Magazine Journal intime

Les boules à thé et moi, l'amour-haine

Publié le 13 août 2014 par Anaïs Valente

Depuis un petit temps, grâce à ma voisine adorée, j'ai découvert le plaisir du thé. Le vrai, en vrac, qui ne fait pas que sentir le thé (ou les fruits, car je suis plutôt tisanes) comme les marques de supermarché, mais qui goûte aussi le thé ou les fruits (alors que les sachets du supermarché gouttent l'eau chaude). Celui oùsqu'on n'a pas besoin de rajouter du sucre ou du miel.

C'est que du bonheur...

Du moins, ce ne serait que du bonheur, s'il n'y avait un petit minuscule microscopique souci : les boules à thé.

Et oui, passque pour faire du thé en vrac, faut une boule à thé.

Et les boules à thé et moi, c'est tout une histoire (mais pas une histoire d'amour, plutôt un film d'horreur), que je m'en vais vous conter.

J'ai quelque part dans mes tiroirs la boule à thé classique, en métal, à visser, avec une petite cordelette en métal. Je l'ai depuis des années, mais je vous avoue que j'ignore où elle est précisément.

J'ai également depuis des années une boule à thé métallique « treillis », qui s'ouvre à la manière d'une paire de ciseaux. Perdue quelque part, également.

Dommage car avec le recul, elles me semblent attrayantes...

Je les avais achetées en craquant pour du thé en vrac en vacances, genre à Londres ou sur un marché de Noël. Je succombe, dans l'ambiance, puis je n'en fais rien de ces thés, ni de ces boules.

En succombant récemment au plaisir des thés fruités, j'ai succombé à l'attrait des boules à thé en silicone.

Je m'en suis donc acheté une dans un magasin chicos de vaisselle à Namur, qui venait de déménager. Mais je ne l'ai pas trouvée pratique.

Ensuite, j'en ai acheté deux, vu leur prix riquiqui, dans un magasin discount. Une rose fuchsia, une vert pomme. Sauf qu'elles ont un souci, elles flottent, se renversent et sont à la limite de la bascule.

J'ai alors acheté une boule en plastique, à visser. Qui n'a eu de cesse de se dévisser dans l'eau. Et de répandre son contenu. Pas bon, les bouts de thé en bouche.

Décision fut ensuite prise d'investir dans de la bonne boule à thé, de la boule à thé de compet, de luxe, dans un de ces nouveaux magasins de cuisine qui ont la cote à Namur. J'ai opté pour une superbe boule mauve, avec support, breveté pour son côté flotteur. Tout ça pour la modique somme de ... non je n'ose pas le dire. Ah ben oui, pour flotter elle flottait, et verticalement cette fois. Jusqu'au jour où j'ai entendu un gros plop, et où la partie métallique s'est enfoncée tel le Titanic, tandis que la partie plastique a continué à flotter, tel l'iceberg. Occasionnel au début, ce problème est devenu quotidien en peu de semaines.

Dans l’intervalle, j'ai reçu une tasse combiné avec support à thé, en verre vert, de ma voisine, toujours elle, qui est hyper pratique pour boire le thé chez moi, dans une tasse. Mngybb (euh ça c'est Iguaï qui fait des siennes), mais, disais-je, au bureau, je fais mon thé dans un mug, pour le garder chaud des heures.

J'ai aussi acheté un autre support à thé, en métal, passqu'un ne me suffisait pas, des fois que je voudrais boire deux thé en même temps (mon côté hamster est incurable).

Enfin, désespérée, je suis revenue vers la boule classique, sphérique coupée en deux, se fermant par deux clapets, à accrocher à mon mug.

Ah non, j'oubliais les deux supports à thé achetés chez Ikéa l'autre jour, qui me semblent très pratiques pour le thé en tasse, car on peut boire tout en les laissant sur le bord de la tasse (les tisanes peuvent infuser sans souci).

Bref, j'espère qu'avec tout ça, je vais m'en sortir... un jour.

Question bonus : combien de « boules » à thé (toutes formes confondues) vivent chez moi ?

Question subsidiaire : combien de sous ai-je claqué dans tout ce matos ?

PS : pour info, mes thés viennent de la Magie du Thé à Namur, ils sont succulents, et l'accueil y est chaleureux comme une bonne tasse de thé jeunesse éternelle (bien qu'on m'ait confirmé que la nomination n'était pas garantie de résultat, dommage).

Petit échantillon (avec le toutnu, toujours curieux)

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Depuis un petit temps, grâce à ma voisine adorée, j'ai découvert le plaisir du thé. Le vrai, en vrac, qui ne fait pas que sentir le thé (ou les fruits, car je suis plutôt tisanes) comme les marques de supermarché, mais qui goûte aussi le thé ou les fruits (alors que les sachets du supermarché gouttent l'eau chaude). Celui oùsqu'on n'a pas besoin de rajouter du sucre ou du miel.

C'est que du bonheur...

Du moins, ce ne serait que du bonheur, s'il n'y avait un petit minuscule microscopique souci : les boules à thé.

Et oui, passque pour faire du thé en vrac, faut une boule à thé.

Et les boules à thé et moi, c'est tout une histoire (mais pas une histoire d'amour, plutôt un film d'horreur), que je m'en vais vous conter.

J'ai quelque part dans mes tiroirs la boule à thé classique, en métal, à visser, avec une petite cordelette en métal. Je l'ai depuis des années, mais je vous avoue que j'ignore où elle est précisément.

J'ai également depuis des années une boule à thé métallique « treillis », qui s'ouvre à la manière d'une paire de ciseaux. Perdue quelque part, également.

Dommage car avec le recul, elles me semblent attrayantes...

Je les avais achetées en craquant pour du thé en vrac en vacances, genre à Londres ou sur un marché de Noël. Je succombe, dans l'ambiance, puis je n'en fais rien de ces thés, ni de ces boules.

En succombant récemment au plaisir des thés fruités, j'ai succombé à l'attrait des boules à thé en silicone.

Je m'en suis donc acheté une dans un magasin chicos de vaisselle à Namur, qui venait de déménager. Mais je ne l'ai pas trouvée pratique.

Ensuite, j'en ai acheté deux, vu leur prix riquiqui, dans un magasin discount. Une rose fuchsia, une vert pomme. Sauf qu'elles ont un souci, elles flottent, se renversent et sont à la limite de la bascule.

J'ai alors acheté une boule en plastique, à visser. Qui n'a eu de cesse de se dévisser dans l'eau. Et de répandre son contenu. Pas bon, les bouts de thé en bouche.

Décision fut ensuite prise d'investir dans de la bonne boule à thé, de la boule à thé de compet, de luxe, dans un de ces nouveaux magasins de cuisine qui ont la cote à Namur. J'ai opté pour une superbe boule mauve, avec support, breveté pour son côté flotteur. Tout ça pour la modique somme de ... non je n'ose pas le dire. Ah ben oui, pour flotter elle flottait, et verticalement cette fois. Jusqu'au jour où j'ai entendu un gros plop, et où la partie métallique s'est enfoncée tel le Titanic, tandis que la partie plastique a continué à flotter, tel l'iceberg. Occasionnel au début, ce problème est devenu quotidien en peu de semaines.

Dans l’intervalle, j'ai reçu une tasse combiné avec support à thé, en verre vert, de ma voisine, toujours elle, qui est hyper pratique pour boire le thé chez moi, dans une tasse. Mngybb (euh ça c'est Iguaï qui fait des siennes), mais, disais-je, au bureau, je fais mon thé dans un mug, pour le garder chaud des heures.

J'ai aussi acheté un autre support à thé, en métal, passqu'un ne me suffisait pas, des fois que je voudrais boire deux thé en même temps (mon côté hamster est incurable).

Enfin, désespérée, je suis revenue vers la boule classique, sphérique coupée en deux, se fermant par deux clapets, à accrocher à mon mug.

Ah non, j'oubliais les deux supports à thé achetés chez Ikéa l'autre jour, qui me semblent très pratiques pour le thé en tasse, car on peut boire tout en les laissant sur le bord de la tasse (les tisanes peuvent infuser sans souci).

Bref, j'espère qu'avec tout ça, je vais m'en sortir... un jour.

Question bonus : combien de « boules » à thé (toutes formes confondues) vivent chez moi ?

Question subsidiaire : combien de sous ai-je claqué dans tout ce matos ?

PS : pour info, mes thés viennent de la Magie du Thé à Namur, ils sont succulents, et l'accueil y est chaleureux comme une bonne tasse de thé jeunesse éternelle (bien qu'on m'ait confirmé que la nomination n'était pas garantie de résultat, dommage).

Petit échantillon (avec le toutnu, toujours curieux)

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