Kike Maillo et Robert Combas, mon couple de la semaine.

Ouverture du festival ibérique et latino-américain -- Eva de Kike Maillo 
+ Rencontre avec le réalisateur
 Eva, au-dessus de l'atelier d'Alex
Dès les premiers instants, la ressemblance avec l'univers de Tim Burton m'a sautée au visage. On commence par découvrir un enchevêtrement d'instruments inconnus, dorés et complexes, sur une musique douce et en même temps inquiétante : bref, regardez le début de Charlie et la chocolaterie ou d'Edward aux mains d'argent et c'est la même. Adepte du genre, j'ai tout de suite accroché : du coup je l'attendais au tournant, le Kike Maillo, parce que maintenant, 'fallait pas me décevoir.

Eh bien, je l'attends toujours, au tournant. Un scénario bien mené, des acteurs sublimes, une Eva qui joue si bien pour son jeune âge ... Et puis bon, voilà, je vais pas en faire trois caisses, j'ai aimé.
Exposition Robert Combas au MAC,Greatest Hits -- "Ma peinture, c'est du rock"
"Même en hiver je t'aime" : Robert Combas, je ne connaissais pas trop, et puis quand je suis sortie je connaissais très bien. J'ai pas tout aimé, mais la plupart des pièces m'ont étonnée par leur diversité, la richesse et les ressources de l'homme, c'est assez impressionnant. Des œuvres remplies à l'extrême, des dessins, des écrits, des aplats partout, partout.De la patience, de la technique, du talent et pas mal d'effronterie et de culot, c'est du Combas !Bémol : la pièce au miroir sans tain, où on peut voir l'artiste travailler (et lui donc, ne nous voit pas, principe du sans tain, coucou !). J'ai trouvé que ça faisait un peu zoo. Et aussi, la pièce -18, parce que là, je ne sais pas où on va.Robert Combas