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La maladie de Valls

Publié le 14 septembre 2016 par Observatoiredumensonge

Elle frappe, elle frappe, la maladie de Valls
Elle va se propageant du Nord jusqu’au Midi
Elle frappe, elle frappe la maladie de Valls
Se répandant en France une véritable épidémie

Elle fait tous ses ravages
Elle est pire que la rage
Elle frappe gens de tout âge
Et dans les rues se propage
A coups de matraque on la soigne
Ou bien avec des gaz lacrymogènes
Les soignants eux sont bien protégés
Avec leurs boucliers et bien casqués

Elle frappe, elle frappe , la maladie de Valls
Ouvriers et salariés de seize à soixante dix sept ans
Elle frappe, elle frappe la maladie de Valls
Supprime des libertés conquises avec le sang

A la tête de l’état on enrage
On se fiche pas mal du chômage
Les répressions on envisage
Réduire le peuple en esclavage
Par le biais de mesures sauvages
Par des textes de verrouillage
On opte pour le camouflage
L’Etat choisit le magouillage

Elle frappe, elle frappe, la maladie de Valls
C’est la schizophrénie frappant tous les opposants
Elle frappe, elle frappe, la maladie de Valls
C’est une vraie tragédie sur un peuple s’abattant

Elle fait tomber les hommes
Elle fait pleurer les femmes
Quand ils se font violenter
Au lieu de se faire soigner
Les matraques qui blessent
Les corps qui s’affaissent
Ce sont les remèdes prescrits
Par quelques ministres abrutis

Elle frappe, elle frappe, la maladie de Valls
Chez tous les opposants, de sept à soixante dix sept ans
Elle frappe, elle frappe, la maladie de Valls
Chez tous les manifestants, même défilant en chantant

Pierre Galliez

*** Attention ce texte est une TRIBUNE LIBRE qui n’engage que son auteur ***

Ici à l’Observatoire du MENSONGE, nous aimons la liberté de publier. Ce qui ne veut pas dire que nous approuvons.

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Le BONUS:

LE MACRON NON SOCIALISTE

D’après: Je ne suis pas parisienne-Marie-Paule Belle

Lorsque j’étais dans le gros capital
Le fric c’était mon boniment, mon arme fatale
Puis je suis entré au gouvernement
Mais je n’en fais qu’ à ma tête, c’est toujours ma fête
Aussi j’ai voulu créer mon propre mouvement !

Je ne suis pas socialiste
Ça n’m’gène pas , ça m’gène pas
Je ne suis pas communiste
J’en pleure pas, j’en pleure pas
Je ne suis pas d’ces partis
Ça m’réjouit, ça m’réjouit
Pas la moindre cotisation
Je ne leur donne aucun rond
Je ne suis pas sarkoziste
Je ne suis pas Le peniste
J’ai pas d’peine , j’ai pas d’peine
Je ne suis qu’unp’tit politique
Une façon d’gagner du fric
Je ne suis même pas député
Je m’en fous car je suis fortuné !

Depuis j’ai fait la connaissance d’amis
Vivant en communauté et sans autre parti
Comme je n’étais ni carté ni inscrit
Et je n’avais aucun complexe
Je crois qu’ils en sont tous restés perplexes

Je ne suis pas socialiste
On me blame, on me blâme
Je ne suis pas communiste
C’est pas ma flamme pas ma flamme
Je suis un Macron qui nie
Et je nie, et je nie
Les socialistes je renie
Pour moi c’est pas du pain béni !
Je ne suis pas un phénomène
Ça me gène, ça me gène
Je ne suis pas histérique
Ça s’complique, ça s’complique
Oh, dit le premier ministre
Que c’est triste , que c’est triste
Je lui dis j’espère qu’un jour
Ce sera bien à mon tour
D’être le roi au Palais et à la Cour


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