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Libye – démission de ministre et panique tous azimuts au sein de CNT

Publié le 19 janvier 2012 par Menye Alain
Libye – démission de ministre et panique tous azimuts au sein de CNT

Rat Répoublique

Selon une source bien informée et surtout bien introduite, les médecins libyens ont décidé de ne plus soigner les malades si, leurs revendications ne sont pas satisfaites. En effet, l’insécurité à cause des bandes armées qui viennent se servir dans les hôpitaux ainsi que le manque de médicaments qui se pose avec acuité et les arriérés de salaires ont sonné le glas de la jeune ministre de la santé, Fatima Keeb Ahamroch, qui a pris la poudre d’escampette, retournant dans son pays, l’Irlande.

Le génocidaire en chef, Moustafa Abdeljalil, président du CNT, se rend quant à lui aujourd’hui à Gharyan, théâtre des derniers affrontements entre bandes de renégats. Accompagné des forces spéciales américaines qui vont s’atteler à former rapidement des forces spéciales libyennes qui doivent se rendre d’urgence dans l’ouest et le sud libyen où, selon certaines sources, l’armée de libération de la Jamahiriya se réforme. Le but, les désarmer. On va droit vers un nouveau conflit très meurtriers, tellement, surtout que certains rebelles se sont alliés à l’armée verte pour combattre le CNT.

 Une réunion de crise a eu lieu. Les renégats suspectent l’étranger de financement les milices armées qui organisent des pillages, des enlèvements, des raids et des vols à main armée en établissant de faux check-point. Le CNT a donc exhorté les Libyens a éviter une guerre civile, axant son propos sur l’intérêt public et le maintien de l’esprit patriotique pour résoudre la crise. On se demande bien les “qui” sont à l’origine de cette tambouille mortelle. Néanmoins, le renégat en chef, apeuré, a annoncé qu’il était prêt à affronter détermination, les milices. 

Et pendant ce temps-là, alors que le CNT annonçait en grande pompe la reprise de l’école, on constate sur le terrain que ce ne sont que des mots maux, en prenant l’exemple Syrte où, les soi-disant bombardements humanitaires ont tout détruit: écoles, hôpitaux, habitations. Regardez et écoutez ce cri de douleur d’une maîtresse désemparée. Il n’y a plus un seul livre dans la ville. La bibliothèque a été pillée. C’est bien ça la liberté made in OTAN. La démocratie façon Sarkozy. Les Libyens n’ont plus que leurs yeux pour pleurer…


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