Magazine Humeur

The Proxy.

Publié le 23 juillet 2013 par Rachraf

Au lieu d'écrire un synopsis, je préfère raconter l'histoire autrement.

Nous avons tous perdus notre travail, un être cher ou un membre de la famille.

Tout ceci est à cause de la mauvaise langue. C'est en partant de cette idée que j'ai décidé décrire un court métrage intitulé The Proxy (le mandataire).

Dans ce film j'essaie de démontrer à quel point la mauvaise langue peut être redoutable et destructive.

Uniquement avec la langue, l'être humain peut anéantir toute une famille voir même une nation.

Personnellement j'ai rompu contact avec ma famille paternelle et à chaque fois je vois les larmes de mon père qui coulent parce qu'il ne peut pas voir mon grand-père et à chaque fête sacrée je vois cette tristesse qui le ronge.

Je n'ai jamais imaginé à quel point les personnes peuvent être maladives au point d'inventer des histoires, uniquement pour nuire.

L'idée de ce court métrage est basée sur un rêve :

Un jour, je me suis réveillé en plein nuit et je tentais vainement de reconstituer les fragments de ce rêve.

Je me suis précipité et j'ai pris mon téléphone et j'ai commencé à écrire quelques brides.

Ce qui suit peut vous faire rire, mais je tiens à vous dire que c'est la stricte vérité dépourvue de toute couche de vernis.

J'ai vu une affiche d'un film "Auteur" dans laquelle il y a Bruce Willis. Après j'ai commencé à regardé ce film.

La première scène mettait en valeur un personnage (Bruce Willis) que le temps l'a affaibli, il tenait un bâton (appui) d'une couleur acajou / marron.

Il parlait et criait, il regardait les personnes au tour de lui, mais son entourage ne l'entendait pas ou il refusait de l'écouter.

Après, j'ai vu le visage du personnage ce durcit. Ensuite il y avait un changement de décor. Ce n'est plus le monde réel mais c'est une scène de théâtre.

Juste après, j'ai vu une femme dans une gare  ferroviaire en train de faire la bise à un autre homme.
Au moment où elle s'apprête à le quitter pour emprunter les escaliers qui mène à la sortie, un autre personnage l'a transpercé à l'aide d'une arme blanche et dans son agonie cette pauvre femme a dit "non, non, ce n'est pas ce que tu crois".

C'est après cette scène que j'ai revu Bruce Willis sur un char et il n'arrêtait pas de crier.

Je me suis réveillé tout en transpirant. J'ai compris que cette femme était victime de la mauvaise langue et le personnage qui l'a transpercé était son mari.

La mauvaise interprétation du mari l'a conduit à sacrifier sa bien aimée, mais celui qui a médit à bien choisit le moment pour démontrer au mari l'infidélité de sa femme.

Aussi, j'ai compris que le personnage principal luttait contre ce fléau (la scène du char).

Cette expérience m'a poussé à investir beaucoup de temps pour acquérir quelques techniques pour écrire ce scénario.

Pour davantage d'informations, je vous recommande de suivre @TheProxy_ sur Twitter.

Notification importante :

Ce court métrage est en cours de réalisation, n'hésitez surtout pas à nous poser vos questions.
Toute aide est la bienvenue.


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