Le Greenwich Pub. Porte d’entrée, sas, deuxième porte. DJ...

Le Greenwich Pub. Porte d’entrée, sas, deuxième porte. DJ calé dans une toute petite alcôve sur la gauche. Dans tout le bar, à l’exception des loupiotes derrière le comptoir, trois ampoules qui oscillent dans des petits lustres en fer forgé sont la seule source de lumière. Avec les écrans des BlackBerry qui illuminent ponctuellement les visages de la clientèle.

Les Stones, les Red Hot, Radiohead… Classique et efficace. Et fort. Passée une certaine heure, entendre ce que les gens ont à dire n’a guère d’importance.

Pas de dress code. Pas de PAF. Pour entrer, il faut simplement accepter la palpation de rigueur du vigile à l’entrée. Il s’attarde toujours un instant sur les paquets de cigarette et les téléphones dans les poches. Il glisse les mains sur les cuisses, les tibias, jusqu’aux chevilles. Puis se redresse, hoche la tête et fait un pas sur la gauche, pour laisser le passage.

Bienvenido.