Magazine Journal intime

J’ai testé Priceminister et les Hamptons à la belge, une fois

Publié le 19 février 2012 par Anaïs Valente

Je ne vous ai pas encore raconté mon réveillon de nouvel an, les petits zamis.

Mais mieux vaut tard que jamais !

Pour mon nouvel an, donc, big surprise de la mort qui tue la vie, j’ai été invitée aan de kust.  Et pas aan de n’importe quelle kust, ma bonne dame.  J’ai été invitée aux Hamptons à la belge.  Vous connaissez les Hamptons, cet endroit hypra chic près de New-York, où Carrie Bradshaw allait parfois (je sais, mes références culturelles sont stupéfiantes) ?  Et bien en Gelbique on a pareil, et ça s’appelle Knokke.

Je n’y étais plus allée depuis dix ans, à Knokke, et j’ai réalisé à quel point c’est… c’est… ben les Hamptons quoi.  Des 4/4 à tous les coins de rue, des femmes en fourrure à tous les coins de trottoir (mais elles n’y bossent pas, rassurez-vous) et des fringues chics à tous les coins de vitrines.  Un snobisme fou qui ne me convient pas trop, je dois l’avouer, même si c’était amusant comme tout d’observer vivre cette faune dans son élément naturel.

Mais ne boudons pas notre plaisir, c’était une super invitation, c’était mon premier réveillon aan de kust, et se souhaiter « bonané » en regardant la mer et buvant une coupe, feu d’artifice à gauche, feu d’artifice à droite, 10 degrés dans l’atmosphère (et oui, c’était avant l’arrivée de la Sibérie belge), le tout en chouette compagnie, avec plein de bonnes choses à manger et à boire et plein de jeux de société, c’était que du bonheur.

Et c’est de jeux de société que je veux vous parler ce jour, car durant ce réveillon, j’ai découvert deux nouveaux jeux :

Le premier, dont j’ai oublié le nom, est sympa comme tout, mais à éviter car il cause des disputes et des crises d’hystérie, étant donné qu’il s’agit de saisir, violemment et en premier, un truc en bois placé au centre de la table, lorsqu’on repère un doublon dans les cartes.  Ma main et la blessure purulente (j’exagère un peu, pour le fun) qui l’a ornée durant quelques jours s’en souviennent encore.

Le second, c’est Time’s up.  Et j’adore ce jeu totalement démentiellement génialement extraordinairement super.  Quelle soirée, je vous dis pas !  On a ri, de plus en plus qu’on sifflait nos coupes de champagne new yearesques, cela va de soi.  Un bonheur que ces parties de Time’s up.

Alors, quand on m’a proposé de tester Priceminister, ben j’ai directement pensé à le faire en achetant un Time’s up, of course.  Et j’ai pris la version famille, pour pouvoir jouer… ben en famille, tant qu’à faire.

Priceminister propose une foultitude de choses dans une foultitude de domaines à une foultitude de prix (j’aime le mot foultitude, en ce moment).  Bon, blonde comme je suis, il m’a fallu un petit temps pour bien comprendre le principe de comparaison de prix et de fournisseurs, mais une fois que j’ai enfin pigé, j’ai passé ma commande les doigts dans le nez.

Et trois jours plus tard, bonjour facteur merci facteur bonne journée facteur.  Mon Time’s up family.  Bien emballé, en bon état, prêt à être « consommé ».

Maintenant, y’a plus qu’à tester avec une nouvelle soirée jeux, oh yeah.

Le seul reproche que je peux faire à Priceminister, enfin surtout à ceux qui y proposent leurs services, ce sont les frais de port carrément exorbitants pour la Belgique, surtout lorsqu’on compare avec par exemple, Amazon, qui, ces dernières années, est parvenu à faire des efforts considérables afin qu’enfin mon petit pays ne soit plus lésé.  Je suis convaincue que d’ici peu Priceminister s’alignera et permettra de recevoir livres, jeux et autres objets commandés moyennant des frais de port minimes ou carrément gratuitement.  Oh yeah (bis).

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