Contrairement à ce que proclame urbi et orbi la presse mainstream, s’appuyant honteusement sur l’OSDH, la prise ou non de Jisr al-Choughour, dans le nord-ouest du pays, prouve une chose. En effet, on sait aujourd’hui qu’il n’existe aucune opposition modérée en Syrie. Du coup, la gymnastique intellectuelle des Fabius et consorts ne tient plus la route. Ce sont ces médias qui parlent de la prise de Jisr al-Choughour par Al-Nosra (Al-Qaïda en Syrie), en compagnie de… « rebelles ». Lesquels ?
Revers pour Bachar al-Assad ?
En réalité, le haut commandement syrien a demandé à ses troupes de battre en retraite, afin de permettre aux terroristes d’entrer dans la ville. Ils sont actuellement encerclés et le piège est en train de se refermer sur eux. Vous verrez d’ici demain, cette même presse osera parler des civils tués car, depuis hier, l’aviation syrienne a multiplié les raids contre la ville et, ces bombardements se poursuivent ce dimanche.
Le piège de Damas
A Jisr al-Choughour, après plus de vingt raids, c’est la débandade au sein des terroristes soutenus par l’Occident. Cette ville, située au carrefour des régions de Lattaquié à l’ouest, et de Hama au centre, sera le cimetière de ces monstres financés par les pays du Golfe et l’Occident. Le traitement de cette information par la presse mainstream qui ne s’indigne nullement, montre qu’elle est du côté des terroristes pour détruire la Syrie…
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