[EXCLUSIF] Syrie: si Bachar al-Assad tombe, le pays sera directement attaqué par l’OTAN

Le général Sir David Richards

C’est acté. Rencontre secrète entre les pays membres de l’OTAN sur l’éventualité d’une attaque contre la Syrie. Mais, ces révélations anglaises ont un petit couac. Après avoir espéré en vain la chute du président syrien Bachar al-Assad, l’Occident, vu la résistance du peuple syrien, sait BRETAGNE se prépare à lutter contre une nouvelle «guerre» en Syrie pour arrêter géants stocks d’armes chimiques tombent dans les mains d’al-Qaïda, guerrier supérieur de la nation a révélé.

Ces gens sont tellement obsédés par la Syrie et Bachar al-Assad que leur grille de lecture en prend un sacré coup. Le général britannique Sir David Richards, chef d’état major de l’armée n’est pas allé par quatre chemins pour annoncer que, si le président Bachar tombait, la Syrie serait attaqué immédiatement. La raison, empêcher que l’organisation terroriste al-Qaïda entre en possession de l’arsenal chimique et autres neurotoxiques. Ah, ils y pensent enfin ? Et pourtant, ce sont leurs alliés des basses besognes…

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Pour le MI6, le risque est très grand. Mais, la vraie question est de savoir pourquoi il ne s’associe pas au Gouvernement syrien pour anéantir la vermine ? Ces gens, veulent simplement l’affaiblissement de la Syrie, pour des voeux inavoués.

Le général Richards, répondant aux question de la presse britannique, a déclaré:

«Le risque de terrorisme est de plus en plus dominant dans notre vision stratégique pour ce que nous pourrions faire en Syrie."

"Si ce risque persiste, on agira pour l’atténuer et nous sommes prêts à le faire".

"Je pense que c’est une très grande question. Nous avons vu des armes chimiques se multiplier sur le terrain en raison de ce qui se passe en Syrie. Nous aurions à agir".

«Évidemment, nous avons des plans d’urgence pour tout."

«Certains pourraient penser que, même si cela peut être pour une période limitée, ce sera une guerre".

Avec  l’arsenal chimique composé de sarin, de tabun, du VX ou encore du gaz moutarde, l’Occident a finalement peur que ces dernières se retournent contre lui. Il n’avait pas à soutenir les djihadistes. Quand on sait que, en Syrie, des milliers de tonnes sont réparties sur au moins cinq sites, il y a de quoi craindre le pire. Pas pour la Syrie qui est le dernier de leurs soucis, mis pour eux-mêmes. Ainsi fonctionne l’Empire !