Magazine Humeur

518- I love you, I miss you but anti-social tu perds ton sang froid !

Publié le 02 décembre 2013 par Stiop

« 90 % des gens vont finir avec la mauvaise personne. Et c’est ça qui fait tourner le juke-box. »

Cette sage parole fut prononcée par la légende de la country music, l’incomparable Willie Nelson. C’est, d’une certaine manière, ce que les Rita Mitsouko avaient exprimé en déclarant que « les histoires d’A, les histoires d’Amour finissent mal, en général. »

Réflexion faite, et même avec des artistes aussi brillants que les Beatles, les Rolling Stones ou Bob Dylan, fragments de l’élite musicale, la litanie des « I love you, I need you, I want you, I miss you baby, I want to hold your hand… » fait office de fil conducteur majeur de l’inspiration des interprètes et des auteurs.

C’est d’ailleurs fascinant de considérer que l’on puisse faire cohabiter dans une même phrase un groupe comme Nirvana et un groupe (?) comme Modern Talking, car ils abordent à leur façon des thèmes identiques sur la base du « je t’aime, moi non plus ».

Alors, me direz-vous, dans les 10 % du juke-box qui ne relatent pas les méandres torturés et contrariés de la vie amoureuse, on nous parle de quoi ?

Là, Willie Nelson ne nous donne pas d’indices sur cette statistique mineure, mais je présume qu’on y retrouve des thématiques plus engagées politiquement, ou plus libertaires, avec des artistes tels que Léo Ferré, Georges Brassens ou Noir Désir.

Tant qu’on a que l’amour…

Cliquer ici pour voir la vidéo.


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Stiop 472 partages Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Magazine