Dans un premier temps, mes bras se sont rallongés à force de tirer dessus. Maintenant, il semblerait qu’avec mon dos, ils aient décidé de se mettre en grève, et protestent énergiquement à chaque tentative de mise au travail, même bénigne, du style soulever-un-sèche-cheveux-et-l'utiliser. Je les soupçonne de s’être syndiqués et de me préparer un cahier des charges impliquant moult pauses et périodes de repos pour les semaines à venir, alors que ce n’est franchement pas à l’ordre du jour. Vraiment, à notre époque, y a plus rien à espérer des travailleurs…
Alors, à défaut d’être littéraire à titre personnel, je voudrais dire un grand bravo à Anthony, un ami poète américain, dont deux poèmes viennent d’être acceptés par la revue britannique Agenda Poetry. Vu la difficulté pour être publié en poésie, je suis ravie pour lui, et lui souhaite que ce soit le début d’une longue série de réponse positive !