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La vie est un éternel recommencement…

Publié le 06 août 2012 par Docteurho

La vie est un éternel recommencement…

Que pourrais-je encore te dire que je ne t’ai pas déjà dit ? Que pourrais-je écrire en ta mémoire, juste pour vider le contenu de mon esprit et mon cœur, sur cette page blanche ? Et bien… à réfléchir, j’ai envie encore une fois de tout te raconter, tout te dire et redire…Car si les mots se répètent, ce n’est pas leur faute ni la mienne, la nature elle-même, ainsi que le temps, la vie, sont d’éternels recommencement comme tu le dis si bien, et qu’il me plaît à te répéter toutes les fois, où je te refais mon serrement d’amour en d’engagement…Car comme les Rois, ton allégeance m’est une expression quotidienne… Si la vie est une boucle, les éléments qui la composent s’enlacent tous les jours, s’embrassent, se forgent et se reforgent, toujours dans des formes différentes, parfois les mêmes, mais jamais cela n’a le même sens, car le regard qu’on y porte est ce qui les rend uniques, ce qui les distingue, ainsi, pour raconter la même histoire, le verbe ne tarit pas, quand l’histoire n’est pas un cycle rompu… 

Et moi dans ton amour, en cette vie ou en une autre, je suis tel une goutte d’eau qui a entamé un voyage depuis la nuit des temps, tantôt fragile comme une larme, tant d’autres aussi forte qu’un ouragan qui façonne la terre, la creuse… y laisse la trace d’un passage houleux, significatif à toute l’intensité d’un être qui prend tout son sens dans ton sillage ! 

Je ne suis pas un surhomme, encore moins un charlatan, mais si je suis un homme simple, j’ai eu la chance de comprendre mon destin, et d’en trouver les lignes secrètes dans le chuchotement du temps…Aussi, quand je regarde le livre de ma vie, et que j’en relis les passages les plus sombres, je m’aperçois que ton visage a toujours été dessiné dans les nuages qui traversaient mon ciel, ou dans les tâche d’encre que je croyais être des erreurs de ma part, ou de cette vie qui ne m’avait jamais choyé…

Je me suis rendu compte que je n’avais jamais prononcé ton prénom avant de te connaitre, même si je le criais sourdement dans les litanies que j’écrivais de ce sang que j’ai pleuré à la place des larmes qui se refusaient à moi…Mais avec toi j’ai appris, à aimer, à pleurer, et surtout à être gracieusement reconnaissant à la vie, à Allah et à toi…car de tout ce monde, ce grand monde, tu es mon début, ainsi que je suis ta terminaison, le parfait équilibre… le TouT Riad ! 

Tu résumes mon trop aussi bien que je me dilue dans ton immensité qui est désormais mon seul et unique univers….


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