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Actus de Monaco

Publié le 03 juillet 2012 par Podcastjournal @Podcast_Journal
Aucun membre de la famille Grimaldi n'est venu en visite officielle à Matignon depuis Jacques Grimaldi en 1727. S.A.S. Albert II de Monaco est donc le premier à faire ce déplacement depuis 285 ans, c'est dire que ce moment unique est très apprécié par la population qui s'y prépare avec ses élus locaux depuis des semaines. Le 5 juillet 2012, le Prince traversera un centre-ville rendu entièrement piéton avant d'arriver à 11 h 15 à la maison des Associations de Matignon où il sera accueilli avec sa délégation de 6 ou 7 membres sur le parvis. Il y inaugurera le chemin de promenade et de découverte historique “Sur les traces des Matignon et des Grimaldi”, d'environ 1,5 km, 8 étapes avec 10 panneaux explicatifs sur le parcours. Ce circuit, créé par les Amis du passé en pays de Matignon, relie des lieux où les ancêtres du Prince ont vécu. Il visitera ensuite l’exposition “L’histoire du mariage princier”. Elle retrace en 20 photos d’art la cérémonie du 2 juillet 2011 et sera ouverte librement au public jusqu'au 14 juillet, de 15 h à 18 h tous les jours et le mercredi de 10 h à 12 h 30. Le 5 juillet, à partir de 10 h, une animation musicale avec un bagad et des danses bretonnes rythmera la liesse des Matignonnais et des autres visiteurs. A 14 h 45, après un déjeuner en privé avec les élus locaux et des membres du conseil général, le Prince sera à Saint-Cast-Le Guildo devant la colonne commémorative de la bataille de Saint-Cast, qui eut lieu à l'époque de la guerre de Sept ans. Il y déposera une gerbe en hommage à Louis-Denis de Polignac né en 1721 qui fut mortellement blessé lors de la bataille. Puis, il inaugurera le square Charles-Maurice Grimaldi, 1727-1790, dernier enfant du prince Jacques Ier de Monaco, né Jacques François Léonor de Goyon de Matignon, qui régna du 29 décembre 1731 au 7 novembre 1733 et de la princesse Louise-Hippolyte de Monaco qui l'avait précédé du 20 janvier 1731 au 29 décembre 1731. Ce parc est situé autour de la colonne. Dans la soirée, il se rendra pour une visite privée au Fort La Latte, face du cap Fréhel, anciennement château de la Roche-Goyon, il fut construit au XIVe siècle par le seigneur de Matignon, Étienne III Goyon.

Le 6 juillet à 9 h 45, le Prince arrivera au phare du Cap Fréhel, situé sur le territoire de la commune de Plévenon, pour visiter le monument et inaugurer l’exposition “Les princes de Monaco en Bretagne, des Matignon aux Grimaldi”. Cette exposition, installée dans la salle ouest du phare, sera visible tout l'été, elle a été réalisée par l'association des Amis du passé en pays de Matignon et retrace l’histoire du pays de Matignon et des ancêtres bretons puis normands du Prince Albert II. 
Elle montre "l'arbre généalogique des Gouyon de Matignon et Grimaldi depuis le XIIe siècle quand Luce de Matignon a épousé Étienne Gouyon jusqu'à Albert II de Monaco", précise Anne-Marie Marsaudon, présidente de l'association. Et de poursuivre "C'est en 1715, que le nom de Grimaldi apparaît à Matignon par Jacques Matignon, duc de Valentinois, qui, par tradition monégasque, a abandonné son nom quand il a épousé une Grimaldi". L'exposition sera ouverte librement au public jusqu'au 31 août de 11 h à 18 h. Une brochure explicative sur l'histoire locale de la famille Matignon - Grimaldi sera disponible gratuitement dans les Offices de tourisme et les mairies des trois communes à partir du 5 juillet et le sentier de promenade sur les traces des Matignon et des Grimaldi sera ouvert au public à partir du 7 juillet.

Un timbre monégasque représentant le Fort La Latte et le blason de Matignon commémorera cette visite du Prince. Il sera proposé à la vente par le Club philatélique briochin avec une valeur faciale de 1,75 €. Mais il sera également apposé sur une carte illustrée créée pour cette occasion et une enveloppe, toutes deux revêtues d’un cachet monégasque marqué “Visite de S.A.S. le Prince Albert II – Matignon 5 et 6 juillet 2012”. La carte ou l’enveloppe avec le timbre et le cachet seront vendues 4,50 €.
Matignon, 1600 habitants, Plévenon, 710 et Saint-Cast-le-Guildo, 3.700, sont trois communes faisant partie du Pays de Matignon qui en regroupe neuf: Fréhel, Hénanbihen Matignon Pléboulle Plévenon Ruca Saint-Cast-le-Guildo Saint-Denoual et Saint-Pôtan. Cette communauté de communes créée le 26 décembre 1996, compte quelque 11.000 habitants, se trouve dans le département français des Côtes-d'Armor dont le chef-lieu est Saint-Brieuc, et dans l'arrondissement de Dinan. LL.AA.SS. le Prince Albert II et la Princesse Charlène effectueront une visite officielle en Allemagne les 9 et 10 juillet. Le premier jour, ils seront reçus par Joachim Gauck et Daniela Schadt, à la résidence du Président fédéral. Le Prince rencontrera également Wolfgang Schaüble, ministre des Finances et participera ensuite à un déjeuner de travail avec Guido Westerwelle, ministre des Affaires étrangères. Enfin il s’entretiendra avec Klaus Wowereit, maire de Berlin. Cette journée berlinoise s’achèvera par un diner officiel à la résidence du Président fédéral. Le 10 juillet, le couple princier rencontrera à Stuttgart, Winfried Kretschmann, ministre-président du Land de Bade-Wurtemberg. Le Prince visitera le musée de l’automobile Daimler et son centre de recherches ainsi que la société Bosch. Cette première visite officielle tend à renforcer les liens étroits qui existent déjà entre les deux pays.

Le 29 juin dernier, avait lieu au 17e RGP de Montauban, la passation de pouvoir entre le colonel Patrick Poitou qui a assuré avec succès des opérations extérieures très difficiles et a affronté des évènements nationaux dramatiques et le lieutenant-colonel Stéphan Valès. Ce dernier est un spécialiste du génie militaire, récemment mandaté auprès des Nations Unies, il a aussi dirigé le dispositif du génie français dans la zone sensible du Sud-Liban. Cérémonie tout empreinte de solennité qui s'est déroulée sur les allées du cours Foucault en présence de personnalités civiles et militaires avec remise de distinctions à dix sapeurs méritants, croix avec étoile de bronze et étoile d'argent, ainsi que défilé motorisé sur l'avenue du 10e Dragons. Jusque là rien que de très classique pour ce genre de manifestation. Ce qui l'était moins et a constitué un temps fort, c'était la présence de S.A.R. la princesse Caroline de Monaco, désormais marraine du régiment, rôle qu'elle a assumé avec enthousiasme et élégance. Ensuite, elle a rencontré les familles des soldats tués ou blessés au cours des derniers mois. Sa disponibilité a conquis ses nouveaux filleuls. (Voir notre article précédent en cliquant ici ) L'Association des consuls honoraires de Monaco, ACHM, s'est réunie le 28 juin à l'hôtel Hermitage pour son assemblée générale, en présence de S.E. le ministre d’État, Michel Roger, Jean-François Robillon, président du Conseil national, Philippe Narmino, directeur des Services judiciaires et José Badia, conseiller de Gouvernement pour les Relations extérieures. Présidée par Mustapha El-Sohl, consul honoraire du Liban, l'ACHM a été créée en 2003, et compte aujourd'hui 71 consuls sur 74 consuls honoraires accrédités en Principauté. Au cours de son allocution, le ministre d’État a salué l'action de l'ACHM et a également évoqué la campagne institutionnelle de communication et l'accueil des étrangers à Monaco. Il faut noter que l'ACHM organisera, avec les instances consulaires internationales, le Xe congrès mondial des consuls honoraires qui se tiendra du 11 au 14 novembre prochain. L’AIEA, Agence internationale de l’énergie atomique, mettra en place cet été une nouvelle plate-forme internationale entièrement dédiée au problème croissant de l’acidification des océans et aux travaux de recherche qui s'y rattachent. La création de ce Centre international de coordination sur l’acidification des océans, OA-ICC, qui sera hébergé par les Laboratoires de l'Environnement de l'AIEA Monaco, a été annoncée par Wendy Watson-Wright, secrétaire exécutive de la Commission océanographique intergouvernementale, IOC, et sous-directrice générale de l’UNESCO, le 16 juin dernier à Rio+20. Lors de la Journée des océans, en présence de S.E. Isabelle Picco, ambassadeur, représentant permanent de la Principauté de Monaco auprès des Nations Unies.
L’OA-ICC sera mis au service de la communauté scientifique, des décideurs politiques, des universités, des médias et du grand public, pour faciliter, promouvoir et communiquer les actions et les recherches menées à l’échelle internationale dans ce domaine. Il faut rappeler que les quantités croissantes de dioxyde de carbone, gaz acide, rejetées dans l’atmosphère sont en partie absorbées par les océans, ce qui entraîne une acidification des eaux marines au cours du temps. D'après les experts, ce phénomène pourrait rendre la plupart des océans “hostiles” aux récifs coralliens dès 2050, si les niveaux de dioxyde de carbone continuent à augmenter au même rythme. Ce phénomène pourrait aussi entraîner des modifications dans les stocks de poissons commerciaux et mettre ainsi en péril la sécurité alimentaire pour des millions de personnes. Sans négliger le fait que le secteur de la pêche représente un chiffre d’affaires de plusieurs milliards d’euros. Des scientifiques internationaux étudient déjà les conséquences de ces changements et les solutions qui pourraient y faire face. On comprend donc l'importance de ce nouveau centre qui sera financé par les États membres de l’AIEA et de la Peaceful Uses Initiative, PUI. Il sera supervisé par un comité consultatif d’institutions prestigieuses ainsi que par des scientifiques et économistes experts dans ce secteur. Depuis le 30 juin et jusqu'au 3 septembre prochain, la Galerie du Parking des Pêcheurs accueille une exposition "Taxon: l’inventaire biologique des Parcs Alpi Marittime et Mercantour", fruit du partenariat entre le Gouvernement princier, la Fondation Prince Albert II de Monaco, le Parc national du Mercantour et le Parco Naturale Alpi Marittime. La direction de l’Environnement propose au public amoureux de la nature cette belle randonnée grâce aux photographies de Philippe Richaud et de Francesco Tomasinelli, réunies sous le titre "Un futuro diverso" et prêtées par le Musée régional des sciences naturelles de Turin. Ces clichés ont été réalisés dans le cadre du programme All Taxa Biodiversity Inventory + Monitoring, ATBI+M, Mercantour/Alpi Marittime. C'est le premier en Europe visant à réaliser un inventaire complet de la biodiversité de ces deux espaces naturels. A travers ces 38 photographies, les visiteurs pourront (re)découvrir la richesse de ces parcs grâce à une biodiversité jusqu’à présent inconnue et qu’il est essentiel de préserver. Pour atteindre cet objectif, les Parcs "Alpi Marittime et Mercantour" accueillent chaque année des scientifiques internationaux venus identifier et cataloguer chaque organisme vivant présent sur leur territoire. Plus de 7.400 espèces ont ainsi pu être recensées et classées. Cet inventaire et les connaissances acquises au fil des ans permettront de contribuer à la connaissance et à la sauvegarde des écosystèmes de notre planète en appliquant la devise "Agir localement pour un effet global". L’édition 2012 du recueil "Monaco en chiffres" vient de paraître à l’IMSEE. Ce recueil dresse annuellement l'état statistique des secteurs économique, social, culturel et sportif de la Principauté, ainsi que de ses services publics. Cette année, des commentaires accompagnent certains chiffres, comme ceux du PIB ou du commerce extérieur et des séries plus longues sont présentées. De plus, y figurent des informations supplémentaires concernant le Fonds de réserve constitutionnel notamment et un nouveau chapitre consacré à la place de Monaco dans le monde. Celui-ci est appelé à se développer lors des prochaines éditions. "Monaco en chiffres" est disponible à la vente auprès de l’IMSEE au prix de 12€. La partie consacrée à l’économie, ainsi que les éditions précédentes sont librement accessibles sur le portail Internet de l’IMSEE (cliquez ici pour télécharger le pdf Économie 2012). Sous le titre "Monaco - Madrid: Puente de Arte", une exposition hispano-monégasque s'est tenue du 7 au 21 juin dernier, au centre culturel Casa de vacas du Parc del Retiro à Madrid et a attiré de très nombreux visiteurs. A l’initiative de l’ambassade de Monaco en Espagne, du Comité national monégasque, de l’Association internationale des arts plastiques de l’UNESCO et de la municipalité de Madrid, elle réunissait les œuvres de 49 artistes monégasques et 11 espagnols, peintres, sculpteurs et photographes. La conseillère, présidente du district del Retiro et l’ambassadeur de Monaco, S.E. Patrick Van Klaveren, étaient présents lors du vernissage, ainsi que de hautes personnalités comme le directeur général de la Guardia Civil et plus de deux cents invités. Blanca Cuesta, épouse de Borja Thyssen Bornemisza, exposait pour la première fois quelques-uns de ses tableaux, en compagnie de célèbres artistes madrilènes tels Pedro Sandoval, désigné meilleur artiste lors de la dernière foire d'art contemporain de Madrid, Carlos Evangelista, Pedro Castrotega, Mayte Spinola. Les artistes monégasques ont été fort appréciés par leurs collègues espagnols qui ont souhaité renforcer les liens établis et organiser d’autres manifestations individuelles ou collectives, tant à Madrid qu’à Monaco. Le lendemain, les artistes monégasques ont participé à une visite guidée du célèbre musée du Prado organisée par l’ambassade. Depuis le dimanche 1er juillet, tous les conducteurs circulant en France à bord d’un véhicule terrestre à moteur d'une cylindrée supérieure à 50 cm3, sont dans l’obligation d’être en possession d’un éthylotest. Sont également concernés par cette mesure les véhicules immatriculés à Monaco. Les conducteurs de cyclomoteurs ne dépassant pas 50 cm3 et ceux dont les véhicules sont équipés d’un éthylotest anti-démarrage ne sont pas concernés. L’éthylotest doit respecter les conditions de validité et de normes NF. Il doit être à portée immédiate du conducteur et ne pas être usagé pour l’éthylotest chimique, son coût varie entre 1 et 2 €. L'éthylotest électronique portatif pour sa part, coûte au moins 100 €. Les autorités françaises ont cependant fait connaître que l'absence d'éthylotest ne serait sanctionné qu'à partir du 1er novembre prochain, par une amende de 11 €. Il est bon de rappeler qu'il est interdit de conduire avec une concentration d’alcool dans l’air expiré égale ou supérieure à 0,25 milligramme par litre. En 2010, une femme plutôt à l'abri du besoin, porte plainte contre son mari à la Sûreté publique. Ce dernier, médecin de son état et elle viennent de se séparer. L'époux a quitté la Principauté sans laisser d'adresse, quant à elle; elle indique qu'elle ne se sent pas très bien et précise "Quand il me faisait à manger, j'étais fatiguée et un peu dans les nuages... Évidemment il me soignait quand j'étais malade avec des pilules...". Des analyses de sang effectuées au cours de l'enquête ont révélé une présence anormalement élevée de mercure et d'arsenic mais rien dans les cheveux cependant. Néanmoins, dans la cave, les policiers découvrirent des flacons qui auraient pu contenir des produits toxicologiques et apprirent que le médecin faisait des recherches sur les poisons. Par ailleurs, l'épouse eut un jour la surprise de recevoir une quittance d'assurance correspondant à un véhicule de marque Jaguar que le mari utilisait à l'étranger. Au service de la circulation, on lui lui fit remarquer que c'était bien elle qui avait signé le document. Heureusement qu'une expertise graphologique établira très vite qu'il s'agissait d'un faux. A ce stade et avec tous ces ingrédients dignes de figurer dans un roman policier des plus classiques, on est en droit de se demander comment l'histoire s'est terminée. Le président Jérôme Fougeras-Lavergnolle prononce un non-lieu pour infraction d'empoisonnement. "Le dossier s'est dégonflé parce que le juge d'instruction n'a pas relevé assez d'éléments à charge pour renvoyer l'affaire devant le Tribunal criminel. Il n'y a que des suspicions"! Mais le prévenu sera condamné par défaut à trois mois de prison avec sursis pour utilisation de faux documents. Il faut préciser que le médecin était absent à l'audience.

Un jeune Canadien avait l'habitude de s'entraîner dans une salle de sport du port Hercule. Mais il n'y faisait pas que sculpter sa musculature, il s'attardait aussi dans les vestiaires où il subtilisait l'argent que les sportifs avaient eu l'imprudence de laisser dans leurs vêtements. Il a poursuivi cette coupable activité jusqu'au moment où il a été pris en flagrant délit et s'est retrouvé devant le tribunal correctionnel. Le président Marcel Tastevin lui a lancé "Vous avez été interpellé à la sortie de la salle et on a retrouvé sur vous des billets dont les numéros avaient été soigneusement relevés auparavant. Ce manège a duré du 8 au 30 mai dernier. Et il a fallu du temps pour que vous reconnaissiez les faits. Pourquoi ces vols répétés"? Et le prévenu de répondre "Je volais par habitude et le cannabis me permettait d'agir sans réfléchir et sans me culpabiliser". Ce qui ne semble pas convaincre le président. "Certes, la résine peut vous détendre. Mais jusqu'à vous apporter l'apaisement suffisant pour dérober de l'argent... D'ailleurs, une salle de sport reste le plus mauvais des endroits pour voler...". Et l'inculpé, un Canadien, essaie de se défendre "Aujourd'hui, j'ai tout remboursé, même le téléphone portable, en empruntant l'argent à mes parents et je n'ai jamais été condamné...". Le procureur Michaël Bonnet, ne l'entend pas ainsi "La personnalité du prévenu est relativement complexe avec des vols de 430 € de préjudice et un téléphone portable. Il a tout de même fallu prolonger la garde à vue pour qu'il reconnaisse l'intégralité des infractions. Compte tenu du contexte, un mois avec sursis et confiscation des scellés". Me Sarah Filippi vole au secours de son client en rappelant une jeunesse sans histoire "Son parcours est sans faille et plutôt élogieux jusqu'en 2010, où il arrive à Monaco. Rien ne va plus avec des troubles obsessionnels compliqués. Il va consulter un psychiatre puis se laisse aller à la consommation de stupéfiants. Mais il faut payer cette drogue. Alors, pour ne pas toucher à l'argent de ses parents, il va se mettre à voler... Avec toutes ces circonstances atténuantes, je demande la plus grande clémence...". Verdict, quinze jours d'emprisonnement avec sursis et confiscation des scellés. 1er juillet 1866, un quartier de Monaco devient Monte-Carlo, appelé ainsi en l'honneur du prince Charles III.
1er juillet 2011, mariage civil de S.A.S. Albert II de Monaco avec Mademoiselle Charlene Lynette Wittstock, née le 25 janvier 1978 à Bulawayo, en Rhodésie, actuel Zimbabwe. Leurs fiançailles avaient été annoncées par le Palais princier le 23 juin 2010.

2 juillet 1882, naissance à Saint-Cloud dans l'actuel département français des Hauts-de-Seine de Marie, princesse Bonaparte, devenue par son mariage, princesse de Grèce et de Danemark. Elle était la petite-fille du couple François Blanc et Marie Hensel. La fille de ces derniers, Marie-Félix, avait épousé Roland Bonaparte. Marie Bonaparte, amie de Freud et pionnière de la psychanalyse en France, est morte le 21 septembre 1962 à Gassin, dans le département du Var.
2 juillet 2011, mariage religieux de S.A.S. Albert II de Monaco avec Mademoiselle Charlene Lynette Wittstock.

6 juillet 1949, entrée de Monaco à l'Unesco.

7 juillet 1907, arrêté préfectoral portant approbation définitive du rapport sur le partage immobilier des biens communaux de La Turbie.
7 juillet 1993, loi portant création au code pénal d’une infraction de blanchiment. Ce texte institue "un service d’information et de contrôle des circuits financiers", SICFIN, qui sur la base d’accords particuliers, entretient des relations avec le TRACFIN français, et avec de nombreux services homologues.
7 juillet 1995, ouverture du musée de la Chapelle de la Visitation. Magnifiquement restaurée, elle accueillit des œuvres de la collection privée "Opus Sacrum" appartenant à Mme Barbara Piasecka-Johnson.

8 juillet 1948, la Principauté adhère à l’Organisation mondiale de la santé.

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