphie et Washington. Lesréseaux télégraphiques vont très rapidement se développer dansle monde (37000 km de lignes installlées en 10 ans). 1854: Boolepublie un ouvrage dans lequel il démontre que tout processus logiquepeut être décomposé en une suite d'opérations logiques (ET, OU,NON) appliquées sur deux états (ZERO-UN, OUI-NON, VRAI-FAUX,OUVERT-FERME). 1867: Les Américains Sholes et Glidden inventent et commercialisent lapremière machine à écrire sous la marque Remington.1876 :invention du téléphone (L'AméricainGraham Bell invente le téléphone et fonde la compagnie BellTelephone Company)1886 : DonE. Felt de Chicago lance le Comptometer. Il s'agit de la premièrecalculatrice dont on se servait en appuyant sur des touches. Ilinventa en 1889 la première calculatrice de bureau avec imprimante. 1938: Thèse de Shannonqui le premier fait le parallèle entre les circuits électriques etl'algèbre Booléenne. Il définit le chiffre binaire : bit(BInary digiT). 1937: Alan M. Turingpublie un document sur les nombres calculables. Il résolvait desproblèmes mathématiques en utilisant une sorte d'ordinateur logiquetrès simple appelé depuis Machine de Turing: une bande de papier comportant des cases, des pions à mettre surces cases, un trombone pointant sur la case courante et un tableaud'instructions conditionnelles à réaliser. 1941: Konrad Zuse,mobilisé dans les usines d'aviation Henschel, met au point avec uneéquipe de 15 personnes le Z3,le premier calculateur avec programme enregistré. A cause de cettecaractéristique, on peut considérer qu'il s'agit du premiervéritable ordinateur. Ils'agissait d'une machine composée de 2600 relais, d'une console pourl'opérateur et d'un lecteur de bandes contenant les instructions àexécuter. La machine pouvait stocker 64 nombres de 22 bits. Ellepouvait réaliser 4 additions par seconde et une multiplication en 4secondes. Elle fut détruite dans un bombardement allié en Avril1945. 1943: Création du ASCC Mark I(Automatic Sequence-Controlled Calculator Mark I) à Harvard parHoward Aiken et sonéquipe (avec le soutien d'IBM). C'est un énorme calculateurélectromécanique (3000 relais, 800 km de câbles) qui permet defaire 3 opérations sur 23 chiffres par seconde. Cette machine étaittrès proche dans son principe de fonctionnement des plans de lamachine analytique de Babbagedatant du 19e siècle. Le programme était lu depuis une bande depapier. Les données à traiter pouvaient être lues depuis une autrebande de papier ou un lecteur de cartes. Les branchementsconditionnels n'étaient pas possibles.
Par la suite, la machinefût modifiée pour permettre, grâce à d'autres lecteurs de bandes,d'aller lire une séquence d'instructions sur un autre lecteur,permettant ainsi les branchements conditionnels ou le lancement desous programmes.
1945 : Un insecte coincé dansles circuits bloque le fonctionnement du calculateur Mark I. Lamathématicienne Grace Murray Hopper décide alors que tout cequi arrête le bon fonctionnement d'un programme s'appellera BUG.1946, Presper Eckert et JohnWilliam Mauchly achevèrent l’ENIAC (Electronic NumericalIntegrator and Computer), qui est le premier ordinateur entièrementélectronique construit pour être Turing-complet. Il avait étécommandé en 1942 par l’armée américaine afin d’effectuer lescalculs de balistique. L’ENIAC utilisait des tubes à vide (aunombre de 17 468) contrairement au Z3 qui utilisait des relaismécaniques. Néanmoins, il faisait ses calculs en système décimal.Malgré la véhémence de ses détracteurs qui auguraient de safragilité (celles des tubes à vide), il était très fiable pourl’époque et pouvait calculer plusieurs heures entre deux pannes.Physiquement c’était un monstre: il pesait plus de 30 tonnes,occupait 72 m² et consommait une puissance de 160 kW. Il tournait à100 kHz, était composé de 20 calculateurs fonctionnant en parallèleet pouvait effectuer 100 000 additions ou 357 multiplications parseconde.
Les pionniers del'internet1958 La BELL crée le premier Modempermettant de transmettre des données binaires sur une simple lignetéléphonique .1962 :C'est la guerrefroide, il faut créer un systême de communication qui survive àune une explosion nucléaire.Dans les laboratoires secrets duPentagone, on a réuni quelques uns des meilleurs scientifiquesaméricains sous la conduite de Paul Baran.
Leur cahier descharges est des plus simples :
Créer un système decommunication décentralisé pour l'armée américaine.
Ce systèmedoit permettre à deux militaires de s'échanger leurs numéros detéléphone même en cas de destruction l'ensemble des réseaux decommunication par des ogives atomiques soviétiques.
Etéventuellement, si la technologie le permet, il peut autoriser letransit de toute forme de données numérisées. Paul Baran est considéré commeun des acteurs principaux de la création d'Internet. Il eu l'idée,en 1964, de créer un réseau sous forme de grande toile. Il avaitréalisé qu'un système centralisé était vulnérable car ladestruction de son noyau provoquait l'anéantissement descommunications. Il mit donc au point un réseau hybrided'architectures étoilées et maillées dans lequel les données sedéplaceraient de façon dynamique, en « cherchant » le chemin lemoins encombré, et en « patientant » si toutes les routes étaientencombrées. Cette technologie fut appelée « packet switching ». 1969, le système voit enfin lejour. Il relie quatre universités (Stanford, UCLA, Santa Barbara etUtah) et on le baptise ARPANET par amour des acronymes. « AdvancedResearch Projects Agency Network »
En octobre,depuis la salle 3420 de l'Université de Californie Los Angeles,Leonard Kleinrock, professeur à UCLA, tente d'envoyer le premiermessage : " LOG IN ".
Le système plante à la lettre Gmais l'essentiel est fait, deux lettres ont transité dans lecyberespace.
ARPANET comportait déjà à l'époque certainescaractéristiques fondamentales du réseau actuel : Un ou plusieurs noeuds du réseaupouvait être détruits sans perturber son fonctionnement ; La communication entre machines sefaisait sans machine centralisée intermédiaire ; Les protocoles utilisés étaientbasiques.Fin 1971, un des ingénieurs duprogramme ARPANET, RayTomlinson associe différents logiciels : SNDMSG, READMAIL etCPYNET, et aménage le programme SNDMSG/READMAIL.
Après untravail acharné, il écrit 200 lignes de code, se crée 2 boîtesaux lettres électroniques sur 2 ordinateurs situés côte à côteet réussit à envoyer un message d'un ordinateur à un autre. Le contenu de ce premier e-mail était le suivant :
QWERTYUIOP
Par ailleurs, le caractère « @ » servait déjà à séparer le nomde l'utilisateur du nom de la machine dans les adresses.
L'histoire dit que personne ne comprit l'excitation de l'ingénieuraprès sa découverte et on lui proposa de prendre des vacances.
L'email connaît immédiatement un engouement énorme et lespremières mailinglists apparaissent dès 1972. L'une des plusimportantes est SF_LOVERS qui fédère tout les vendredis soirs lesamoureux de Science Fiction.
En juillet 1972, Lawrence G. Roberts améliora lespossibilités ouvertes par Ray Tomlinson en développant la premièreapplication permettant de lister, de lire de manière sélective,d'archiver, de répondre ou de faire suivre un e-mail. Dès lors, lamessagerie électronique n'aura de cesse de croître, pour devenir laprincipale utilisation du réseau des réseaux au début du XXIe
siècle.
C'est également en 1972 (octobre 1972) que le réseauARPANET fut présenté pour la première fois au grand public, lorsde la conférence ICCC (International Computer CommunicationConference). A cette même époque, l'ARPA devint le DARPA(Defense Advanced Research Projects Agency) et le terme «internetting » est utilisé pour désigner l'ARPANET, devenant alorsun embryon d'internet.
En 1974, Ray Tomlinson est toujours au labo, lorsqu'ondécouvre le TCP ou Transmission Control Protocol sous l'impulsion deVincent Cerf de Stanford et du Mathématicien Bob Kahn, notamment.
On nomme protocole les conventions qui facilitent unecommunication sans faire directement partie du sujet de lacommunication elle-même. Ce terme est utilisé dans plusieursdomaine
La mise en œuvre du TCP part de la volonté de fairecommuniquer sur l'ARPANET des machines de différents types à ladifférence des réseaux conventionnels très standardisés.
Celaest d'autant plus urgent que depuis 1973, le réseau intègrel'University Collegeof London en Grande Bretagne, pays de l'inch, du yard, du mile,du pound, de l'imperial gallon et de la conduite à droite.
Ilfaut donc doter les machines d'un programme qui harmonise l'échangede données selon des règles universelles : un protocole. C'est àce moment que commence l'abandon de NCP, le protocole initiald'ARPANET et que germe l'idée d'intégrer d'autres réseaux en coursd'élaboration comme Ethernet et Telnet pour créer un réseau desréseaux.
En 1976, le DoD décida de déployer leprotocole TCP sur le réseau ARPANET, composé de 111 machinesreliées entre elles. En 1978, le protocole TCP fut scindé endeux protocoles : TCPet IP,pour constituer ce qui allait devenir la suiteTCP/IP. La fonction du TCP est de segmenter lemessage en paquets au départ et de réarranger les paquets à laréception. L'IP est lui chargé d'acheminer les paquets d'ordinateuren ordinateur jusqu'à destination En 1979, un étudiant de l'Université de Duke, StephenDaniels s'appuie sur le travail de condisciples et réécrit enlangage C un système d'échange de messages catégorisés entreserveurs UNIX.
Grâce à ce script, on relie un serveur deDuke à un serveur de l'Université de Caroline du Nord : USENET(pour USEr NETwork) est né. Ce systême permet d'échanger desnewsgroup, systême découpant en toute petite partie de longsarticles qu'il faut réassoccier à la réception et permet l'échangede donner plus complexe que les mails.
1981 Le programme de type Core War, ancêtre des virus quitente d'anéantir les machines en les bombardant d'instructions.
Dès 1982, pour mettre un terme aux trop nombreuxquiproquos, les habitués du réseau se mettent à utiliser lesemoticons, des combinaisons de touches symbolisant l'esprit etl'humeur du rédacteur.
En 1984, le Centre Européen deRecherche Nucléaire (CERN) de Genève adopte le protocole TCP/IP surson réseau interne, le CERNET.
Le CERNest un institut scientifique spécialisé dans la physique desparticules
6 ans plus tard, le CERNET est devenu le plus grandréseau d'Internet. Il relie des milliers d'ordinateurs descientifiques travaillant aux quatre coins du monde dont celui de TimBerners-Lee.
Un soir de novembre, il demande une audience à ladirection du centre et leur soumet son projet de World Wide Web.
ils'agit en fait d'une architecture permettant aux utilisateurs deUSENET de naviguer de nœud en nœud comme sur une toile d'araignéegrâce à la technique de l'hypertexte et à une interface denavigation appelée 'browser'. En 1991, Tim Berners-Lee estparvenu à trouver quelqu'un pour l'aider : Robert Cailliau.
Ensembles, ils ont mis au point le premier système de WorldWide Web. Celui-ci est mis à la disposition des physiciens puis del'ensemble du réseau via la bibliothèque de logiciels du CERN.
Acette époque, les deux seuls navigateurs disponibles pour surfer surle web sont très rudimentaire et ne dispose pas d'interfacegraphique.
Tim Berners-Lee lance alors un appelle sur Internetpour que des développeurs de tous pays viennent aider l'équipegenevoise à créer des navigateurs plus performants. Cette démarcheest diversement perçue par sa hiérarchie.
Les contributionsaffluent du monde entier (MIDAS de Stanford, Viola de O'Reilly,Erwise de l'université de technologie d'Helsinki …etc.). EN 1993,l'Université de l'Illinois met au point MOSAIC. Ce navigateurutilisable dans l'environnement X Windows devient immédiatement trèspopulaire et joue un rôle déterminant dans la diffusion duwww.
Fin 1993, le world wide web représente 1% dutrafic d'Internet avec 500 serveurs recensés. Le reste est composédes accès à distance, du courrier électronique et des transfertsde fichier.Mais l'année du web, c'est1994. Cette année là, la première conférence internationalesur le world wide web se tient au CERN. 400 utilisateurs etdéveloppeurs se réunissent dans les locaux du centre et lesite de l'institution en parle encore comme du " Woodstockdu Web ".
1994 est aussi l'année du lancement:
- deLinux 1.0
- de Netscape
- et de Yahoo !
Ce premierannuaire est crée par deux étudiants de Stanford et ses initialessignifient " Yet Another Hierarchical Officious Oracle "soit Un oracle à classement hiérarchique officieux de plus. En 1994, le world wide webcompte 10.000 serveurs (dont 20% à usage commercial) et 10 millionsd'utilisateurs. L'essentiel des recherches portent déjà sur lesapplications de e-commerce et les questions de sécurité.
Dansce contexte, le CERN se tourne vers la Commission européenne pourl'aider à mettre en place un consortium international chargéd'administrer le web et d'éviter que quelqu'un l'accapare à desfins strictement commerciales. En janvier 1995, le consortiuminternational World-Wide Web Consortium (W3C)est créé.
Sa vocation grand public et sa volonté de clartésont clairement affirmées dans ses statuts : "amener le WorldWide Web à son plein potentiel en développant des protocolescommuns promouvant son évolution et assurant soninter-opérabilité".
Revue de détail :
Pourêtre affichable dans un navigateur via world wide web, une page doitobéir à un format précis : le HTML (HyperTexte Markup Language).Cette même page, pour transiter sur le réseau, utilise le protocoleHTTP (HyperText Transfer Protocol). Du coté utilisateur, pour accéderà cette page, on envoie une requête au serveur qui l'héberge enutilisant l'URL (Uniform Ressource Locator), soit l'adresse de lapage. Cette URL comprend le nom de domaine qui doit être interprétépar un DNS (Domain Name Server)Le Domain Name System(ou DNS, système de noms de domaine) est un service permettantd'établir une correspondance entre une adresse IP et un nom dedomaine et, plus généralement, de trouver une information à partird'un nom de domaine
Par exemple, si vous voulez accéder ausite des compagnons du devoir, il vous suffit d'entrer la requêtesuivante (URL) :
http://www.compagnons-du-devoir.com/index.html
Cequi veut dire :
- cher navigateur, utilise le protocole http,(http://)
- pour te rendre sur le world wide web (www)
-et y trouver un DNS qui nous convertira l'adresse du site(compagnons-du-devoirs.com) en numéro d'IP
- qui est auformat html (index.html)!
Nouvelles tendances.Le World WideWeb a répandu une culture de la publication personnelle et aussicoopérative. Du récit au jour le jour d'un blog, à la mise enligne de photo sur Flickr, en passant par l'encyclopédie libre deWikipédia tout est le résultat de la facilité grandissante decréation d'un site Internet public. De plus, les communications viaInternet ont été facilitées par l'apparition de servicestéléphoniques VOIP tels que Skype. La demande d'accessibilité àdes contenus à complexité de plus en plus grande a conduit à lamise à disposition sur la toile de media de toutes formes,comprenant ceux que l'on trouvait au format traditionnel (journaux,radio, télévision et films). La structure poste à posted’Internet, plus connue sous le dénominatif anglais dePeer-to-Peer, abrégé P2P, a aussi influencé les théories socialeset économiques de la propriété intellectuelle, essentiellement enpermettant la montée en puissance du transfert de fichiers43. Latendance depuis 2004 est l'apparition d'applications web 2.0 pourlesquelles l'internaute joue un rôle participatif.
Termes techniquesSystême binaireLe système binaire est un système denumération utilisant la base 2. On nomme couramment bit (del'anglais binary digit, soit « chiffre binaire ») leschiffres de la numération binaire positionnelle. Ceux-ci ne peuventprendre que deux valeurs, notées par convention 0 et 1.C'est un concept essentiel del'informatique. En effet, les processeurs des ordinateurs sontcomposés de transistors ne gérant chacun que deux états.Un calcul informatique n'est doncqu'une suite d'opérations sur des paquets de 0 et de 1, appelésoctets lorsqu'ils sont regroupés par huit.
HTTP://L'HyperText TransferProtocol, plus connu sous l'abréviation HTTP —littéralement « protocole de transfert hypertexte » —est un protocole de communication client-serveur développé pour leWorld Wide Web. HTTPS (avec S pour secured,soit « sécurisé ») est la variante du HTTP sécuriséepar l'usage des protocoles SSL ou TLS. Navigateur (browser)
Moteur de rechercheMême avant le World Wide Web, ilexistait des moteurs de recherche qui essayaient d'organiserInternet. Avec le développement du Web, desmoteurs de recherche et des répertoires Internet furent créés pourpermettre de trouver des informations parmi les pages Web. Le premiermoteur de recherche sur Internet permettant de chercher dans le corpsdes pages Web fut WebCrawler en 1994. Avant lui, les recherches nes'effectuaient que sur les titres des pages. Un autre moteur derecherche fut créé en 1993 en tant que projet universitaire :Lycos. Il était alors un des premiers succès commerciaux. En janvier1999, Google référençait plus de 60 millions de pages et lacroissance a continué depuis, même si la vraie avancée ne se fitpas tant en termes de taille de base de données, que sur leclassement en degré de pertinence, les méthodes avec lesquelles lesmoteurs de recherche essayent d'ordonner les résultats de tellesorte que le meilleur soit en premier.Ces algorithmes de classification n'ontpas cessé de s'améliorer depuis 1996, lorsque cela devint critiqueà cause de la croissance rapide de la toile qui rendit touterecherche fastidieuse par le nombre important de résultats renvoyés.En 2006, les méthodes d'ordonnancement sont plus importantes quejamais, étant donné que parcourir une liste entière de résultatsest non seulement peu commode mais humainement impossible, en effetles pages traitant de sujets populaires apparaissent sur la toiletrop vite pour que n'importe qui puisse les lire toutes. La méthodePageRank de Google pour l'ordonnancement des résultats est celle quia reçu les meilleures critiques, cependant tous les grands moteursde recherche affinent continuellement leurs méthodes afind'améliorer le classement des résultats.
RéférencementLe référencement est l'action deréférencer, c'est-à-dire mentionner quelque chose ou y faireréférence.Traditionnellement, ce terme estutilisé dans la grande distribution/consommation lors de la gestionde catalogues produits : les produits sont référencés dansles étalages.C'est également l'activité desentreprises lorsqu'elles souhaitent réduire leurs coûts ensélectionnant un nombre limité de prestataires potentiels pour unappel d'offre. Les sociétés retenues sont dites référencées.Cette pratique est très courante, notamment en informatique, où les"grands comptes" référencent un nombre limité (entrequatre et dix sur plus d'une centaine) de sociétés de servicesinformatiques (SSII).Sur internet, faire un lien d'une pageA vers une ressource B, c'est y faire référence et donc référencerla ressource B depuis la page A. Par vulgarisation, l'actiongénérique d'inscription dans les moteurs de recherche a étéappelée référencement. Aujourd'hui sa pratique s'articule autourdes outils de recherche, plus particulièrement des moteurs et desannuaires de recherche, en tentant d'améliorer le positionnement dessites (et donc leur visibilité) dans leurs pages de résultats.Pourtant, le référencement webs'articule par la mise en place des deux stratégies distinctes etcomplémentaires : le référencement naturel (ou organique) etle référencement payant (ou liens sponsorisés).La première stratégie passe par unephase d'indexation (prise en compte) du site par les outils derecherche (parfois après inscription), puis par une phase depositionnement de ces sites dans les résultats naturels des outilsde recherche lors d'une recherche faite par les internautes. D'aucunsfont ainsi la distinction entre référencement (être présent dansune base de données) et positionnement (y être visible). La secondestratégie s'apparente à de l'achat d'espace, où des budgets depublicité sont investis sous forme d'enchères.
IPInternet Protocol (abrégé en IP) estune famille de protocoles de communication de réseau informatiqueconçus pour et utilisés par Internet. Les protocoles IP s'intègrentdans la suite des protocoles Internet et permettent un serviced'adressage unique pour l'ensemble des terminaux connectés. http://mon-ip.awardspace.com/internet-schema-explication.php
DNSLe Domain Name System(ou DNS, système de noms de domaine) est un service permettantd'établir une correspondance entre une adresse IP et un nom dedomaine et, plus généralement, de trouver une information à partird'un nom de domaine
WWWLe WorldWide Web (WWW), littéralement la « toile (d’araignée)mondiale », communément appelé le Web, le web, parfois laToile, est un système hypertexte public fonctionnant sur Internetqui permet de consulter, avec un navigateur, des pages accessiblessur des sites. L’image de la toile d'araignée vient des hyperliensqui lient les pages web entre elles1.Le Web n’est qu’une desapplications d’Internet. D’autres applications sont le courrierélectronique, la messagerie instantanée et Usenet. Le Web a étéinventé plusieurs années après Internet, mais c’est lui qui arendu les médias grand public attentifs à Internet. Depuis, le Webest fréquemment confondu avec Internet ; en particulier, le motToile est souvent utilisé dans les textes non techniques sans qu’ilsoit clairement exprimé s’il désigne le Web ou Internet.
FTPFile Transfer Protocol(protocole de transfert de fichiers), ou FTP, est un protocole decommunication destiné à l'échange informatique de fichiers sur unréseau TCP/IP. Il permet, depuis un ordinateur, de copier desfichiers vers un autre ordinateur du réseau, ou encore de supprimerou de modifier des fichiers sur cet ordinateur. Ce mécanisme decopie est souvent utilisé pour alimenter un site web hébergé chezun tiers.
HTTP L'HyperTextTransfer Protocol, plus connu sous l'abréviation HTTP —littéralement « protocole de transfert hypertexte » —est un protocole de communication client-serveur développé pour leWorld Wide Web.
HTMLL’Hypertext MarkupLanguage, généralement abrégé HTML, est le format dedonnées conçu pour représenter les pages web. C’est un langagede balisage qui permet d’écrire de l’hypertexte, d’où sonnom. HTML permet également de structurer sémantiquement et demettre en forme le contenu des pages, d’inclure des ressourcesmultimédias dont des images, des formulaires de saisie, et deséléments programmables tels que des applets.Il permet de créer des documents interopérables avec deséquipements très variés de manière conforme aux exigences del’accessibilité du web. Il est souvent utilisé conjointement avecdes langages de programmation (JavaScript) et des formats deprésentation (feuilles de style en cascade).
CSSCSS (Cascading StyleSheets : feuilles de style en cascade) est un langageinformatique qui sert à décrire la présentation des documents HTMLet XML. Les standards définissant CSS sont publiés par le WorldWide Web Consortium (W3C). Introduit au milieu des années 1990, CSSdevient couramment utilisé dans la conception de sites web et bienpris en charge par les navigateurs web dans les années 2000.
PHPPHP(sigle de PHP: Hypertext Preprocessor3) est un langage de scriptslibre principalement utilisé pour produire des pages Web dynamiquesvia un serveur HTTP, mais pouvant également fonctionner commen'importe quel langage interprété de façon locale, en exécutantles programmes en ligne de commande. En raison de la richesse de sabibliothèque, on désigne parfois PHP comme une plate-forme plusqu'un simple langage.
My_SQL (BDD)En informatique un système de gestionde base de données (abr. SGBD) est un logiciel système destiné àstocker et à partager des informations dans une base de données, engarantissant la qualité, la pérennité et la confidentialité desinformations, tout en cachant la complexité des opérations.Un SGBD (en anglais DBMS pour database management system) permetd'inscrire, de retrouver, de modifier, de trier, de transformer oud'imprimer les informations de la base de données. Il permetd'effectuer des compte-rendus des informations enregistrées etcomporte des mécanismes pour assurer la cohérence des informations,éviter des pertes d'informations due à des pannes, assurer laconfidentialité et permettre son utilisation par d'autreslogiciels1. Selon le modèle, le SGBD peut comporter une simpleinterface graphique jusqu'à des langages de programmationsophistiqués1.
FLASHAdobe Flash (anciennement MacromediaFlash ; nom original FutureSplash Animator), ou simplementFlash, se réfère à Adobe Flash Player et à un logiciel multimédiautilisé pour créer le contenu de Adobe Engagement Platform (telqu’une application Internet, jeux ou vidéos). Flash Player,développé et distribué par Macromedia (racheté en 2005 par AdobeSystems), est une application client fonctionnant sur la plupart desnavigateurs Web. Ce logiciel permet la création de graphiquesvectoriels et de bitmap animés par un langage script appeléActionScript, et la diffusion de flux (stream)bi-directionnels audio et vidéo.Pour être bref, Adobe Flash est unenvironnement de développement intégré (IDE), une machinevirtuelle utilisée par un player Flash ou serveur flash pour lireles fichiers Flash. Mais le terme « Flash » peut seréférer à un lecteur, un environnement ou à un fichierd’application.Depuis son lancement en 1996, latechnologie Flash est devenue une des méthodes les plus populairespour ajouter des animations et des objets interactifs à une pageweb ; de nombreux logiciels de création et OS sont capables decréer ou d’afficher du Flash. Flash est généralement utilisépour créer des animations, des publicités ou des jeux vidéo. Ilpermet aussi d'intégrer de la vidéo en streaming dans une page,jusqu'au développement d'applications Rich Media.Les fichiers Flash, généralementappelés « animation Flash » portent l'extension .swf.Ils peuvent être inclus dans une page web et lus par le plugin Flashdu navigateur, ou bien interprétés indépendamment dans le lecteurFlash Player.
Open SourceLadésignation open source (au Québec, au Nouveau-Brunswick et auManitoba : « code source libre1 ») s'applique auxlogiciels dont la licence respecte des critères précisémentétablis par l'Open Source Initiative, c'est-à-dire la possibilitéde libre redistribution, d'accès au code source et aux travauxdérivés. Ex : Linux, Wikipedia, Wordpress,framasoft, Gimp, Open Office, etc...
Exemple envidéo:http://www.youtube.com/watch?v=wKx_zCUWP78&feature=relatedhttp://www.youtube.com/watch?v=QOsLDMeAkzo&feature=relatedhttp://www.youtube.com/watch?v=e8TdErhkZ_4&feature=related

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