Facebook: "j'aime" la liberté d'expression

Aux states il existe un débat sur le fait que le "j'aime" relève de la liberté d'expression ou pas. 

Des employés opposés à un sherif en cours de réélection et finalement réélu et qui ont fini par être virés ont fait les frais de cette "legéreté" du "j'aime".

Ils avaient soutenu l'adversaire et se sont retrouvés sur le carreau.

On se demande donc si un "j'aime" peut être protégé par la consitution.

Et vous, lorsque vous préférez "pepsi" à "coca" ou "Zara" à "Kiabi", avez-vous conscience que vous risquez de vous faire bannir définitivement?

Sinon, j'ai appris que le "j'aime" serait bientôt complété d'un "I want" qui signifierait l'intention d'achat.

Une excellente initiative pour renflouer les cales du navire sur les vagues titanesques des marchés boursiers.

Facebook va vraiment vous transformer en acheteur compulsif. 

On imagine les déviances avec par exemple un bouton "I want" sur une Jessica Alba. 

Ce sont donc d'autres procés qui se profilent sur le réseau social number one au monde.

Sérieusement, Facebook occupe quelle place dans votre vie? vous croyez vraiment que vous élevez des animaux dans une ferme ou que vous vous tapez la discute avec une star?

Facebook est enfermé dans nos smartphones, tablettes et autres PC. Voilà tout. Ses interactions avec la vraie vie doivent demeurer anecdotiques sauf bien sûr pour des sujets sérieux type violence, enlèvement ou outil de communication pour rapprocher les hommes. Dans ces cas, son omnipotence est capitale.

En dehors de cela, il s'agit essentiellement d'un divertissement parfois fort jouissif qui doit s'inscrire à tout moment dans le respect de l'individu et sa liberté.

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