Magazine Journal intime

Il est des jours qui filent entre les doigts

Publié le 12 mars 2012 par Papote

Je fais ce billet sans savoir si je pourrai le publier ni même le terminer... Mes problèmes de connexion sont loin d'être résolus mais je viens de réussir à " accrocher" un spot public d'un FAI concurrent...
Le signal est faible et, donc, la connexion est instable mais j'ai de nouveau le net un peu chez moi !
La rédaction de ce billet devient donc assez cocasse puisque je suis obligée de restée à moins de 20cm de la fenêtre, l'ordi orienté d'une certaine façon, ce qui induit une position assez tordue pour moi et ce qui me permet de ne pas complètement exclure le fait que je sois peut-être dans l'obligation d'appeler mon osthéo dans la semaine...
Par ailleurs, j'enregistre mon billet dès que j'ai fini d'écrire une phrase de peur que la connexion ne se fasse la malle. Vous vous rappelez cette histoire de Gaston Lagaffe dans laquelle il est sur le toit pour régler l'antenne de télé et où il finit suspendu dans le vide, la tête en bas pour que ça marche enfin ? Je me fais légèrement penser à lui (les espadrilles en moins !)...

Ces petites contingences mises à part, ce week-end fut un de ceux qu'on ne voit pas passer.
Un week-end qui me semblait s'annoncer long comme de petites vacances avec le soleil, les températures printanières, un certain nombre de projets et puis, au final, à peine le temps de se retourner que me voilà à en parler au passé !

Un vendredi soir de n'importe quoi avec un plateau-repas posé sur le canapé entre P'tite Louloute et moi pour tenter (et réussir !) à finir le dernier niveau du deuxième monde du jeu sur la console...
Ca a un peu failli mal tourner quand P'tite Louloute planquée sur sa plateforme a commencé à m'expliquer que JE n'allais pas assez vite pour massacrer les vilains gros crabes et qu'ON ne s'en sortirait pas comme ça si je ne faisais pas un effort...
J'avoue... J'avoue qu'à ce moment-là, j'étais à la limite de l'ampoule sur le pouce gauche et de la crampe dans la main droite à force de m'exciter sur la manette et que j'ai failli être grossière.
Je me suis contentée d'être un peu désagréable... mais j'ai réussi à les vaincre... Ah mais !
Et, forcément, je suis devenue la plus forte des mamans du monde... Check !

C'est un samedi matin avec un premier rendez-vous chez la couturière pour la robe de communion de P'tite Louloute. Mesures, délais, métrage de tissu...
Et, dans la foulée, magasin de tissu pour trouver LE tissu...
Je n'aurais jamais pensé qu'il puisse y avoir autant de tissus blancs... Satiné brillant, satiné plus mat, à peine plus ivoire, un peu extensible, un peu trop transparent, en soie (à 78,50 € le mètre... si, si !), en polyester, en coton, un peu piqué, un peu broché, un peu froissé, un peu lourd, un peu raide, léger comme une plume...
- Il est blanc !
- Non, il est ivoire !
- T'es sûre ?
- Au milieu des autres blancs, on ne s'en rend pas compte mais mets-le au milieu d'autres couleurs et tu vas voir qu'il ne fait pas jaune !
- Je trouve que le tombé de celui-là est plus joli que celui de celui-ci...
- Il n'est pas un peu trop transparent ?
- Si on prend celui-là, c'est clair, il faudra le doubler.
- Mais pas celui-là !
- Tu préfères le plus ivoire ou le plus blanc ?


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