Magazine Journal intime

Après la fin – Barbara Abel

Publié le 02 mars 2014 par Anaïs Valente

« Le dimanche, on lit au lit ».

(NB si vous envisagez de lire les deux tomes de cette histoire, ne lisez pas cette chronique, elle révèle l'intrigue du premier)

De Barbara Abel, j’ai lu, et aimé, La brûlure du chocolat. Mais j’ignorais qu’elle était maîtresse dans l’art du suspens et de la montée de l’angoisse…

Je l’ai découvert avec Après la fin.

Dès la première page, la tension est palpable entre Tiphaine et Sylvain, lesquels élèvent Milo, dont ils sont tuteurs depuis « les événements », comme ils les appellent. La mort accidentelle de leur fils. Le suicide du père de Milo. Et le déménagement dans la maison du drame, voisine de la leur.

Depuis lors, le statu quo règne, mélange d’indifférence et de méfiance entre les protagonistes.

Jusqu’à ce qu’une nouvelle voisine vienne s’installer avec ses deux enfants, dans leur ancienne maison.

Je peux vous dire que ce livre m’a scotchée de la première à la dernière page. Page 79, j’ai cru comprendre, page 93, j’ai encore cru comprendre. Mais le final a dépassé tous mes espoirs, tous les plans machiavéliques que j’avais échafaudés entre les protagonistes.  Car le plan de Barbara Abel était plus machiavélique encore…

Ça fait un bail que je n’avais plus été captivée par un si bon thriller, au point de ne plus savoir interrompre ma lecture, de l’emporter dans mon bain (vive les vrais livres qui ne risquent rien, à proximité de l’eau, ou presque), dans le bus, sur mon canapé.

J’ai découvert après lecture qu’il s’agissait de la suite de « Derrière la haine », ce que j’ignorais. Avoir lu ce premier volet n’est cependant pas indispensable… même si maintenant je meurs d’envie de le lire, sachant cependant qu'il a perdu son charme puisque la fin en est dévoilée au début de Après la fin, drame dramatiquement dramatique (décidément, j’arrête pas de lire des suites sans avoir lu le premier, bigre, déjà le même coup avec Le petit mensonge de Dieu).

Si vous avez envie d’un bon moment de détente… enfin détente, entendons-nous bien, avec de la chair de poule, des poils hérissés et un cœur qui bat de plus en plus vite jusqu’à la dernière page, vous avez trouvé le livre adéquat.

Après la fin

après la fin.jpg

« Le dimanche, on lit au lit ».

(NB si vous envisagez de lire les deux tomes de cette histoire, ne lisez pas cette chronique, elle révèle l'intrigue du premier)

De Barbara Abel, j’ai lu, et aimé, La brûlure du chocolat. Mais j’ignorais qu’elle était maîtresse dans l’art du suspens et de la montée de l’angoisse…

Je l’ai découvert avec Après la fin.

Dès la première page, la tension est palpable entre Tiphaine et Sylvain, lesquels élèvent Milo, dont ils sont tuteurs depuis « les événements », comme ils les appellent. La mort accidentelle de leur fils. Le suicide du père de Milo. Et le déménagement dans la maison du drame, voisine de la leur.

Depuis lors, le statu quo règne, mélange d’indifférence et de méfiance entre les protagonistes.

Jusqu’à ce qu’une nouvelle voisine vienne s’installer avec ses deux enfants, dans leur ancienne maison.

Je peux vous dire que ce livre m’a scotchée de la première à la dernière page. Page 79, j’ai cru comprendre, page 93, j’ai encore cru comprendre. Mais le final a dépassé tous mes espoirs, tous les plans machiavéliques que j’avais échafaudés entre les protagonistes.  Car le plan de Barbara Abel était plus machiavélique encore…

Ça fait un bail que je n’avais plus été captivée par un si bon thriller, au point de ne plus savoir interrompre ma lecture, de l’emporter dans mon bain (vive les vrais livres qui ne risquent rien, à proximité de l’eau, ou presque), dans le bus, sur mon canapé.

J’ai découvert après lecture qu’il s’agissait de la suite de « Derrière la haine », ce que j’ignorais. Avoir lu ce premier volet n’est cependant pas indispensable… même si maintenant je meurs d’envie de le lire, sachant cependant qu'il a perdu son charme puisque la fin en est dévoilée au début de Après la fin, drame dramatiquement dramatique (décidément, j’arrête pas de lire des suites sans avoir lu le premier, bigre, déjà le même coup avec Le petit mensonge de Dieu).

Si vous avez envie d’un bon moment de détente… enfin détente, entendons-nous bien, avec de la chair de poule, des poils hérissés et un cœur qui bat de plus en plus vite jusqu’à la dernière page, vous avez trouvé le livre adéquat.

Après la fin

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